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La plage, sable blanc et cocotiers sauf que le temps n'est pas terrible et que contrairement a d'autres touristes, plus jeunes, nous n'avons pas le courage de nous jeter a l'eau. Elle est pourtant chaude mais ce qui nous fait peur c'est la sortie. Pas facile de vieillir! Pour y aller nous avons loué une moto car il n'y avait plus de vélos a l'hôtel.
Nous en profitons aussi pour aller voir le "tombeau du japonais ", a 1km de l'hôtel sur la route de Da Nang. Rien d'extraordinaire, mais au départ l' histoire d'amour d'un japonais pour une vietnamienne. Romeo et Juliette de Hoi An. A sa mort, le japonais s'est fait enterré au milieu des rizières. Il paraît que de nombreux japonais viennent prier sur sa tombe. Pour nous c'est l'occasion d'une balade au milieu des rizières.
Enfin, une balade a vélo hors des sentiers battus. En face de Hoi An, une île. Près du marché, des bateaux se succèdent pour emmener ou ramener les îliens. Nous décidons de partir a la découverte de cette île dont je ne vous donnerai pas le nom car je ne le connais pas. Tels des autochtones nous chargeons les vélos sur le bateau.
Les gens sont un peu surpris. Sur l'île pas de voiture, des vélos et des motos seulement qui circulent sur de petites routes bétonnées . Nous regardons travailler des charpentiers de marine a la construction de gros bateaux. Un peu plus loin nous nous arrêtons au milieu des rizières ou de nombreuses femmes courbées, les jambes dans l'eau jusqu'aux genoux répartissent les pousses de riz. En effet dans le sud le riz est semé a la volée. Lorsque les jeunes pousses apparaissent il faut uniformiser la répartition. Dans le nord, il y a une première étape de semis. Ensuite ce sont de jeunes pousses qui sont placées deux brins par deux brins a intervalle régulier dans les rizières . Dans les deux cas c'est un travail très dur pour le dos et les articulations. Et pourtant tout en continuant de travailler elles répondent a nos saluts et se laissent photographier. Dans un village nous nous arrêtons pour voir des femmes tisser des nattes sur de vieux métiers manuels. Chaque famille de fabriquant a son modèle. Un jeune garçon nous invite, en anglais, a entrer chez lui pour voir aussi fabriquer les nattes. Il est très fier que nous acceptions. Deux femmes sont assises a même le sol. Une enfile un jonc tandis que l'autre ramene le peigne pour tasser le jonc. Et ainsi de suite a une vitesse folle. Elles ont les mains calleuses et abîmées par les différents colorants. Nous faisons quelques photos et repartons pour ne pas les déranger plus dans leur travail. Un peu plus loin encore nous assistons a la fabrication artisanale de "madeleines " dans des moules qui ressemblent un peu a des moules a gaufres. Deux femmes transpirent a grosses gouttes devant leurs braseros. Nous avons droit a une dégustation. C'est bon! Retour sur le continent. Dans la rubrique dégustation suite nous tentons une autre forme de Cau Lao dans un restaurant et surtout nous nous offrons un Apple struddel avec glace a la vanille maison. Et non vous ne rêvez pas, c'est bien a Hoi An chez un glacier d'origine allemande installé dans une boutique donnant sur le quaie. Un moment de pur délice. Et voilà, fin de Hoi An que nous quittons sous un petit crachin très breton.
La plage, sable blanc et cocotiers sauf que le temps n'est pas terrible et que contrairement a d'autres touristes, plus jeunes, nous n'avons pas le courage de nous jeter a l'eau. Elle est pourtant chaude mais ce qui nous fait peur c'est la sortie. Pas facile de vieillir! Pour y aller nous avons loué une moto car il n'y avait plus de vélos a l'hôtel.
Nous en profitons aussi pour aller voir le "tombeau du japonais ", a 1km de l'hôtel sur la route de Da Nang. Rien d'extraordinaire, mais au départ l' histoire d'amour d'un japonais pour une vietnamienne. Romeo et Juliette de Hoi An. A sa mort, le japonais s'est fait enterré au milieu des rizières. Il paraît que de nombreux japonais viennent prier sur sa tombe. Pour nous c'est l'occasion d'une balade au milieu des rizières.
Enfin, une balade a vélo hors des sentiers battus. En face de Hoi An, une île. Près du marché, des bateaux se succèdent pour emmener ou ramener les îliens. Nous décidons de partir a la découverte de cette île dont je ne vous donnerai pas le nom car je ne le connais pas. Tels des autochtones nous chargeons les vélos sur le bateau.
Les gens sont un peu surpris. Sur l'île pas de voiture, des vélos et des motos seulement qui circulent sur de petites routes bétonnées . Nous regardons travailler des charpentiers de marine a la construction de gros bateaux. Un peu plus loin nous nous arrêtons au milieu des rizières ou de nombreuses femmes courbées, les jambes dans l'eau jusqu'aux genoux répartissent les pousses de riz. En effet dans le sud le riz est semé a la volée. Lorsque les jeunes pousses apparaissent il faut uniformiser la répartition. Dans le nord, il y a une première étape de semis. Ensuite ce sont de jeunes pousses qui sont placées deux brins par deux brins a intervalle régulier dans les rizières . Dans les deux cas c'est un travail très dur pour le dos et les articulations. Et pourtant tout en continuant de travailler elles répondent a nos saluts et se laissent photographier. Dans un village nous nous arrêtons pour voir des femmes tisser des nattes sur de vieux métiers manuels. Chaque famille de fabriquant a son modèle. Un jeune garçon nous invite, en anglais, a entrer chez lui pour voir aussi fabriquer les nattes. Il est très fier que nous acceptions. Deux femmes sont assises a même le sol. Une enfile un jonc tandis que l'autre ramene le peigne pour tasser le jonc. Et ainsi de suite a une vitesse folle. Elles ont les mains calleuses et abîmées par les différents colorants. Nous faisons quelques photos et repartons pour ne pas les déranger plus dans leur travail. Un peu plus loin encore nous assistons a la fabrication artisanale de "madeleines " dans des moules qui ressemblent un peu a des moules a gaufres. Deux femmes transpirent a grosses gouttes devant leurs braseros. Nous avons droit a une dégustation. C'est bon! Retour sur le continent. Dans la rubrique dégustation suite nous tentons une autre forme de Cau Lao dans un restaurant et surtout nous nous offrons un Apple struddel avec glace a la vanille maison. Et non vous ne rêvez pas, c'est bien a Hoi An chez un glacier d'origine allemande installé dans une boutique donnant sur le quaie. Un moment de pur délice. Et voilà, fin de Hoi An que nous quittons sous un petit crachin très breton.
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