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mercredi 25 septembre 2019

Pouilles 25 9 Lecce



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Mercredi 25 septembre : Lecce
Nous avons dormi sur le parking du cimetière. Pas pire compte tenu de la proximité du centre ville et de l'université. Ce matin visite de la ville en entrant par la porta Napoli( construite en 1548 pour célébrer la venue de Charles V) la plus proche du parking. La piazza sant'Oronzo est une grande place pas spécialement belle. On y trouve une colonne, en hommage à Sant'Oronzo qui aurait libéré la province de la peste grâce à ses prières. En haut sa statue en bronze. Le plus remarquable sur cette place c'est la partie ( 1/3) d'amphithéâtre romain qui a été mise à jour. Il s'agit d'une construction datant du I et II ème siècle réalisée à la demande de l'empereur Ottaviano Augusto. On estime sa capacité à 25 000 personne. Énorme au regard de la population de Lecce à l'époque estimée à 4 000 personnes. Quelques palais autour de la place dont le palazzo del Segio devenu bureau d'information touristiques.
La piazza del duomo est le centre religieux avec sa cathédrale dont la façade latérale est très travaillée(baroque) le campanile haut de 70m. Les deux édifices ont été remaniés au XVII ème siècle par le même architecte. J'avoue que je ne suis pas fan du baroque, je lui préfère largement la simplicité et la sobriété cistercienne. Je me concentre donc sur ce qui me plait, le beau plafond en bous et la crypte très simple, blanche et sobre avec ses colonnes aux motifs très différents mais très simples.Sur la même place on trouve aussi le palais  épiscopal et le cloître qui datent à peu près de la même période. Le cloître est assez sobre. Au centre le puits est très travaillé. Nous avons pris un billet Lecce ecclesiae, alors des églises et du baroque on va en " manger".
La chiesa santa Chiara sort de l'ordinaire avec sont plan octogonal et son plafond en cartapesta( papier mâché) une spécialité locale. Du doré et encore du doré.  Même la soutane de la la statue de saint Francois d'assise brille ...lui qui a fait vœux de pauvreté. D'après un guide italien cette statue comme beaucoup d'autres est en papier mâché. Rien d'étonnant on en a vu beaucoup chez les artisans qui utilisent cette technique.
La basilica di Santa Croce a une façade très richement ornée (le top du baroque semble-t-il). Des colonnes ornées de chapiteaux figurant un bestiaire fantastique. Plus haut des statues sensées porter le poids du balcon...on reconnait la louve, Romulus et Remus et quelques humains qui ont l'air complètement écrasés. Au centre une rosace et deux grandes statues, allégories de la force et de la foi. A côté se trouve l'ancien monastère des frères célestins aujourd'hui devenu préfecture.
Dernière étape de notre tour des églises, San Matteo, dont la façade est composée d'une partie concave et d'une partie convexe. Pour le reste on est dans le baroque pur et dur.
Comme on stationne sur le parking du cimetière et de l'université on en profite pour visiter l'ex couvent des Olivétains aujourd'hui occupé par l'université. Deux grands cloîtres très sobres au milieu de l'un d'eux un puits avec des colonnes très tarabiscotées.
Rien à dire de particulier sur le château, le plus grand des pouilles.
Il y a les incontournables et puis tous les autres palais et édifices aux riches portes, balustrades, loggias. Tous construits en pierre de Lecce, un calcaire blanc beige très tendre, facile à travailler...en témoignent les nombreuses boutiques qui vendent des objets sculptés dans cette pierre. C'est la nuit, avec la lumière des projecteurs que la ville est la plus belle, la place du duomo en particulier. Nous avons aimé nous y balader, déguster les glaces de chez Natale, manger quelques spécialités dont la purée de fèves accompagné de chicorée cuite comme des épinards. Délicieux si l'on aime l'amertume des feuilles de chicorée.

mardi 24 septembre 2019

Pouilles 24 09 Ostuni à Lecce

Mardi 24 septembre : de Ostuni à Lecce
Nous quittons Ostuni en traversant les oliveraies centenaires, voire millénaires. De magnifiques spécimens au tronc torturé. Puis nous traversons une zone essentiellement vinicole. Et en arrivant à quelques kilomètres de Lecce c'est la désolation. Les beaux oliviers ont perdu une partie de leurs feuilles ou celles ci sont devenues marrons.. A certains endroits ils ont été coupés.Les arbres sont atteints par une maladie bactérienne. C'est toute l’économie locale qui est menacée car la ressource essentielle provient de l'huile d'olive.
Encore des problèmes de gaz. Nous devons faire un aller retour Lecce Brindisi pour acheter une bouteille de camping gaz. Mais pas le choix car c'est indispensable pour la vie dans le CC. Nous revenons à Lecce assez tard et nous nous garons sur le parking du cimetière qui se situe en pleine ville mais à deux pas de l'entrée de la ville historique. Nous discutons avec un couple d'italiens qui font le chemin avec nous jusqu'à la porta Napoli, un arc construit au XVIème siècle en l'honneur de Charles V. La ville éclairée nous apparaît magnifique et riche de beaux bâtiments. Mais la visite ce sera pour demain. Ce soir l'objectif c'est de trouver un restaurant pour fêter les 70ans de JC. Nous avons eu enfants et petits enfants au téléphone.
Quelques spécialités italiennes et un bon vin blanc nous permettent de clôturer cette journée.

lundi 23 septembre 2019

Pouilles 23 9 Cisternino Ostuni



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Réveil sous une petite pluie d'orage qui s'arrête rapidement.
Nous voici à Cisternino. De loin la ville ressemble à celle de Locorotondo. Elle aussi est perchée sur une colline. On s'y balade dans les ruelles tortueuses bordées de façades blanches. Beaucoup moins de touristes que dans les villes précédentes. Il faut dire que c'est le matin et que l'animation ne commence qu'en fin d’après-midi.
 Le temps se lève et nous décidons de prendre la route du bord de mer et de nous baigner. Il fait chaud. Nous trouvons un accès à la plage ouvert et dont le parking est payant. Une modeste somme de 5€ qui nous donne aussi accès aux douches. Parfait pour nous à l'heure du repas et de la sieste. Une chance car tous les accès à la mer sont privatisés et beaucoup ferment fin août. La mer est encore chaude. C'est un nouveau petit orage qui nous chasse. Il est l'heure de monter vers Ostuni où nous arrivons avec le soleil. Perchée sur une colline la petite ville blanche se détache. Elle domine la vallée des oliviers centenaires. En s'approchant on distingue de hauts murs percés de petites fenêtres. Les maisons aux toits plats serrés les unes contre les autres. Sur une partie, les murs des maisons semblent avoir épousé les murs arrondis d'un ancien château dont on distingue une partie des tours. A l'intérieur de jolies ruelles, des maisons aux façades blanches, aux balcons et escaliers fleuris. De temps en temps des volets bleus qui évoquent une ville méditerranéenne. Nous faisons une petite pause sur la place de la cathédrale ce qui nous permet d'admirer la belle rosace de la façade. A côté de la cathédrale se trouve le palazzo Vescovile ( épiscopal) relié au cloître de la cathédrale par une loggia. Construction surprenante dans une ville des Pouilles. En descendant une rue pavée charmante, très glissante( on a vu deux personnes s'étaler) et bordée de boutiques on arrive à la place de la liberté où l'on trouve une grande colonne très ouvragé à la gloire du saint local. Le soir de nombreux touristes se retrouvent sur cette place pour prendre un verre.Musique et effets de lumieres sur les façades blanches. Dans le centre on trouve de nombreux bars où se retrouvent les trentenaires: ambiance musicale, gros poufs et coussins sur les marches d'escaliers.

dimanche 22 septembre 2019

Pouilles 22 09 de Locorotondo à Martina Franca



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Nous avons dormi au bord de la route qui longe le Bosco Selva à Alberobello. Il y a une fontaine d'eau potable où nous faisons le plein. L'occasion de discuter avec les nombreux cyclistes qui s'arrêtent pour remplir leur bidon et d'autre promeneurs. Il y a même un jeune garçon que le camping car fait rêver et qui nous pose un tas de questions par l'intermédiaire de sa maman. Petit tour à la laverie...et oui, il faut bien de temps en temps. Bref à midi on finit par sortir d'Alberobello.
Nous arrivons à Locorotondo vers 15h30. C'est le désert car les villes commencent à s'animer vers 17h. La ville est construite sur un plan circulaire mais cela ne saute pas aux yeux suivant où l'on se place. Encore de petites rues sinueuses,fleuries et des façades blanches. Ce qui est différent c'est l'architecture des maisons qui sont hautes, assez étroites et avec des toits pentus en pierres grises. On a une belle vue de Locorotondo depuis la route qui conduit à cisterno et qui passe au pied de la colline où se dresse Locorotondo.
Nous poursuivons notre route vers Martino Franca. Il nous faut trouver un parking non loin du centre et sur lequel nous pouvons passer la nuit. Ce sera le parking à côté du stade. On entre dans le centre historique par une porte qui s'ouvre sur la piazza Roma où se dresse l'imposant Palais ducal. On visite quelques pièces à la décoration murale chargée. La façade est sobre ce qui permet de valoriser la rambarde du balcon en fer forgé très travaillé. Les balcons en fer forgé.sont une constante dans la vieille ville.Mais ils ont une spécificité. Aux deux extrémités une pointe supporte une boule en céramique colorée ( pumo).C'est mon objectif du jour. Tout en déambulant dans les rues étroites où la richesse des demeures se traduit par de belles façades aux fenêtres richement décorėes et aux portes d'entrées imposantes avec des frontons sculptées, je photographie les décorations de balcons. Il fait plutôt frais en fin de journée car il y a du vent. Mais cela n'empêche pas les gens de sortir et de promener. Il y a foule sur la place devant la porte d'entrée de la vieille ville. Personnes âgées, adolescents, couples, enfants s'y retrouvent. Tout le monde est sur son 31. Ça aussi c'est une autre constante. Le soin que prennent les gens pour s'habiller, les femmes pour se maquiller. Aucun détail ne semble laissé de côté et les accessoires ont la part belle.

samedi 21 septembre 2019

Pouilles 21 09 Alberobello et rando alentours



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Notre coin camping était super. Nous voici prêts pour visiter la ville.
Pour nous parcourir le quartier des trulli, quartiere Monti c'est repérer les différents pinacles, les différents symboles peints sur les toits et essayer de trouver une petite rue où une impasse pas trop envahie par les touristes et où les trulli sont encore des habitations et pas des commerces. Un sacré défi! C'est beau, c'est blanc, c'est fleuri et agréable à visiter une ou deux heures..... avant d'atteindre la saturation. Il y a même une église en trulli avec en prime, ce matin,  un mariage. Nous sommes garés à l'opposé de la colline des trulli et nous devons passer devant le trullo Savrano qui a été le premier trullo a deux étages dont le début de la construction remonte au XVII ème siècle.
Nous consacrons l'après-midi à faire une balade sur l'aqueduc des Pouilles entre Coreggia et San Marco. Une super balade dans une végétation qui nous rappelle la Provence. Chemin facile, plat et très ombragé. Presque 18 kms quand même et à l'arrivée nous en avons plein les baskets. A tel point que nous n'avons pas le courage d'aller au restaurant et que nous mangeons un plat de pâte dans le CC.

vendredi 20 septembre 2019

Pouilles 20 09 Polignano a mare, Monopoli et Alberobello



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Hier soir nous avons installé le camping car sur le grand parking qui fait face au stade et qui est bordé par des vignes. En règle générale les parking des stades sont des endroits tranquilles. Mais ce matin, à cinq heures et demi nous sommes réveillés par des bruits de conversations et des portes de véhicules qui claquent. Surprise! Nous sommes sur la place du marché. Un déménagement rapide s'impose. L'avantage c'est que nous sommes vraiment à pied d'oeuvre pour aller acheter fruits et légumes.
Après cette petite étape dans les terres retour au bord de la mer avec un arrêt à Polignano a mare. Il y a du monde pour visiter ce petit bourg blanc perché sur une falaise percée de grottes. Les petites rues étroites et sinueuses avec les maisons blanches aux balcons et pas-de-portes fleuris sont très pittoresques. Beaucoup de boutiques de souvenirs.
Un peu plus loin on fait une halte à Monopoli. La vieille ville se trouve sur un éperon rocheux. Comme chez sa voisine les maisons sont blanches. Mais ce qui la caractérise ce sont les fenêtres aux volets verts. Belles petites rues fleuries. Comme à Bari il y a de nombreux oratoires sur les murs.
Direction Alberobello, la capitale des trulli. Les trulli ce sont des habitations en pierres calcaires blanches qui ressemblent un peu à des champignons qui auraient un chapeau conique. Les murs sont faits avec des blocs rectangulaires de pierre calcaire blanche et le toit avec les mêmes pierres plus fines, aplaties et disposées de façon concentrique jusqu'à former un cône. Il y a deux épaisseurs sur le mur et le toit et entre les deux une couche de morceaux de pierre. Isolation garantie quand on sait que l'épaisseur de l'ensemble  des trois couches est d'environ 1,5 mètres. En plus les ouvertures sont réduites. Les murs dont chaulés, les toits deviennent gris en raison de l'oxydation de la roche sous l'effet de la pluie. Mais il faut du temps pour qu'un toit devienne gris, environ deux cent ans. C'est comme cela que l'on reconnait les trulli récents ou ceux dont le toit a été réparé. Chaque "champignon" correspond à une pièce de l'habitation. C'est ce que nous constatons lors de la visite d'un trullo appartenant à un particulier.  On peut donc de l'extérieur connaitre le nombre de pièces d'habitation. Aujourd'hui quand les trulli servent d'habitation ils sont aménagés et modernisés, parfois complétés par une construction récente. Les symboles peints sur les toits( croix, coeurs, candélabres) ainsi que les différentes formes de pinacles ont des origines sacrées ou sont en lien avec des croyances populaires. Dans la ville beaucoup de trulli sont transformés en boutiques. Il doit être difficile d'être un habitant lambda et de supporter les hordes de touristes qui parcourent les rues. Alors autant faire du commerce!
C'est en sortant de la ville et en parcourant les petites routes autour que l'on peut voir des trulli plus "authentiques".  Dans la campagne les pierres font partie du décors car elles constituent les murs qui entourent les champs ou qui soutiennent les restanques. On peut noter que la rangée la plus haute d'un mur est constituée de pierres plates disposées verticalement.????? On retrouve le même type de murs en Provence, dans le Lubéron où l'on trouve des bories qui ressemblent étrangement aux trulli.
C'est en fin de journée que nous découvrons la ville. Le vent s'est levé et nous n'y trainons pas. La visite ce sera pour demain.


jeudi 19 septembre 2019

Pouilles de Bari à Conversano 19 09



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Une petite route qui serpente à travers les champs d'oliviers nous amène au dolmen de Chianca. Les historiens pensent que vue sa taille il s'agit d'une sépulture de famille riche. Rien d'extraordinaire mais c'est sur notre chemin. Nous voulons visiter la vieille ville de Bari. Très rapidement nous nous retrouvons sous des trombes d'eau. C'était prévu par la météo. Il n'empêche que  la pluie en  vacances ce n'est vraiment pas drôle.  En plus nous sommes toujours à la recherche d'un moyen pour recharger notre bouteille de gaz. Nous passons de réparateur en réparateur jusqu'à ce qu'un vieux mécano ait un éclair de génie et nous trouve une solution. Une fois de plus nous bénéficions de la gentillesse et de la disponibilité des gens. Ouf! Nous pouvons reprendre sereinement le cours de nos vacances. Nous voici au centre de Bari. Nous nous garons facilement sur le parking à côté du château. Très gros bâtiment qui comme beaucoup de châteaux dans la région des Pouilles a été construit par Federico II ( le roi bâtisseur de châteaux) et remanié au XVI par Isabelle d'Aragon qui en a fait sa demeure. Nous partons à la découverte du centre historique en parcourant les ruelles étroites sur lesquelles débouchent des "coreta". Ce sont de petites cours, souvent agrémentées de plantes, autour desquelles se distribuent les portes et les escaliers d'accès aux habitations. C'est certainement plus agréable que d'avoir sa porte qui donne directement sur la rue. A propos de porte nous remarquons qu'elles sont particulièrement épaisses, voire blindées. Question de sécurité? Dans l'entrée d'une de ses "coreta" une dame s'est installée pour fabriquer les pâtes traditionnelles, les " orechiette", petites oreilles. Elle fait ça avec une grande dextérité.  Un peu plus loin nous en verrons une autre qui fait la même chose devant sa fenêtre grande ouverte. Les gens vivent beaucoup à l'extérieur et papotent installés sur des chaises devant les maisons. Une autre particularité dans cette ville c'est la quantité d'oratoires installés partout sur les murs des maisons, à l'angle des rues, au dessus des portes...Tout naturellement nous arrivons devant l'imposante Basilique Saint Nicolas qui abrite les reliques du saint. A l'intérieur la sobriété des murs en pierres( XIème siècle)  tranche avec l'opulence du plafond qui date du XVII ème. Dans la crypte où se trouve les reliques se déroule une messe célébrée par un prêtre orthodoxe. ???? La cathédrale, Duoma di san Sabino date de la même époque. Son plafond en bois s'harmonise parfaitement avec la beauté des murs en pierres beige. Nous passons par la piazza mercantile, emplacement du centre commercial au moyen âge, et aujourd'hui simple place bordée de bâtiments anciens et de restaurants, nous continuons sur le luongomare imperatore Augusto, promenade du mur d'enceinte jusqu'au corso Emmanuelle II, le grand boulevard qui sépare la vieille ville de la ville moderne.
Direction Conversano, la dernière étape de la journée. Encore une petite ville au passé moyenâgeux.  Nous y arrivons de nuit . Et nous découvrons le château et la cathédrale à la lumière des projecteurs