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vendredi 23 octobre 2020

20 10 2020 de Segorbe à Moraira



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 Mardi 20 octobre.

Nous avons roulé vite hier pour traverser le plus rapidement possible la Catalogne et pour arriver dans la région de Valencia et plus particulièrement à Segorbe où se trouve la famille de M. Nous sommes arrivés tard. Juste le temps de nous installer devant la maison familiale avant qu’il fasse trop nuit. Nous craignions de ne pas bien dormir à cause de la proximité de l’autoroute. Mais en fait nous avons bien dormi.
Ce matin le temps est gris et même un petit peu pluvieux. Nous allons rencontrer une partie de la famille de M., un oncle et surtout sa grand-mère. A quatre vingt cinq ans elle reste « un personnage ». Elle nous parle dans un français parfait. Elle parle aussi anglais. C’est une joie partagée que de faire connaissance. A la demande de M. son oncle nous fait découvrir les vignes dont ils ont dû se séparer lors de la succession du grand-père. Un déchirement pour cet oncle. Depuis le chemin qui y conduit nous apercevons une immense et magnifique propriété, la Masia de la Virgen entourée d’immenses champs d’oliviers. Nous revenons au village et nous nous quittons devant la charcuterie , « une institution » semble-t-il. Au niveau des prix rien à voir avec ceux qui se pratiquent chez nous ni pour ce qui est de la charcuterie ni pour l’huile d’olive de5 à 6€ le litre...Cette région est couverte de champs d’oliviers, certes, mais il y en a aussi beaucoup chez nous et les prix pratiqués sont sans commune mesure.
Il est presque midi lorsque nous prenons la route en direction d’Alicante. Nous choisissons l’autoroute le temps de contourner Valencia. Ensuite nous optons pour la route qui longe la côte. C’est comme cela que nous arrivons à Cullera, station balnéaire typique de la Costa del sol avec ses grands immeubles « les pieds dans l’eau ». La plage de sable fin est très belle, très propre et très bien organisée : passerelles en bois pour aller vers la mer, points d’eau, centres de secours, jeux pour les enfants. Une longue promenade piétonne sépare les immeubles de la plage. En cette saison c’est désertique et ça nous convient parfaitement. Mais vu le nombre et la taille des immeubles on imagine ce que cela peut être en plein été....l’enfer pour se garer, pour se déplacer, pour trouver une place sur la plage.....Une colline surmontée d’une église surplombe le vieux quartier médiéval plein de charme avec ses ruelles étroites, sinueuses, ses maisons colorées et fleuries. Beaucoup de panneaux « se vende »??? Effet covid ??
Nous reprenons la route en direction de Benidorm. Cette fois ce sont des étendues d’agrumes que nous traversons. Les arbres sont couverts de fruits et l’activité bas sont plein dans les grandes entreprises qui s’occupent de leur commercialisation. Nous sommes tentés de nous arrêter pour ramasser quelques fruits tombés au sol mais nous n’osons pas.
Il est temps d’envisager de trouver un endroit pour passer la nuit. Les jours sont courts et il faut s’arrêter vers 19h au plus tard. C’est à Moraira que nous nous posons. Il y a un grand parking ombragé à coté de la plage. Il est interdit aux camping-cars, mais en cette saison il doit y avoir une tolérance vu le nombre que nous sommes. Ici pas de grandes plages de sable mais une côte rocheuse et des criques où évoluent des surfeurs. Pas de grands immeubles non plus mais des maisons blanches qui se détachent dans le vert de la pinède. C’est beau. Beaucoup de bars et de restaurants sont ouverts mais il n’y a pas beaucoup de clients. Il y un supermarché anglais et ça parle pas mal anglais chez les seniors qui sirotent un verre aux terrasses des bars. C’est peut être un lieu prisé par les british.

mardi 8 septembre 2020

PEONE 8 9 2020


 

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Mardi 8 septembre: 

Péone c'est la bonne surprise du matin. Un petit village médiéval, coquet, entouré de colonnes en calcaire dolomitique. 

Nous décidons d'en faire le départ de notre randonnée du jour. Nous choisissons un circuit qui nous fait suivre la route en direction de Valberg jusqu'à un pont d'où part le chemin en direction de Saint Pierre et Septenne. Nous suivons le torrent sur une piste. Alors que je m'apprête à prendre une photo de colonnes j'entend du bruit de l'autre côté du torrent dans les éboulis. Je me dis qu'il doit y avoir quelqu'un et là, surprise je vois une harde de cinq chamois traverser l'éboulis et se diriger vers les rochers qu'ils escaladent avec agilité. J'appelle JC qui marchant devant ne les a pas vu. J'ai essayé de faire une photo lorsqu'ils étaient tout près mais mon zoom s'est coincé. C'est toujours comme ça. Tant pis! Nous les suivons du regard un long moment et JC parvient quand même à faire quelques photos.

Il nous faut maintenant grimper en direction de Saint Pierre. Le chemin ombragé est agréable. Dans le hameau une maison à côté de l'église. Sur le linteau de l'église sont sculptées des clés et une date 1702. Un peu plus haut un gars est en train de restaurer une maison. Quel boulot! Surtout que pour transporter les matériaux ce n'est pas évident car pas de route! Le chemin grimpe encore beaucoup jusqu'au hameau de Septenne. Pratiquement toutes les maisons ont été restaurées. Autour de nous les traces des restanques qui délimitaient les champs. Nous sommes sur une sorte de plateau au pied des sommets caillouteux de la montagne de l'Estrop qui forment une sorte de cirque. C'est une zone d'alpage. On entend les cloches des brebis et des panneaux nous préviennent de la présence de patous. Nous redescendons par un chemin agréable et facile qui passe par le village de Gombes. Là aussi les maisons ont été restaurées et certaines sont occupées et doivent servir de résidences principales. 

Une belle randonnée de 10km et 700m de dénivelé. 

Nous reprenons la route vers Guillaumes puis les gorges de Daluis. Saisissant! La route surplombe le var qui a creusé son lit dans les schistes rouges. Quel spectacle que ces roches découpées et ces à pic vertigineux. 

Plein les mirettes!

lundi 7 septembre 2020

La Madone de Fenestre 7 9 2020



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Lundi 7 septembre 2020 : le col de la fenestre

Nuit tranquille et même pas trop froide. Le matin il faut quand même un peu de chauffage pour le petit déjeuner. Départ 8h. On veut être rentrés tôt car la météo annonce du mauvais temps pour l'après midi.

Direction le pas des ladres( voleurs en italien). Peu après le refuge, dans le vallon en dessous du chemin un chamois prend son petit déjeuner. Il est tranquille. C'est fantastique et de bonne augure. Il y a beaucoup de vent et nous sommes couverts. Les nuages vont et viennent, mais c'est surtout de la brume qui arrive de l'Italie. La montée jusqu'au "pas des ladres" est très caillouteuse et traverse plusieurs pierriers. L'occasion de voir d'autres chamois...quatre de plus et toujours le même émerveillement. Du haut du "pas des ladres"(2500m)  on a une belle vue sur le lac de Trecolpas en contrebas . En une demi heure on atteint l'embranchement vers le col de fenestre. Aucune visibilité. On amorce la descente vers le lac du même nom en laissant sur la gauche une maison et un blockhaus qui ont dû servir pendant la ou les guerres. La descente de ce côté  est facile. Après le lac sur des rochers une maman marmotte énorme prend le soleil en surveillant ses bébés qui jouent. Il y a trop de monde sur les sentiers pour que l'on voit d'autres chamois. Pour voir les animaux il faut se lever tôt comme nous dit un jeune randonneur qui fait la traversée des alpes et démarre à l'aube tous les matins. Nous arrivons à midi au refuge du CAF de la Madone. Au menu du jour daube, pâtes et tarte aux myrtilles.....que du bonheur. Le temps se gâte et c'est maintenant très nuageux. On va redescendre vers St Martin Vésubie. 

Nous redescendons la vallée de la Vésubie. Retour sur la grande route jusqu'au croisement de la route des gorges du Cians que l'on décide de suivre. Magnifiques gorges étroites creusées dans des roches rouges par l'impétueuse rivière. Lorsqu'on arrive à Beuil la vallée s'élargit et l'on se retrouve au milieu des forêts et des prairies. Malgré l'altitude les reliefs sont doux. Nous passons à Valberg, et nous poursuivons jusqu'à Guillaumes. Le village se love au pied du rocher qui porte les ruines du château construit par le roi René et renforcé par Vauban. 

C'est notre étape du soir.

dimanche 6 septembre 2020

Autour Saint Martin Vésubie 6 09 2020


 

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Dimanche 6 septembre 2020 : autour de Saint Martin de Vésubie

Nous garons le CC à Saint Martin car nous voulons monter jusqu'au village de Venanson à pieds. Par la route, heureusement qu'il n'y a pas trop de circulation et lorsque c'est possible en empruntant un petit sentier qui coupe les virages. La vue sur St Martin de Vésubie est magnifique. Les maisons du village serrées les unes contre les autres forment une tache colorée dans un écrin de verdure. C'est un village typique de la région avec ses maisons hautes aux façades colorées. Il forme une sorte de langue du N au Sud où il semble avoir été stoppée par la courbe de la route. Nous arrivons à  Venanson à l'heure du café du matin que nous prenons sur la place du village. Nous aurions pu monter en CC car il y a un grand parking à l'entrée du village. Mais cela aurait été dommage. Nous baladons à travers les ruelles étroites qui sont très bien entretenues. Il y a une vue magnifique sur St Martin et les sommets qui l'entourent, le fond de la vallée de la Vésubie mais aussi en aval sur la partie qui descend vers Nice. 

Retour à Saint Martin pour le repas au CC.

Pour le café on choisit d'aller au centre du village. Il y a du monde. Forcément c'est dimanche. Ensuite balade dans les rues. La rue principale assez étroite est parcourue en son milieu par une gargouille. C'est le village des fontaines. Il y en a un peu partout. Le centre vital du village est relativement petit et beaucoup de commerces n'ouvrent que pendant la saison estivale. Alors forcément on a vite fait le tour. 

Un grand ensemble attire notre attention, le Vesubia, un parc de loisirs en salle qui abrite des murs d'escalade, un parcours de canyoning, une piscine. C'est super! Et en particulier pour les enfants.

Pour finir la journée on prend la route de Boréon. Au niveau du lieu dit ."trois ponts" on abandonne le CC et on prend le chemin qui conduit au lac. C'est rapide. Le lac est un lac de barrage et sans doute une " mine" pour les pêcheurs qui sont à touche touche. Et encore il ne fait pas très beau.

Dernière étape de la journée, la montée au lieu dit la "Madone de la Fenestre". La route est plutôt sympa et relativement large, sans trop de précipices impressionnants. Mais à l'arrivée les derniers lacets grimpent dans un désert de pierre jusqu'au lieu dit. Une chapelle, entourée d'un hôtel pour pèlerins et du refuge CAF et tout cela au pied d'un mur de montagnes minérales. Avec le temps gris c'est impressionnant. Dans la chapelle quatre religieuses sont en train de prier. Cet endroit est un lieu de prière très prisé. On est a deux mille mètres et il ne fait pas chaud.

samedi 5 septembre 2020

Col du Turini 5 09 2020


 

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amedi 5 septembre 2020 : le Turini

Après une nuit tranquille nous allons stationner au col. Des petits bolides de rallye ont recommencé à circuler...

Nous prenons le GR qui passe au dessus du circuit de luge et qui suit un parcours appelé" sentier musical". Des installations métalliques sur lesquelles ils faut taper ou qu'il faut agiter. Alors bruit c'est sûr, musique c'est à l'appréciation de chacun. Nous suivons un moment le GR que nous quittons au profit d'un sentier jaune qui nous conduit à la cime de Souras. On a une belle vue jusqu'à la mer et Nice dans la brume marine et surtout sur la vallée de la Vésubie. Quelques difficultés au début du chemin qui descend et nous permet de rejoindre le GR. Le retour vers le col nous prend un peu plus d'une heure par une piste agréable qui monte lentement. Au col les petits bolides s'en donnent a cœur joie. La route qui redescend vers la vallée de La Vésubie est fermée pour cause de course automobile. Il y a trois épreuves et les moteurs vrombissent. 

Il nous faut attendre la réouverture de la route. Nous faisons connaissance d'un couple de retraités en vacances dans la région. Nous partageons un pastis léger avant de reprendre la route vers St Martin de Vésubie. Dans cette région les villages sont souvent perchés et serrés autour de l'église. Avec les couleurs chatoyantes de leurs façades ils sont magnifiques au soleil couchant. C'est le cas de La Bollene  Vesubie. Avec le CC il est souvent difficile de trouver un coin plat pour s'arrêter.


vendredi 4 septembre 2020

Castellane Entrevaux 4/09/2020


 

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Vendredi 4 septembre : escapade dans l'arrière pays varois

Après une nuit très calme du côté de Draguignan, nous faisons la pause café du matin à Castellane. La ville fait un peu ratatinée au pied du gros rocher qui la surplombe. Bien que nous ne soyons plus en période de vacances il y a du monde, des motards et aussi des amateurs de sports d'eau vive. Castellane a été une étape pour Napoléon lors de sa fuite de l'île d'Elbe. Avec son petit bataillon de soldats il a mis 17 jours pour aller de Golfe Juan à Paris par une route appelée aujourd'hui "route Napoléon". Nous longeons le lac de Castillon dont une grande partie est réservée à des activités militaires. En franchissant cols et clues nous arrivons au pied de la bourgade fortifiée d'Entrevaux. Il y a un très grand parking près de la gare avec devinez quoi, des campings cars en "pagaille ".

Une fois franchie la porte royale on entre dans la vieille ville. L'attraction principale c'est la citadelle construite par Vauban. Mais pour l'atteindre il faut suer en grimpant le long de la rampe d'accès en lacets, en particulier à 14h avec une température de 30°. De là haut on a une vue magnifique sur le village ( très beaux toits) la vallée vers Puget -Thénier, les montagnes alentour. 

Nous reprenons la route en direction de Nice. En fin d'après-midi nous bifurquons vers la vallée de la Vésubie. Quelle circulation! C'est la fin de la semaine et ce sont peut-être  des vacanciers qui rentrent chez eux. Un peu plus loin la route qui monte( 1600m de dénivelé depuis Nice) vers le col de Turini est moins fréquentée. Heureusement car certaines portions ont des à pics impressionnants.  Beaucoup de motos quand même et des voitures conduites par des " pilotes de rallye amateur" . Une route très ombragée dont les arbres commencent à prendre des couleurs d'automne. En fin de journée la température tombe.

mardi 25 août 2020

Toulouse et le Sidorbe 25 08 2020


 

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Mardi 25 août Toulouse et le Sidobre

Aujourd'hui pas de rando. Nous avons prévu de visiter Toulouse. A la météo ils annoncent que c'est la ville où la température est la plus importante,35° ....chaud, chaud. Enfin on verra bien. Le parking que nous avons repéré se trouve près du jardin botanique. Il est très ombragé. Seul bémol, les tarifs. Jusqu'à 4h c'est 2h. Et puis au delà ça grimpe à 30€. Alors on s'accorde une visite express.

Première étape la place du capitole et l'hôtel de ville. Sa façade "en jette". Mais l'intérieur  aussi, du moins ce qui est visitable : le grand escalier, l'ancienne salle des mariages, la grande salle, dite des illustres, la salle du conseil municipal. 

Et puis derrière il y a la tour dans laquelle se trouve l'office du tourisme. A l'intérieur un très bel escalier en bois. Le toit avec son beffroi a été réalisé par l'architecte Viollet-le-Duc qui a été chargé de la restauration à la fin du XIX -ème siècle. On pense à Notre Dame...on reconnait le style. 

La Basilique St Sernin, la nef est belle mais le cœur beaucoup trop chargé à mon gout. 

Petit coup de cœur pour le couvent des Jacobins. On pourrait y passer beaucoup de temps pour bien s'imprégner de son histoire qui est étroitement liée à celle de Toulouse. L'église construite en plusieurs étapes est grande, élégante avec ses fins piliers où alternent briques roses et pierres blanches : vitraux, peintures murales complètent l'ensemble de façon harmonieuse. Très joli cloître. Un bel ensemble.

Parcourir les rues, admirer les assemblages de briques rouges qui constituent les murs des édifices donnant à la bille son surnom de ville rose. De très beaux bâtiments avec leurs façades et leurs balustrades travaillées qui traduisent la richesse de la ville.

Une visite trop courte...on reviendra.

Nous reprenons notre route. Direction Castres, puis plus à l'est la région du Sidobre. Cette région se caractérise par la présence de gros blocs de granite érodés qui forment des constructions. C'est le cas de la Peyro Clabada un grand et gros bloc de 780t ( c'est ce qui est écrit) supporté par quelques petits blocs. On dirait le bilboquet d'Obélix. Et puis il y a la rivière des blocs et le lac du Merle, un lac artificiel où affleurent de gros blocs de granite. Partout le long de la route des carrières de granite.

Nous poursuivons notre route en direction de Clermont d'Herault en passant par Brassac, Lacaune et jusqu'à St Gervais sur Mare. La route qui traverse des châtaigneraies est très agréable.  C'est à St Gervais sur Mare que nous nous posons pour la nuit. Nous avons trouvé un endroit idyllique, près du cimetière et le long de la rivière. Autrefois l'activité du village tournait autour de la découpe de planchettes de châtaigniers qui étaient ramollies dans les eaux de la rivière avant d'être mises en forme pour le cerclage des tonneaux. Aujourd'hui le village est essentiellement touristique. Sur la place ombragée on se régale de bonnes pizzas et de bonnes glaces.