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lundi 30 septembre 2019

Pouilles 30 9 Matera



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Nous commençons la visite de la ville à partir de la Piazza Veneto. C'est dans le Palazzo del goberno que se trouve le point d'informations touristiques. Riches en plans et cartes nous descendons dans le sasso Barissano. Notre fil conducteur sera la visite des églises rupestres. Evidemment on ne négligera rien au passage. La petite piazza San Giovani Battista avec l'église du même nom dont le portail est richement décoré. Pas très loin nous arrivons à la chiesa San Pietro Barissano bâtie vers l'an mil. On nous propose un ticket pour trois églises. Banco! Cette église, la plus grande s'avérera la plus intéressante. Dans la partie inférieure se trouve des catacombes où étaient déposés les corps des morts jusqu'à ce qu'ils soient réduits à l'état d'os et que les familles puissent les récupérer. Il y avait même un système d'écoulement des liquides corporels. Quelques belles fresques. Les églises rupestres sont très espacées ce qui nous oblige à monter, descendre et parcourir toutes les petites rues. Il fait chaud mais il y a de nombreuses fontaines où l'on peut se ravitailler. Et puis c'est un spectacle sans cesse renouvelé avec de nombreux points de vue . Un peu en hauteur se trouve l'impressionnant couvent de San Augustino fondé à la fin du XVI e et l'église du même nom. Au fond de l'église une petite porte nous permet d'accéder à l'église rupestre de San Giuliano. Petite église avec quelque gravures rupestres. C'est en direction du sasso caveoso que nous nous arrêtons à la cathédrale. L'extérieur de style roman- apulien est relativement sobre. L'intérieur est "chargé" en dorures. Sur un éperon rocheux, visible de loin se trouve le complexe de Monterone, deux petites églises qui communiquent entre elles, San Giovanni in Monterrone et Santa Maria de Idris. Cette dernière est datée du XIV.  De l'église Santa Lucia alle Malve on n'a malheureusement pas vu grand chose car toute une partie était interdite d'accès pour cause de restauration.
Au cours de nos pérégrinations nous avons eu la chance de visiter une maison troglodyte "en l'état". C'est son nouveau propriétaire qui nous a fait entrer et nous a expliqué comment était composée la maison. A l'entrée la cuisine, puis la pièce principale à la fois salle à manger, pièce de vie et chambre, qui en plus contenait la citerne, importante dans ce cas (6m de profondeur) car elle servait à trois habitations. Au fond, la pièce réservée aux animaux qui assuraient par leur présence le chauffage. Question hygiène cette promiscuité n'était pas idéale. Pas d'électricité et pas de toilettes. Plus tard nous nous arrêtons dans une maison troglodyte reconstituée ce qui nous permet de mieux visualiser la disposition des pièces et d'imaginer la vie des habitants.
Pour terminer ce retour dans le passé nous visitons une des citernes de la ville. Il y en avait cinq, mais une seule a été conservée comme témoignage d'une époque où il était nécessaire d'emmagasiner l'eau des différentes sources pour les périodes de pénurie. Plusieurs salles contenant 5000m3 de pluie et eau de source mais un seul point de puisage constitué de  7 trous que l'on voit au plafond qui permettaient aux habitants de puiser l'eau.

dimanche 29 septembre 2019

Pouilles 29 9 Maunduria Matera



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Dimanche 29 septembre : Manduria à Matera en passant par le bord de mer
Le dimanche matin à Manduria c'est plutôt calme. On se balade tranquillement. La ville a dû être riche. Il y a de belles demeures et en particulier un palais sur la place qui nous rappelle un peu celui de Martina Franca à cause de son balcon en fer forgé sur toute la façade. Et puis il y a le quartier qui a abrité le ghetto juif avec sa synagogue. C'est la première fois depuis le début de notre voyage que nous en rencontrons une. C'est dans les pâtisseries que les habitants se retrouvent en milieu de matinée pour prendre leur petit déjeuner..gâteaux, cornetti ( croissants) et autres douceurs. Il fait très beau alors nous décidons d'aller à la plage la plus proche, celle de Campomarino. La plage de sable blanc est belle et il n'y a pas trop de monde. La petite station balnéaire de campomarino est désertée à cette époque. Mais elle fait très sympa avec ses petites maisons basses et blanches qui longent la route du bord de mer. Il n'en est pas de même pour ce qui est des autres plages. Au plus on s'approche de Taranto et au plus il y a de monde. En arrivant au niveau de Pulsano  c'est impressionnant. Les voitures sont garées les unes derrière les autres sur les deux côtés de la route. Et on est en fin septembre!!!!
Nous voulons arriver à Matera pas trop tard pour trouver à nous garer et découvrir la ville. Nous avons de la chane car nous trouvons un parking devant un immeuble à dix minutes à pieds du centre de la vieille ville. Nous y passerons deux nuits. Nous faisons une balade dans les rues. Comme souvent les éclairages valorisent les palais et les églises. A la recherche d'un restaurant nous prenons une rue qui nous amène à la "casa grotta" . Il s'agit d'une grotte taillée qui est transformée en salle d'exposition et de concert. Justement un quatuor de jazz doit se produire. Nous prenons des places. Du jazz des années Cinquante/ soixante c'est tout ce qu'il nous faut pour conclure notre agréable journée.

Pouilles 28 9 Galipoli Nardo



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Samedi 28 septembre : Gallipoli et la côte ionienne jusqu'à Manduria
Pour entrer dans la vieille ville de Gallipoli il n'y a qu'une solution franchir le pont qui la sépare de la ville nouvelle. Depuis le pont on a une belle vue sur le château du XVIe dont les pierres dorées dont mises en valeur par le soleil. Sur la gauche, avant le pont de petites barques de pêche et des pêcheurs qui réparent leurs filets dans une ambiance joyeuse. On décide de laisser la visite du château pour la fin de matinée et on commence par se diriger vers la place du duomo où se trouve la cathédrale. Pas question de faire le tour des églises, il y en dix sept répertoriées sur le plan. Il est très agréable de se balader dans le dédale des rues. De contempler un palais par ci et par là, des balustrades, des loggias des façades richement décorées. Mais nous nous consacrons à ce qui a fait la richesse de Gallipoli et de ses habitants( d'où les palais) à savoir l'huile lampante. Cette huile était exportée dans toute l'Europe et y compris en France. Ce commerce a duré jusqu'à l'avènement du gaz et de l'électricité. A l'époque l'huile d'olive était peu utilisée pour la cuisine. Il y a eu jusqu'à 35 moulins souterrains qui produisaient environ 30 000 tonnes d'huile par an à partir d'olives pourries pour qu' elle  fume moins  . On imagine l'activité souterraine de la ville et la dureté des conditions vie de tous ceux qui travaillaient dans les pressoirs. Ils travaillaient par tranche de deux heures mais n'avaient pas le droit de sortir pour leur pause. Ils cohabitaient donc tout le temps de leur travail avec les olives en train de pourrir et  les ânes qui actionnaient les meules. Pas question de conduits d'aération. Les seules ouvertures étaient celles par lesquelles étaient déversées les olives.  Il existait des confréries. Les ouvriers qui y adhéraient pouvaient bénéficier d'une petite retraite à l'âge de 70 ans. Ils ne devaient pas être nombreux à en profiter.
Pour compléter notre information nous avons apprécié la visite dans le château de l'exposition temporaire sur les lampes à huile. L'intérieur du château quant à lui ne présente pas un grand intérêt.
Nous quittons Gallipoli vers treize heures pour suivre la toute de la côte et trouver un endroit tranquille pour manger et nous baigner.
Nous optons pour le lido del conchiglie. Une belle plage de sable avec une limpide et chaude. Et moyennant 1/2 euro on peut même se doucher dans une plage privée.
Retour à l'intérieur des terres. Nous nous arrêtons à Nardo (beaux château, églises et hôtels particuliers)  puis à Manduria pour le repas et la nuit.

vendredi 27 septembre 2019

Pouilles 27 9 Santacesare Castromarina Aquaviva



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Vendredi 27 septembre : la côte au sud d'Otrante.
Au sud d'Otranto la route du bord de mer serpente dans un paysage caillouteux au dessus des falaises. Très peu d'endroits où s'arrêter et encore moins où se baigner. C'est très sauvage et cela nous rappelle un peu la côte bleue en Provence.  Nous passons à côté de la crique de Porto Badisco dont les eaux sont limpides et turquoises. Nous nous s'arrêtons un peu plus loin dans la station balnéaire de Santa Cesarea thermes. Une source d'eau soufrée permet d'y soigner les maladies respiratoires. Le coin est joli. On y trouve de belles villas. L'une est appelée la villa Sicchi à la fin du XIX éme siècle dans un style mauresque. Située au dessus de l'établissement thermal elle se remarque de loin avec sa coupole. En cette saison ce sont surtout des personnes âgées qui font la cure.
Nous nous arrêtons un peu plus loin à Castro Marina. Très joli village blanc accroché à la colline. En bas à côté du port un coin a été aménagé pour la baignade un peu comme un bord de piscine bordure bétonnée et échelles qui permettent de descendre dans l'eau.En  effet la côte rocheuse rend difficile l'accès à la mer.
Un peu plus loin se trouve la plage d'Insenatura aquaviva. Une route descend vers un petit parking qu'on imagine bien plein en saison. Ensuite quelques marches permettent d'accéder à une petite crique aux eaux limpides. Une petite maison blanche aux volets bleus  transformée en bar complète le paysage de cette carte postale méditerranéenne. Quelques mètres carrés de gravier permettent d'entrer facilement dans l'eau. Autour ce sont des rochers coupants et creusés par les vagues. La température de l'eau est réputée plus basse qu'ailleurs, mais elle est quand même très agréable ( et c'est une grosse frileuse qui le dit). Petit plus, des toilettes et la possibilité de prendre une douche pour 1/2 euro. Un très agréable moment.
Nous reprenons la route en direction de Gallipoli. Mais nous faisons étape à Parabita ( sans intérêt) où on nous a indiqué une entreprise qui recharge les bouteilles de gaz françaises. Le gaz c'est un peu notre tendon d'Achille

jeudi 26 septembre 2019

Pouilles 26 9 Galatina et Otrante



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Jeudi 26 septembre : de Lecce à Otranto en passant par Galatina
Galatina possède aussi de nombreuses et belles demeures mais beaucoup moins bien conservées et mise en valeur qu'à Lecce. Ce qui fait surtout l'attrait de cette bourgade c'est  la Basilica Santa Caterina d'Alessandria. On change d'époque ( XIV ème) et de style (gothique). L'intérieur de la basilique est entièrement recouvert de fresques. Une vraie B.D de la bible. Une bonne façon pour les prêtres d'illustrer leurs propos et d'enseigner le contenu de la bible à une époque où il n'y avait pas de livres et où seuls les gens d'église et certains nobles savaient lire et écrire. Vaut le déplacement. Au passage s'arrêter à la pâtisserie Ditta Andrea Ascalone dans la rue Vittorio Emmanuele pour acheter des macarons et des pasticiotti.
Nous arrivons à Otranto en milieu de matinée et nous nous garons sur l'un des parkings privés à l'entrée de la ville. Nous sommes hors saison et les prix sont très raisonnables, 3€ pour la journée et finalement on y passera la nuit. La vieille ville est protégée par une puissante enceinte fortifiée. On y entre par une porte qui donne accès aux différentes ruelles bordées de maisons blanches. Beaucoup de boutiques de souvenirs et de restaurant. La ville est très touristique.
Nous commençons notre visite par la crypte de la cathédrale. Une très belle construction d'une grande sobriété dont le plafond est soutenu par des colonnes en marbre très différentes les unes des autres. Sur les murs quelques fresques byzantines. A droite en haut de l'escalier qui conduit de la crypte à la cathédrale se trouve la chapelle des martyrs . Des armoires vitrées contiennent les ossements de 600 à 800 victimes massacrées par les turcs parce qu'elles ne voulaient pas se convertir à l'islam. La cathédrale en elle même date des XI ème et XII ème siècles. Ce qui la caractérise c'est l'immense mosaïque qui couvre le sol et qui a été réalisée par un moine. On y reconnait des scènes bibliques ou mythologiques, mais aussi un grand bestiaire : à l'entrée deux éléphants.
Nous nous limitons à regarder le château de l'extérieur et en particulier les douves mises en valeur par une belle pelouse. Par contre nous partons à la recherche de la petite église San Pietro. Un coup de cœur pour sa sobriété et les fresques de l'époque byzantine ( Xe et XI e siècle).
Nous consacrons l'après-midi à une balade à proximité des lacs Alimini et sur la plage. Pas de baignade car le temps est nuageux. Pas facile de trouver un accès aux plages sauf à se rendre dans un "lido" privé. A cette époque de l'année ils sont presque tous fermés.
Repas poisson dans un restaurant installé sur la promenade qui longe les remparts.

mercredi 25 septembre 2019

Pouilles 25 9 Lecce



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Mercredi 25 septembre : Lecce
Nous avons dormi sur le parking du cimetière. Pas pire compte tenu de la proximité du centre ville et de l'université. Ce matin visite de la ville en entrant par la porta Napoli( construite en 1548 pour célébrer la venue de Charles V) la plus proche du parking. La piazza sant'Oronzo est une grande place pas spécialement belle. On y trouve une colonne, en hommage à Sant'Oronzo qui aurait libéré la province de la peste grâce à ses prières. En haut sa statue en bronze. Le plus remarquable sur cette place c'est la partie ( 1/3) d'amphithéâtre romain qui a été mise à jour. Il s'agit d'une construction datant du I et II ème siècle réalisée à la demande de l'empereur Ottaviano Augusto. On estime sa capacité à 25 000 personne. Énorme au regard de la population de Lecce à l'époque estimée à 4 000 personnes. Quelques palais autour de la place dont le palazzo del Segio devenu bureau d'information touristiques.
La piazza del duomo est le centre religieux avec sa cathédrale dont la façade latérale est très travaillée(baroque) le campanile haut de 70m. Les deux édifices ont été remaniés au XVII ème siècle par le même architecte. J'avoue que je ne suis pas fan du baroque, je lui préfère largement la simplicité et la sobriété cistercienne. Je me concentre donc sur ce qui me plait, le beau plafond en bous et la crypte très simple, blanche et sobre avec ses colonnes aux motifs très différents mais très simples.Sur la même place on trouve aussi le palais  épiscopal et le cloître qui datent à peu près de la même période. Le cloître est assez sobre. Au centre le puits est très travaillé. Nous avons pris un billet Lecce ecclesiae, alors des églises et du baroque on va en " manger".
La chiesa santa Chiara sort de l'ordinaire avec sont plan octogonal et son plafond en cartapesta( papier mâché) une spécialité locale. Du doré et encore du doré.  Même la soutane de la la statue de saint Francois d'assise brille ...lui qui a fait vœux de pauvreté. D'après un guide italien cette statue comme beaucoup d'autres est en papier mâché. Rien d'étonnant on en a vu beaucoup chez les artisans qui utilisent cette technique.
La basilica di Santa Croce a une façade très richement ornée (le top du baroque semble-t-il). Des colonnes ornées de chapiteaux figurant un bestiaire fantastique. Plus haut des statues sensées porter le poids du balcon...on reconnait la louve, Romulus et Remus et quelques humains qui ont l'air complètement écrasés. Au centre une rosace et deux grandes statues, allégories de la force et de la foi. A côté se trouve l'ancien monastère des frères célestins aujourd'hui devenu préfecture.
Dernière étape de notre tour des églises, San Matteo, dont la façade est composée d'une partie concave et d'une partie convexe. Pour le reste on est dans le baroque pur et dur.
Comme on stationne sur le parking du cimetière et de l'université on en profite pour visiter l'ex couvent des Olivétains aujourd'hui occupé par l'université. Deux grands cloîtres très sobres au milieu de l'un d'eux un puits avec des colonnes très tarabiscotées.
Rien à dire de particulier sur le château, le plus grand des pouilles.
Il y a les incontournables et puis tous les autres palais et édifices aux riches portes, balustrades, loggias. Tous construits en pierre de Lecce, un calcaire blanc beige très tendre, facile à travailler...en témoignent les nombreuses boutiques qui vendent des objets sculptés dans cette pierre. C'est la nuit, avec la lumière des projecteurs que la ville est la plus belle, la place du duomo en particulier. Nous avons aimé nous y balader, déguster les glaces de chez Natale, manger quelques spécialités dont la purée de fèves accompagné de chicorée cuite comme des épinards. Délicieux si l'on aime l'amertume des feuilles de chicorée.

mardi 24 septembre 2019

Pouilles 24 09 Ostuni à Lecce

Mardi 24 septembre : de Ostuni à Lecce
Nous quittons Ostuni en traversant les oliveraies centenaires, voire millénaires. De magnifiques spécimens au tronc torturé. Puis nous traversons une zone essentiellement vinicole. Et en arrivant à quelques kilomètres de Lecce c'est la désolation. Les beaux oliviers ont perdu une partie de leurs feuilles ou celles ci sont devenues marrons.. A certains endroits ils ont été coupés.Les arbres sont atteints par une maladie bactérienne. C'est toute l’économie locale qui est menacée car la ressource essentielle provient de l'huile d'olive.
Encore des problèmes de gaz. Nous devons faire un aller retour Lecce Brindisi pour acheter une bouteille de camping gaz. Mais pas le choix car c'est indispensable pour la vie dans le CC. Nous revenons à Lecce assez tard et nous nous garons sur le parking du cimetière qui se situe en pleine ville mais à deux pas de l'entrée de la ville historique. Nous discutons avec un couple d'italiens qui font le chemin avec nous jusqu'à la porta Napoli, un arc construit au XVIème siècle en l'honneur de Charles V. La ville éclairée nous apparaît magnifique et riche de beaux bâtiments. Mais la visite ce sera pour demain. Ce soir l'objectif c'est de trouver un restaurant pour fêter les 70ans de JC. Nous avons eu enfants et petits enfants au téléphone.
Quelques spécialités italiennes et un bon vin blanc nous permettent de clôturer cette journée.