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samedi 28 décembre 2013

Birmanie 2013 Balade sur le lac Inle 28/12


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samedi 28/12/2013
Nous partons en barque pour le marché flottant du jour. Il nous faut 45 minutes pour l'atteindre. Le temps est gris et il fait froid. Lorsqu'on arrive sur le lac, après un quart d'heure de navigation sur la rivière il y a des barques de pêcheurs Intha qui attendent les touristes pour la photo. Il y a tout, le costume, la nasse, le filet, la perche manœuvrée avec le pied et le poisson qui attend dans un seau.......Il faut bien que tout le monde vive et les touristes repartirons heureux avec de belles photos. Quand ils ne prennent pas la pause, les pêcheurs sont difficiles à saisir par les objectifs des photographes. Le marche flottant ne flotte plus par manque d'eau semble-t-il. Il se déroule en partie autour d'un monastère et en partie sur les digues qui longent les maisons flottantes. Il y a essentiellement des articles artisanaux pas très intéressant et surtout identiques d'un stand à l'autre. Nous visiterons une fabrique de cigares locaux, les chérots . Les filles assises en tailleur ( elles me montrent qu'elles ont des douleurs dans le dos) fabriquent 1000 cigares par jour entièrement à la main. Quelle dextérité! Nous reprenons la barque pour rentrer en ville avec notre bout de chou tandis que les grands continuent le voyage sur la lac pour aller jusqu'à In Tein pour y voir le cimetière de vieilles pagodes et profiter de la vue sur le lac.

vendredi 27 décembre 2013

Birmanie Rando lac Inle 27/12/2013

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vendredi 27/12/2013

A 7h30 c'est le départ pour la randonnée qui va nous conduire de Nuang Swe  a Min to en passant par la montagne. En partant de Nuang Shwe nous longeons la route pendant environ 20 minutes. Il y a du trafic, de la poussière que nous aurions pu nous éviter en prenant un taxi jusqu'au croisement avec la route en terre qui marque le début de notre circuit. H et ses parents vont faire la première heure de randonnée avec nous, jusqu'au premier village ou nous visitons la salle (grotte) de prière d'un monastère.  Ensuite nous attaquons la montée. Il fait beau et nous profitons de la nature et du paysage. Ici en cette saison les "roses de Noël" sont en pleine floraison et forment des buissons de un à deux mètres de haut en bordure des chemins. Rien à voir avec les plantes en pots de nos serres. Le dénivelé est important (450m) jusqu'au village ou nous prenons notre repas dans une maison traditionnelle sorte de "gîte d'étape ". Nous sommes plusieurs petits groupes de touristes (mais ce sera le seul endroit ou nous serons regroupés. En fait il y a peu de candidats pour cette longue randonnée d'environ 23 km. Au menu, "Guacamole"maison avec galettes de riz, noodle soup, fruits, petits sables le tout accompagné de the vert. Nous reprenons la route vers 13h. Nous traversons un village important, nous rencontrons quelques habitants, mais beaucoup sont au travail, dans les champs. Le sommet de notre randonnée est à 1450m. Par endroit nous avons une très belle vue sur le lac et les abords. La descente est assez raide. En bas nous passons à côté d'un bassin alimenté par une source. L'eau n'est pas froide et des moines sont en train d'en sortir. Un peu plus loin un groupe de moines joue au foot. C'est le début du ramassage de la canne à sucre nous doublons quatre attelages de boeufs charges de canne. Pas question de rester derrière à cause de la poussière . Nous voici a Min to. Le piroguier nous attend pour nous ramener au point de départ moyennant 7000kt. Nous en avons plein les bottes. Au menu de ce soir, pâtes, pizza et morito. Il y a la fête à Nuang Shwe et toutes les lumières et la musique attirent notre petit bonhomme.

mercredi 25 décembre 2013

BIRMANIE (MYANMAR) Noel à Yangoon

J3_J4_J5 : 23, 24, 25/12/2013 : pas de problème, notre petit bonhomme nous a bien reconnu. Des le matin nous sommes en mode jeu et promenade. Le premier jour nous allons au jardin d'enfant du restaurant zéphyr pour profiter des toboggans. C'est un succès!! Facile, il adore. Le lendemain nous prenons un taxi pour aller au centre ville avec pour mission de trouver une moustiquaire sympa et surtout assez sobre pour le lit de M et K. Le seul moyen de se déplacer avec un bébé c'est le sac à dos car il faut serpenter entre les étals qui envahissent les trottoirs et la foule qui s'y presse. Se balader avec un bébé, de surcroît blond comme les blés est l'assurance d'un franc succès. Les birmans sont d'une extrême gentillesse qui est encore décuplée lorsqu'il s'agit d'enfants. On le touche, on lui fait des signes, on lui sourit...Et lui, qui semble adorer tout cela, le manifeste en tapant des mains, en émettant des petits bruits de joie. Après une première tentative infructueuse nous finissons par trouver l'objet de notre mission. Cela passe par une conversion des mètres en pouces et d'un questionnement pousse en direction des vendeurs  pour savoir à quoi correspondent les trois dimensions indiquées sur l'emballage. Ça peut paraître bête, mais ce n'est pas si simple. En bref cette expédition nous prend l'après-midi, mais c'est un succès. Nous sommes le 24 décembre et une soirée de Noël dans le jardin sous la pergola a siroter une petite coupe de champagne c'est qu'en même le top. C'est le 25 décembre en début de matinée que nous allons à l'aéroport pour accueillir A et L qui arrivent de Californie. Malgré un long voyage et un gros décalage horaire ils sont en forme et nous allons faire le repas de Noël à midi. Pour les cadeaux nous attendrons la fin de la sieste de H afin qu'il soit en forme. Nous sommes tous plus impatients que lui. Au top 10 des cadeaux il y a le toboggan. Un grand bravo au père Noël californien qui a surfe (c'est un jeu de mots facile) sur la nouvelle passion du petit bout. Pour digérer, le groupe des filles se lance dans une chasse au trésor. Le jeu consiste à trouver des verres ou d'autres objets en verre souffle empiles sous de la végétation. Autrefois à Rangoon il y avait une fabrique de verre souffle qui a été détruite au moment du cyclone Nargis. Toute la production de l'époque est en tas dans la jungle. Il y a beaucoup de pièces cassées, mais celles qui restent sont uniques. Quelques anciens employés sont la pour essayer de vendre ce qui  est encore entier et récolter un peu d'argent. Ils répondent à des commandes de restaurants surtout tenus par des étrangers qui apprécient ce travail et puis ils permettent aux gens intéresses de faire ce que nous faisons. Il y a beaucoup de choses un peu kitch, mais à trois nous arrivons à sélectionner une douzaine de flûtes  à champagne toutes différentes. Le prochain défi sera de les ramener entières en France.

vendredi 26 avril 2013

Nepal 2013 Mardi 22, mercredi 23 avril 2013 : Kathmandou


Mardi 22 avril
Nous arrivons à Kathmandou dans la grisaille. Notre hôtel est en centre-ville dans le quartier de Thamel. C’est un hôtel de bon niveau (47€ la nuit) pas désagréable de temps en temps. La grisaille a évolué en petite pluie fine et compte tenu de l’état de mes chaussures de marche encore spongieuses, je décide de sortir en tongs avec le pantalon retroussé en short. Khatmandou, par temps sec c’est la pollution +la poussière et par temps de pluie, c’est encore la pollution (moins visible) mais avec la gadoue et les flaques d’eau. Très rapidement j’ai les pieds boueux et les jambes couvertes d’éclaboussures. Kathmandou , c’est  aussi une ville  grouillante de voitures, de motos, de vélos… et de gens. De temps en temps une vache (sacrée), un singe et tout cela semble vivre en harmonie. Enfin, peut-être bon gré mal gré.
Nous prenons un taxi pour aller  jusqu’au magasin Dhukuti qui vend des articles artisanaux issus du commerce équitable et comme la pluie a cessé nous rentrons à pieds en passant par le quartier de Durbar square (quartier des temples de KTM). Beaucoup de policiers avec des bâtons. C’est impressionnant ! Dans les petites rues du quartier de Thamel je fais de gros efforts pour ne pas m’embourber et éviter les motos. Klaxons impatients. Ce n’est pas très agréable.
Mercredi 23 avril
Nous avons toute une matinée libre à KTM avant de partir pour l’aéroport. Il fait beau, soleil et ciel bleu. Nous en profitons donc pour retourner dans le quartier de Durbar square. Nous arrivons même à éviter les postes de péage (750roupies/personne). Dans un des temples nous croisons une famille qui fête le passage à l’âge adulte de leur fille (Les filles de Newar subissent une cérémonie de Bahra quand elles atteignent l’adolescence. Puisque la  menstruation est considérée rituellement impure, les filles subissent l'emprisonnement rituel pendant 12 jours. Elles sont séparées de tous les mâles et de la lumière du soleil pendant 12 jours tandis qu'elles sont adorées à la fin par les parents féminins. Le 12ème jour la fille doit  rendre hommage au soleil). 
Les rues, le quartier tout a un autre visage sous le soleil. Nous prenons des ruelles non touristiques. Il y a de vieilles maisons avec des portes et des fenêtres en bois sculpté souvent très abimées. Les habitations sont en carré autour d’une cour et au milieu de la cour se dresse souvent un temple. Partout aussi de petites épiceries, de petits restaurants et des vendeurs de bord de rues. C’est agréable de sortir des sentiers « pour touristes ».

lundi 22 avril 2013

POKHARA 21 Avril 2013

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Dimanche 20 avril : Pokhara, rando sous la pluie
Depuis plusieurs jours il pleuvait en fin d’après-midi et parfois la nuit, mais le matin le temps était clair. Ce matin, c’est la mélasse et il pleut. Nous avons programmé une balade à la pagode de la paix…alors comme il n’y a pas grand-chose à faire, nous décidons de ne pas changer nos plans. Première étape trouver « l’embarcadère » pour se faire conduire de l’autre côté du lac. Ce ne sont pas les mêmes barques que celles qui conduisent au temple indou situé sur une petite île. Il faut aller un peu plus haut, sur la gauche en regardant l’embarcadère du temple. On trouve un rameur qui nous regarde bizarrement et nous propose même de nous conduire à la pagode par la route en taxi. Mais c’est mal nous connaître. Le temps d’un écopage et nous voilà partis. Il faut bien ½ h pour atteindre la partie de l’autre rive d’où part le sentier. Nous sommes l’attraction pour les hindouistes qui vont au temple. Le sentier est tour à tour un escalier et un chemin empierré…et ça glisse. C’est sans doute une belle promenade lorsqu’il fait beau. Vue sur le lac, sur les cultures en terrasses, la ville et sans doute les montagnes. Mais tout cela nous ne pouvons que l’imaginer à travers les gouttes de pluie de plus en plus serrées. La cape que j’ai acheté ce matin ne fait pas illusion très longtemps et je commence à être bien humide. Enfin la voilà la pagode de la paix, toute blanche. On va jusqu’au bar avec vue imprenable……par temps clair. Le temps d’un thé, la pluie redouble de puissance. On pourrait prendre un taxi et rentrer. Que diable !!!Et nous voilà partis par le sentier de la forêt. Le jeune homme qui nous sert au bar nous parle des risques de subir l’assaut de quelques sangsues, même si ce n’est pas la saison. Le chemin est boueux, glissant. Nous sommes trempés jusqu’aux os et nos pieds font floc floc dans les chaussures. Parfois nous hésitons sur la direction à prendre. Heureusement il y a un balisage orange-fluo et nous finissons par trouver les marques, pas toujours évidentes à repérer. Nous voici en bas. Il faut encore marcher jusqu’à un pont suspendu, le traverser, gagner la route et prendre le bus de ville qui nous ramène à l’hôtel. Nous voici arrivés. La douche chaude n’est pas du luxe. Nous voici avec un gros tas de linge mouillé, des chaussures détrempées et la pluie qui continue à tomber.
Que faire à Pokhara les jours de pluie ? Monter et descendre lake side en faisant du lèche-vitrine (ce sont les mêmes choses que l’on trouve de boutique en boutique) et manger. C’est ce que nous faisons. Resto testé : « Lemon tree » bien (poisson et steak, ça nous change des pâtes et du riz) et pas cher

vendredi 19 avril 2013

Nepal De Pothana à Pokhara 19 avril 2013 (fin)


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Vendredi 19 avril : De Pothana à Pokhara
Ce matin encore c’est la bonne surprise : un beau soleil qui nous permet d’admirer les montagnes enneigées. Il n’a pas fait chaud pendant la nuit. Comme il n’y a pas d’isolation, et c’est rien de le dire pour les murs et le toit en bois qui laissent voir le jour, j’avais de l’air qui me tombait sur le visage et cela m’a réveillé tôt. Mais ce n’est pas un problème car c’est le dernier jour de trek et il n’y a que quelques heures à marcher. Nous faisons nos « adieux » à la jeune polonaise que nous avons rencontré la veille, avec qui nous avons sympathisé et passé une bonne soirée. Elle fait une thèse à Londres, au King’s collège sur les possibles origines génétiques de l’autisme.  Elle démarre juste le trek, mais en sens inverse.  Nous sommes contents de l’avoir fait dans le sens Nayapul-Phedi car cela nous a permis de découvrir les montagnes peu avant Ghorépani et ainsi d’avoir «  le choc ». Direction Dhampus. Magnifique petit chemin qui descend lentement. De temps en temps des maisons, un hameau, des cultures en terrasses, des gens qui travaillent, d’autres qui se déplacent et nous. Nous croisons quelques touristes car c’est aussi le chemin pour atteindre l’ABC en partant de Phedi. C’est même l’un des chemins principaux, balisage blanc et rouge. Pour les chemins secondaires c’est un balisage blanc et bleu. C’est JC qui m’explique tout cela et qui l’explique aussi au guide qui n’avait jamais trouvé utile de s’informer ( comme sur beaucoup d’autres choses).Après Dhampus la descente est raide et se fait par des escaliers. Nous arrivons à Phedi  vers 10h et nous attendons 11h pour manger. Il y a de l’animation. La police est en train de « démanteler » une distillerie clandestine d’alcool de millet. Il leur faut appeler un camion en renfort pour charger tous les futs saisis. Un taxi nous conduit jusqu’à  Pokhara. Nous laissons notre porteur à la gare de bus car il repart immédiatement pour KTM. Un homme sympathique, discret et attentif qui à 54 ans, malgré la difficulté, fait son métier de porteur avec le sourire. Il connaît mieux les chemins que notre jeune guide, mais il ne parle pas suffisamment une langue étrangère pour être guide. Dommage ! Nous descendons à l’hôtel Barahi, catégorie luxe, avec piscine. C’est le cadeau d’anniversaire que m’offre JC, car aujourd’hui j’ai 60 ans. Le cadre est sympa et reposant. Je passe l’après-midi au bord de la piscine où je bouquine avec bonheur après avoir lu les témoignages  d’amour de mes trésors. Le Bonheur avec un grand B. Comme tous les jours le temps se couvre. Une balade au bord du lac nous permet de retrouver un couple de français dont nous avons fait la connaissance avant le trek. Des problèmes de santé ne leur ont pas permis de faire le trek prévu. On mesure notre chance ! Pour nous tout s’est bien passé et nous avons bien encaissé les km, les dénivelés et l’altitude. Nous prenons un pot ensemble. Puis nous allons manger. C’est moi qui choisis, le « lemon tree ». Un bon choix. Le cadre est agréable, le personnel sympa et les plats (poisson grillé et légumes pour moi et steak à l’ail pour JC) sont bons. Nous mangeons pour 16€, une vraie fortune !!!Il y a même du vin. Nous constatons qu’à Pokhara les prix sont bien moins élevés que sur la route du trek où une sorte de syndicat a établi une carte identique pour toutes les gh. Les prix aussi sont fixes et pas forcément en rapport avec la qualité de ce qui est dans l’assiette. Cela se justifie sans doute pour les gh des villages inaccessibles par les routes, mais pour les autres qui font partie du groupement cela me semble exagéré.

jeudi 18 avril 2013

Nepal 2013 de Gandruk à Pothana 18 avril


 
Jeudi 18 avril : De Gandruk à Pothana
Comme tous les matins depuis que nous avons commencé le trek il fait beau et le ciel dégagé nous permet d’admirer les montagnes. Et pourtant le soir ce n’est pas gagné car il pleut, il pleut… Nous prenons le petit déjeuner sur la terrasse du mountain view lodge. Et c’est vrai que c’est à couper le souffle. Nous partons vers 8h pour une descente de 700m vers la rivière en direction de Landruk. J’ai une profonde admiration pour les hommes qui ont construit les escaliers en pierres que nous empruntons  depuis le début de notre périple. La descente est raide et nous fait passer à côté de maisons où les gens vaquent à leurs occupations et les enfants jouent. Beaucoup d’enfants réclament des bonbons ou de l’argent. Pour nous il est hors de question de répondre  à la demande. Nous donnons spontanément et c’est l’occasion pour JC de jouer M.ballons. Surprise ! un singe passe sur le chemin avant de se réfugier dans un arbre d’où il nous observe. Nous voici à la rivière. Sur le pont nous croisons un groupe de français en train d’observer des essaims d’abeilles suspendus aux parois des rochers ; un peu plus haut, un groupe d’hommes est rassemblé autour de deux « apiculteurs » qui viennent de récupérer un essaim. Ils ont un équipement sommaire. La montée est agréable et moins pénible que la descente. Pause thé à Landruk, puis repas à Torkal pizza( pas mal), galette de pommes de terre, oignons et fromage, salade de chou et de fruits (pommes et bananes) C’est bien de pouvoir manger des fruits et légumes !. Aujourd’hui les femmes sont à la maison et nous pensons que c’est parce que c’est un jour de fête pour les hindouistes (plusieurs ont une marque importante sur le front). Après le repas il faut à nouveau monter jusqu’à Deureli et ce n’est pas drôle car la pluie commence à tomber. Je me réchauffe au coin du feu d’une dame qui prépare les lentilles pour le Dal bat. Elle a tapissé la cocotte d’une couche de cendre mélangée à de l’eau. Cela forme une croute protectrice contre le noir de fumée et facilite le nettoyage. Nous sommes contents d’arriver car il pleut et cela empire au fur et à mesure de la fin d’après-midi et puis 15kms et 1500m de montée puis descente ça fatigue !