Une nouvelle expédition. A partir de Popayan la route asphaltée mais sinueuse grimpe à travers les montagnes., les prairies et les pâturages. On laisse sur la gauche la route qui conduit aux thermes de Cocorocu. Ce matin, sous la pluie ça ne fait pas rêver. Puis un peu plus loin, sur la gauche est indiqué le parc de Puracé. La route est fermée, il ne reste qu'une piste étroite. Un différent oppose l'état aux indiens et le parc est officiellement fermé. Mais une route en bon état comme ça, c'est trop beau pour être vrai et à peine une heure et demi après le départ on se retrouve sur une route empierrée. C'est le début de plus de deux heures de "secouage ". Au début le paysage est celui d'un plateau vallonné de prairies. Puis l'on passe par la zone du paramo avec des étendues de la plante caractéristique, que nous avons déjà vue en montant à la lagune d'Iguaque, la Espeletia. Plus loin le paramo est remplacé par une végétation luxuriante de fougères et de lianes. C'est long, cela n'en finit plus et il pleut sans discontinuer. En plus cette route est très fréquentée. On y croise et on y double beaucoup de gros camions ce qui n'est pas toujours évident. C'est environ quatre heures trente après le départ que l'on arrive au croisement de San Augustin, peu avant Pitalito. Là un taxi affrété par la compagnie de car nous prend en charge avec un jeune couple de suisses pour nous amener à San Augustin. Moyennant un paiement le chauffeur nous conduit jusqu'à notre hôtel en haut du village. Il pleut toujours et c'est sous la pluie que nous découvrons la ville, très quelconque.
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mercredi 22 février 2017
De Popayan à San Augustin le mercredi 22 février 2017
Une nouvelle expédition. A partir de Popayan la route asphaltée mais sinueuse grimpe à travers les montagnes., les prairies et les pâturages. On laisse sur la gauche la route qui conduit aux thermes de Cocorocu. Ce matin, sous la pluie ça ne fait pas rêver. Puis un peu plus loin, sur la gauche est indiqué le parc de Puracé. La route est fermée, il ne reste qu'une piste étroite. Un différent oppose l'état aux indiens et le parc est officiellement fermé. Mais une route en bon état comme ça, c'est trop beau pour être vrai et à peine une heure et demi après le départ on se retrouve sur une route empierrée. C'est le début de plus de deux heures de "secouage ". Au début le paysage est celui d'un plateau vallonné de prairies. Puis l'on passe par la zone du paramo avec des étendues de la plante caractéristique, que nous avons déjà vue en montant à la lagune d'Iguaque, la Espeletia. Plus loin le paramo est remplacé par une végétation luxuriante de fougères et de lianes. C'est long, cela n'en finit plus et il pleut sans discontinuer. En plus cette route est très fréquentée. On y croise et on y double beaucoup de gros camions ce qui n'est pas toujours évident. C'est environ quatre heures trente après le départ que l'on arrive au croisement de San Augustin, peu avant Pitalito. Là un taxi affrété par la compagnie de car nous prend en charge avec un jeune couple de suisses pour nous amener à San Augustin. Moyennant un paiement le chauffeur nous conduit jusqu'à notre hôtel en haut du village. Il pleut toujours et c'est sous la pluie que nous découvrons la ville, très quelconque.
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