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Ce matin réveil tôt pour prendre le bus de Savannakhet à Pakse. A 7h30 nous sommes devant le bus qui ne doit partir qu'à 9h. Heureusement car cela nous permet de prendre les places situées à l'avant. Le chauffeur d'un autre bus de la compagnie qui parle un peu anglais nous explique que les coûts des transports s'expliquent par le prix de l'essence et qu'il faut remplir pour rentabiliser. Mais à ce moment là nous sommes loin d'imaginer à quel point. Nous voyons remplir les soutes, puis le dessus du toit (sacs, bassines, motos, vélos ..) et enfin l'allée entre les sièges avec d'énormes sacs de 100kg sur deux niveaux. Et ensuite me direz-vous? Et bien ensuite il y a les passagers. Les chanceux comme nous qui arrivent tôt on une place assise normale, les autres sont assis sur les sacs dans l'allée et enfin il y a tous ceux qui voyagent debout devant. Car au fur et à mesure du voyage de nouveaux passagers montent avec leurs bagages. Au arrêts il faut être rapide et organisé si l'on veut aller faire pipi. Il n'y a pas forcément de toilettes et les jeunes femmes en pantalon ont prévu une sorte de pagne. J'avais déjà vu cela au Mozambique mais j'avoue que je n'avais pas pensé à prendre mon paréo avec moi. Heureusement il y a eu un arrêt toilettes et ma situation à proximité de la porte m'a permis d'en profiter. Les arrêts sont brefs. Des femmes se précipitent dans le bus pour vendre de la nourriture, brochettes de poulets, riz, fruits et d'autres choses indéterminées. Et puis le voyage dure...presque six heures pour faire un peu plus de 200km. La route est plutôt bonne droite et plate mais le bus est chargé et s'arrête souvent. Le paysage est plat. Majoritairement des maisons en bois sur pilotis. Autour de petits espaces entourés de rebords en terre et contenant des tiges jaunes que broutent les bœufs : sans doute des restes de plants de riz. En arrivant près de Paksé, le paysage verdi, il y a des rizières dans lesquelles des gens sont en train de travailler et on aperçoit quelques collines, toujours le même style, en pain de sucre. Nous voici à Paksé.
Ce matin réveil tôt pour prendre le bus de Savannakhet à Pakse. A 7h30 nous sommes devant le bus qui ne doit partir qu'à 9h. Heureusement car cela nous permet de prendre les places situées à l'avant. Le chauffeur d'un autre bus de la compagnie qui parle un peu anglais nous explique que les coûts des transports s'expliquent par le prix de l'essence et qu'il faut remplir pour rentabiliser. Mais à ce moment là nous sommes loin d'imaginer à quel point. Nous voyons remplir les soutes, puis le dessus du toit (sacs, bassines, motos, vélos ..) et enfin l'allée entre les sièges avec d'énormes sacs de 100kg sur deux niveaux. Et ensuite me direz-vous? Et bien ensuite il y a les passagers. Les chanceux comme nous qui arrivent tôt on une place assise normale, les autres sont assis sur les sacs dans l'allée et enfin il y a tous ceux qui voyagent debout devant. Car au fur et à mesure du voyage de nouveaux passagers montent avec leurs bagages. Au arrêts il faut être rapide et organisé si l'on veut aller faire pipi. Il n'y a pas forcément de toilettes et les jeunes femmes en pantalon ont prévu une sorte de pagne. J'avais déjà vu cela au Mozambique mais j'avoue que je n'avais pas pensé à prendre mon paréo avec moi. Heureusement il y a eu un arrêt toilettes et ma situation à proximité de la porte m'a permis d'en profiter. Les arrêts sont brefs. Des femmes se précipitent dans le bus pour vendre de la nourriture, brochettes de poulets, riz, fruits et d'autres choses indéterminées. Et puis le voyage dure...presque six heures pour faire un peu plus de 200km. La route est plutôt bonne droite et plate mais le bus est chargé et s'arrête souvent. Le paysage est plat. Majoritairement des maisons en bois sur pilotis. Autour de petits espaces entourés de rebords en terre et contenant des tiges jaunes que broutent les bœufs : sans doute des restes de plants de riz. En arrivant près de Paksé, le paysage verdi, il y a des rizières dans lesquelles des gens sont en train de travailler et on aperçoit quelques collines, toujours le même style, en pain de sucre. Nous voici à Paksé.
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