pays visités par année
PAYS VISITES:
2011 CALIFORNIE /
2012 VIETNAM LAOS BIRMANIE ALBANIE /
2013 BIRMANIE CHINE NEPAL/
2014 INDES MAROC/
2015 BIRMANIE INDE(ARUNACHAL-PRADESH)
CALIFORNIE NICARAGUA/
2016 THAILANDE MAJORQUE IRAN/
2017 COLOMBIE JORDANIE/
2018 CHILI FRANCE (HAUTES-ALPES)/
2019 THAILANDE ITALIE(POUILLES )/
2020 ETHIOPIE FRANCE (Pyrénées) ESPAGNE/
2021 CNARIES(FUERTEVENTURA-LANZAROTTE)/
2022 LANZAROTTE Espagne(VALd'ARAN) France (QUEYRAS)/
2023 CANARIES (TENERIFE-GRAN-CANARIA) Mexique(YUCATHAN) France(VALGAUDEMAR )
Italie(SARDAIGNE) COLOMBIE/
2024 BRESIL France Pays Basque Espagne/
jeudi 7 novembre 2024
Colombie Santander 2024 Jeudi 7 novembre 2024
Jusqu'à présent nous avons eu beau temps en journée et parfois un peu de pluie en soirée. Il a plu hier soir
Ce matin il y a de la brume et du vent donc mystère pour la suite. Il fait frais car nous sommes à 1600m d'altitude dans une zone de caféiers
Après un bon petit déjeuner local nous partons à la rencontre de Sergio, notre taxi, qui doit nous conduire à Cepita. La route est longue, tortueuse et impressionnante. Le dénivelé est important et l'apique impressionnant.
Nous arrivons à Cepita après une bonne heure de route. C'est un joli village colonial qui s'épanouit dans une sorte d'oasis au bord du Rio. Sur la place deux beaux arbres pluri centenaires. Ce sont des ceiba ( kapoquier) nous disent les jardiniers. Le temps d'un "tinto" et nous partons pour notre rando. Un panneau indique la direction et juste à la sortie du village un autre panneau résume la rando. Mais c'est bien le seul repère que nous aurons. Au début le sentier est très agréable. Il nous fait suivre les jardins luxuriants. On y trouve des plantations de tabac, des agrumes, des manguiers, des bananiers. Le coin semble très fertile sans doute grâce aux limons du Rio. Nous quittons cette zone fertile pour nous retrouver dans une zone plus sèche où les cactus candélabres remplacent les arbres fruitiers et où il faut essayer d'éviter les arbustes piquants. Il fait très chaud car l'ombre devient plus rare. Subitement, à l'approche d'une falaise, le chemin s'arrête. Il faut descendre sur la plage au bord du Rio et chercher l'endroit où l' on va pouvoir rejoindre le sentier. Ce n'est pas évident et un peu scabreux. On finit par y arriver. Mais très rapidement le chemin rétrécit encore avant de disparaitre partiellement après s'être effondré dans le Rio qui impétueux vient creuser la rive. Stop ! Nous n'irons pas plus loin. Trop dangereux. Demi tour. Arrivés à Cepita nous cherchons un moyen de locomotion. Pas de taxi, pas de collectivo. Il nous reste à faire du stop
Nous avons la chance de pouvoir embarquer dans un camion de livraison. Le chauffeur et son aide nous font de la place. La conduite du camionneur est assez sportive. Il a l'habitude et il roule assez vite. Dans les virages en épingle à cheveux, très nombreux, j'ai l'impression que l'on va tirer droit direct dans le canyon. Ce ne sont pas les différents oratoires répartis le long de la route qui vont me rassurer. Une petite heure après notre départ, c'est long quand on n'est pas rassuré, il nous déposent au niveau du téléphérique du parc de Chicamocha. Voilà une nouvelle occasion d'explorer le canyon. Une demi-heure pour aller d'un côté à l'autre avec passage au-dessus du Rio et un peu de stress lorsque le vent se lève et agite la cabine. C'est impressionnant. Ce canyon de Chicamocha que nous parcourons depuis plusieurs jours est considéré comme le plus profond au monde, dépassant même le grand Canyon du Colrado.
Whaou !
Retour à l'hôtel en bus
Une nouvelle belle journée
Plein les mirettes
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