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Il ne fait pas un temps terrible, plutôt brumeux, mais il fait très chaud lorsque démarre notre journée avec la traversée en ferry pour passer sur la presqu'île de Vipin en face de Cochin. Tout est aux couleurs du Parti Communiste, le ferry, le bord des routes, même certains tuktuk. Il y a des rassemblements, des marches, des hommes vêtus de chemises rouges, pantalons kaki et bérets qui s'occupent du service d'ordre pour recevoir un leader du parti dont le portrait est affiché partout. Il y a une terrible effervescence alors que Vipin semble un coin tranquille par rapport à la ville de Cochin.
Avec son GPS , JC nous trouve la route du bord de mer, une petite route grâce a laquelle nous allons parcourir les backwaters qui longent la longue plage au nord de Cochin. C'est très beau avec les cocotiers qui se reflètent dans l'eau, les barques des pêcheurs qui se faufilent à travers la végétation, les immenses filets de pêche chinois (des carrelets), les gamins qui pêchent avec des cannes en bambou..Mais il y aussi des aspects moins bucoliques avec des femmes accroupies dans l'humidité qui trient des crevettes. Sur la plage, les pêcheurs en mer jouent aux cartes ou dorment en attendant l'heure de partir. Les maisons sont en dur, très colorées, plutôt grandes et coquettes. On se dit que les gens ne doivent pas trop mal vivre de leur travail. Ente la plage et les maisons tout le long il y a un grand mur de pierres mais qui malgré sa hauteur nous semble bien dérisoire en cas de tsunami car les maisons sont très près et pour ce que l'on peut voir plutôt en dessous du niveau de la mer. Et puis dans ce paradis vert il y a les moustiques, petits mais coriaces...alors oui, c'est beau, mais la vie ne doit pas être facile tous les jours.
La plage de Cherai est une longue bande de sable blanc, pas trop sale pour une plage publique. Ici pas de plages privées avec des parasols à touche touche. On a quand même l'impression que le coin est en train de se développer. Il y a déjà des résidences luxueuses sur le bord de la route et il y en a en construction. Quelques touristes occidentaux se baladent sur la plage. Ils sont sans doute la de passage comme nous. Des touristes indiens arrivent en car prennent un bain et comme c'est toujours le cas, hommes et femmes se baignent avec leurs vêtements habituels. Un groupe d'ados s'éclate...
En fin de journée, nous allons en pleine ville, dans le paradis des tissus, saris, salwars et autres costumes. Il s'agit d'un grand magasin ou se presse une clientèle plutôt aisée. C'est un festival de couleurs, de paillettes et de strass
Il ne fait pas un temps terrible, plutôt brumeux, mais il fait très chaud lorsque démarre notre journée avec la traversée en ferry pour passer sur la presqu'île de Vipin en face de Cochin. Tout est aux couleurs du Parti Communiste, le ferry, le bord des routes, même certains tuktuk. Il y a des rassemblements, des marches, des hommes vêtus de chemises rouges, pantalons kaki et bérets qui s'occupent du service d'ordre pour recevoir un leader du parti dont le portrait est affiché partout. Il y a une terrible effervescence alors que Vipin semble un coin tranquille par rapport à la ville de Cochin.
Avec son GPS , JC nous trouve la route du bord de mer, une petite route grâce a laquelle nous allons parcourir les backwaters qui longent la longue plage au nord de Cochin. C'est très beau avec les cocotiers qui se reflètent dans l'eau, les barques des pêcheurs qui se faufilent à travers la végétation, les immenses filets de pêche chinois (des carrelets), les gamins qui pêchent avec des cannes en bambou..Mais il y aussi des aspects moins bucoliques avec des femmes accroupies dans l'humidité qui trient des crevettes. Sur la plage, les pêcheurs en mer jouent aux cartes ou dorment en attendant l'heure de partir. Les maisons sont en dur, très colorées, plutôt grandes et coquettes. On se dit que les gens ne doivent pas trop mal vivre de leur travail. Ente la plage et les maisons tout le long il y a un grand mur de pierres mais qui malgré sa hauteur nous semble bien dérisoire en cas de tsunami car les maisons sont très près et pour ce que l'on peut voir plutôt en dessous du niveau de la mer. Et puis dans ce paradis vert il y a les moustiques, petits mais coriaces...alors oui, c'est beau, mais la vie ne doit pas être facile tous les jours.
La plage de Cherai est une longue bande de sable blanc, pas trop sale pour une plage publique. Ici pas de plages privées avec des parasols à touche touche. On a quand même l'impression que le coin est en train de se développer. Il y a déjà des résidences luxueuses sur le bord de la route et il y en a en construction. Quelques touristes occidentaux se baladent sur la plage. Ils sont sans doute la de passage comme nous. Des touristes indiens arrivent en car prennent un bain et comme c'est toujours le cas, hommes et femmes se baignent avec leurs vêtements habituels. Un groupe d'ados s'éclate...
En fin de journée, nous allons en pleine ville, dans le paradis des tissus, saris, salwars et autres costumes. Il s'agit d'un grand magasin ou se presse une clientèle plutôt aisée. C'est un festival de couleurs, de paillettes et de strass
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