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lundi 13 avril 2015

Californie 2015 Los Angeles lundi 13 avril.


Nous arrivons par le sud, de San Diego. Impossible d'imaginer circuler sans l'aide d'un GPS sur les immenses et larges rubans d'asphalte qui parcourent la ville. Première étape le Check inn a l'hôtel Super 8 de sunset boulevard. Plutôt bien placé et avec un parking ce qui n'est pas négligeable dans une ville où il est quasiment impossible de se déplacer sans voiture. Nous avons choisi de faire une visite organisée de tous les quartiers de villas résidentielles. Rendez-vous à côté du Chinese Theater sur Hollywood Blvd. Nous nous garons dans le parking du centre commercial Hollywood et Highland. On ne peut pas faire plus central. Les deux premières heures sont quasiment données, mais attention ensuite les tarifs grimpent tous les quarts d'heures!!!! Le Chinese Theater a une façade impressionnante, très chinoise. Mais ce sont surtout les empreintes des mains et des pieds de stars sur le sol devant le théâtre qui nous font rêver : "Gregory Peck, Barbara Streisand et j'en passe...Sur Hollywood Blvd il y a  les plus de 2000 étoiles des plaques des célébrités. On passerait beaucoup de temps à regarder le sol si le spectacle n'était pas aussi dans la rue. Et en plus aujourd'hui nous avons beaucoup de chance car il y a l'avant première d'une série américaine. Alors devant  l'immeuble Hollywood et Highland le boulevard est bloqué. Tapis rouge, TV, photographes et cris des fans agglutinés contre les barrières pour accueillir les célébrités.
Pendant plus de deux heures, installés dans un minibus à ciel ouvert nous sillonnons les rues du quartier de West Hollywood a la découverte des maisons de rêve cachées dans la verdure. Nous parcourons Mulholand drive dont les maisons accrochées à la colline dominent la ville et d'où l'on peut voir le fameux panneau "Hollywood", ainsi que toutes les rues qui conduisent au quartier de Beverly Bills avec ses maisons de rêves appartenant pour beaucoup à des célébrités. Ce quartier est magnifique avec ses rues bordées d'arbres et en particulier de palmiers. Tout y respire le luxe et le raffinement.
Los Angeles est une ville très étendue, mais très verte et très fleurie. Les maisons sont basses et seul le centre ville possède quelques buildings.
Le soir nous mangeons dans un petit resto situe à côté de l'hôtel, sympa et bon.
Plein les mirettes!!!

mercredi 1 avril 2015

Inde 2015 de Mon à Dibrugarth Mercredi 1 avril . Fin du voyage!


++++PHOTOS

Décidément nous n'avons pas de chance. Il a encore beaucoup plu cette nuit et ce matin c'est limite ....Nous allons au poste de police pour signer le registre de départ. Ensuite direction le village de Hongfu  où nous étions deux jours avant. Dans ce village la fête commence aujourd'hui. Arrivés au village nous montons jusqu'à la maison du roi. C'est un passage obligé. Il pose pour quelques photos avec un vieux copain et nous demande quelques billets. ça aussi c'est un passage obligé, l'impôt photos en quelque sorte. Ensuite nous pouvons balader tranquillement dans le village. Dans ce bourg les gens sont plutôt accueillants. Nous entendons un bruit de tambour provenant d'un muron en cours d'achèvement. Un groupe de jeunes est en train de jouer tandis que des vieux se chauffent et mâchent leur bétel. Il y a la quelques vieux tatoués que nous n'avions pas vu la fois précédente. Cela en fait donc beaucoup dans le village. Dans les habitations on commence les préparatif en tuant un animal qui sera mangé avec la famille et les amis. La pluie a repris et nous décidons de prendre la route du retour. La route est extrêmement dégradée et par endroit ressemble plus à un torrent qu'à une voie de circulation. Les femmes qui transportent leur bois le protègent avec un parapluie.
Le passage du Nagaland à l'Assam est spectaculaire quant au changement d'atmosphère. Abondance de denrées, débordement d'activités. Et puis c'est la richesse de la plaine avec ses cultures et ces étendues de plantations de thé.
Sur notre chemin en passant dans une petite ville nous apercevons des filles en saris sur le point de danser. Nous demandons à nous arrêter et le chauffeur qui est Assami, c'est à dire de l'ethnie principale de l'Assam nous conduit à l'entrée de quelque chose qui semble être le centre culturel. Nous sommes accueillis par ce qui doit être le directeur et placés en situation de VIP. Photos, interview par "live Chanel" la tv locale, invités à danser. Nous avons droit à une démonstration de danse par des jeunes filles d'une extrême grâce même si pour certaines les gestes sont encore mal assurés. Par moment elles utilisent une petite guimbarde en bambou qui était plantée dans leurs cheveux. Quant aux garçons qui portent le traditionnel foulard blanc et rouge ils nous font une démonstration de tambour sous la direction de leur jeune professeur. Parmi les jeunes danseuses quelques unes ont un costume différent et ont aussi un faciès différent. Ce sont des jeunes filles de "type thailande" qui sont les descendantes des populations rois thaïlandais d'Assam.
En fin de journée nous arrivons à Dibrugarth ou nous logeons au Raj Palace. C'est plutôt propre, mais une fois de plus cela n'a rien d'un palace au sens où nous pourrions l'entendre...

mardi 31 mars 2015

Inde Nagaland 2015 Mardi 31 mars : Mon et ses environs


Ce matin encore la déprime. Il est tombé des trombes d'eau pendant la nuit et ça continue. Mon est une bourgade moche. Sous la pluie c'est encore pire. De plus il n' y a pas d'électricité pour deux semaines donc pas de pompe pour amener l'eau aux tuyaux et donc pas d'eau chaude. Il ne fait pas froid mais pas chaud non plus.
Dans la région de Mon on trouve le clan Konyak de l'ethnie Naga. Ils sont réputés comme étant farouches. Ce qui est sûr c'est qu'ils ne sont pas particulièrement souriants et accueillants et les enfants sont particulièrement agités, désagréables et agressifs même. Chez les Konyak, les anciens ont le visage tatoué et même le torse avec un tatouage en forme de V.  On les appelait les chasseurs de têtes car ils coupaient la tête de leurs adversaires qu'ils gardaient en trophées. Cette pratique a été interdite par le gouvernement en 1953. Mais ce sont surtout les prêches des pasteurs qui sont essentiels dans la fin de ces pratiques. Les Konyak sont majoritairement chrétiens et la taille des églises en témoigne. Ils obéissent au système des Angh, qui sont les chefs héréditaires, les rois, ce qui leur a permis de conserver leurs traditions et leurs coutumes.
D'après le guide, pour maîtriser ces farouches  guerriers les anglais ont introduit le pavot et l'opium et cela dure....
A plusieurs reprises ils ont tenté d'obtenir leur indépendance et rien n'est réellement réglé de part et d'autre de la frontière indo-birmane où les populations sont identiques et ont les mêmes traditions. Des militaires indiens, forces du maintien de l'ordre patrouillent sur les routes et vérifient les voitures.
Première destination le village de Longwa situe à 40km de Mon, sur une ligne de crête à cheval sur la frontière indo-birmane. La maison du chef est situé sur la frontière . Le chef est jeune, 37 ans. Il nous reçoit entouré de "sa cour" quelques hommes qui comme lui passent leurs journées devant le feu alternant pipe d'opium, cigarette et tabac à priser. L'opium provient du Myanmar ou de l'Arunachal Pradesh voisin. Il se présente sous la forme de petits morceaux de gaze imbibés d'opium et séchés. Les petits morceaux de gaze sont déposés dans une cuillère avec un peu d'eau et la cuillère est placée au dessus du feu. L'opium redevenu liquide va servir à imprégner une herbe sans odeur. C'est cette herbe qui est brûlée dans la pipe. Les consommateurs alternent une goulée de fumée et avalent une gorgée de thé. Le thé est préparé dans un morceau de bambou vert d'environ 50cm de haut qui reste en permanence dans le feu. Un râteau de bandelettes de bambou obstrué l'orifice de sortie et sert de filtre. Ils rajoutent régulièrement de l'eau. Pour le tabac à priser ils ont aussi une technique mais qui n'est pas propre aux Nagas. Dans le creux de la main ils mettent un peu de chaux, puis du tabac qu'ils mélangent avec la chaux jusqu'à obtenir une boule qu'ils placent dans un coin de la bouche.
Le roi et sa cour ont les yeux injectés de sang, et ils ne feront sans doute pas de vieux jours à ce rythme là. Un vieil homme tatoué fait son apparition. Il s'agit du roi d'un village voisin situe au Myanmar. Il vient donner des conseils à son jeune voisin. La première chose qu'il fait c'est de sortir son attirail de consommateur d'opium.
Les tatouages des femmes sont plus difficiles à repérer. Ils se présentent comme des bracelets autour des bras et en dessous des genoux et des épaules, ainsi que sur les mains.
Notre balade dans le village nous conduit jusqu'à la maison occupée par les soldats birmans avec qui nous échangeons quelques mots. Il n'y a apparemment aucune tension entre les gouvernements des deux pays et donc les soldats sont tranquilles et souriants. Les habitants ont l'air de passer de part et d'autre de la frontière, qui n'est pas matérialisée, sans problème.
On visite quelques morungs, dortoirs pour les jeunes et lieux de réunion pour les habitants d'un quartier. Ils sont généralement décorés de sculptures. On y trouve aussi un tronc creusé et décoré qui sert de tambour.
Les maisons traditionnelles des Nagas Konyak sont grandes. Les murs de l'entrée sont décorés de crânes. La première pièce est à la fois le salon pour les réceptions et la pièce des hommes. Ensuite vient la grande cuisine réservée aux femmes. Les parties chambres sont séparées. La maison repose sur le sol en terre battue. La maison du chef est reconnaissable à ses décorations sur le toit.
Nous visitons ensuite le village voisin. Il s'agit de Tangnya. Le roi est aussi un jeune roi, le cousin du précédent dont les pratiques sont identiques au précédent. Rien de bien intéressant.
Les habitants préparent la fête  de hornbill. Elle dure du 1 au 6 avril. Dans chaque village le premier jour de la fête des animaux vont être tués et mangés, buffles, cochons. A partir du deuxième jour se déroulent des danses et des chants.
Dans ces villages les gros bambous verts sont utilisés pour le transport de l'eau et l'on rencontre plusieurs enfants qui en transportent dans leurs paniers sur le dos.
Mais ce sont surtout des femmes que l'on croise avec d'énormes paniers remplis de bois. Ils doivent en utiliser pas mal dans les foyers ouverts au milieu des grandes pièces à la fois pour cuisiner et pour se chauffer sans que ce soit sans doute très efficace.
Nous rentrons a l'hôtel et peu de temps après on entend de grands cris...pour fêter le retour de l'électricité.
Notre Hotel est modeste et l'entrée pas très engageante, mais les chambres sont propres et la cuisine bonne. Il s'agit de l'hôtel Paramount a Mon.

lundi 30 mars 2015

Inde Nagaland 2015 de Sivasagar a Mon Lundi 30 mars :

++++PHOTOS

La déprime ce matin en voyant le temps gris et la pluie. En plus service de petit déjeuner nul, du café au lieu du thé et une mini portion de confiture. On n'est pas là pour manger, mais quand même...
Finalement nous partons vers 8h. La circulation est importante, les gens vont au boulot, les enfants à l'école et tout cela dans la boue et les trous d'eau car la route est vraiment mauvaise. Nous restons dans la plaine de l'Assam un certain temps et traversons des plantations de thé. A un moment nous nous arrêtons pour voir des cueilleuses. C'est la pause " thé" fourni par le patron. C'est bien le moins qu'il puisse faire pour ses cueilleuses. Le contre maître nous invite à entrer dans la plantation ou les femmes nous accueillent avec le sourire et sont ravies de se faire photographier. Nous arrivons à la frontière du Nagaland. Très vite le paysage change. La route se met à grimper dans les collines couvertes de bambous. On voit la différence de faciès des gens. On est proche de la Birmanie et les gens sont de "type birman" et contrairement aux birmans pas du tout souriants. En tout cas ceux que l'on croise sur le bord de la route. Les maisons en bambous sont coquettes, fleuries et les abords sont propres. Autour des maisons on trouve de petites plantations de thé, on dira "jardins de thé" compte tenu de la taille. Les propriétaires cueillent le thé qui est récupéré par les usines à thé de l'Assam. Tout à coup nous  sommes arrêtés par un groupe de femmes. Elles contrôlent les voitures et les bagages à la recherche d'alcool qui semble interdit au Nagaland. Pour nous c'est un simulacre de contrôle car nous sommes étrangers. C'est vers treize heures que nous arrivons au croisement de la route vers le vieux village de Mon. Nous pique niquons avec du fried rice apport du "Shiva palace". Tout  de suite après nous montons au village où les maisons sont quasiment vides car les gens sont au champ ou au marché. Il n'y a que quelques enfants et quelques personnes âgées. Les deux vieilles femmes qui sont présentes et qui ont les tatouages traditionnels aux genoux acceptent de se laisser photographier contre un peu d'argent. Nous n'aimons pas payer pour des photos mais ici c'est une obligation. Le tourisme est passé par la. Il est inutile d'aller dans les villages dans la journée car il n'y a personne. Je le fais remarquer au guide car ce n'est pas la première fois. Du coup je lui dis que je veux revenir en fin de journée . Et la il me sort sa tirade sur le temps nécessaire pour les formalités de police à faire à Mon et sur le fait que le village n'est pas sur en fin de journée a cause des jeunes qui boivent. Alors la je me fâche tout rouge car ce n'est pas la première fois qu'il nous fait le coup d'une fin de journée a trois ou quatre heure de l'après midi. Je lui dis donc que l'on n'a qu'à se dépêcher pour aller a la police (et cela nous prend en fait 10minutes) et que s'il ne veut pas nous accompagner ensuite ce n'est pas un problème  nous irons en taxi. Il le prend mal, fait sa tête de cochon mais finit par nous dire qu'il va nous conduire dans un village ou le chef est un vieil homme qui a les tatouages traditionnels. Au Nagaland les femmes ont une sorte de bracelet tatoué en dessous des genoux mais les hommes ont le visage et le torse tatoué ainsi que d'énormes boucles d'oreilles et de gros colliers. Super chance!!! Devant la salle des garçons, une maison où seuls les garçons se réunissent, que l'on nomme "muron" et qui est décorée de statues  et sculptures en bois et de cornes de buffles, de jeunes garçons chantent et dansent sous la direction des anciens. Ce n'est pas un vieil homme que nous trouvons donc mais le roi (angh) et sa cour. Ils sont installés devant un feu de bois. Le roi est seul sur son banc. On ne peut s'assoir à côté de lui que sur invitation, ou pour une photo. Nous sommes conviés à entrer à nous installer avec eux autour du feu, à faire des photos et à boire le thé. Il est coutumier d'offrir un présent au roi. Le guide à prévu des noix de bétel, du thé et un peu d'argent que le roi fait distribué à chacun de ses vieux amis présents. Il ont tous entre quatre vingt et cent ans pour le plus âgé. Ils ont les mâchoires ravagées par la noix de bétel et souvent les yeux abîmés. Mais ils sont sympas et accueillants comme les jeunes garçons qui prennent plaisir à répéter leur danse devant nous. Un peu plus loin ce sont les filles qui répètent sous la direction de deux vieilles femmes. Le festival dure pendant trois jours entre le 1 et 6 avril. Il est très couru des touristes qui vont arriver en grand nombre à partir de demain.
Les Nagas sont connus comme coupeurs de têtes humaines. Autrefois ils se battaient entre villages. Aujourd'hui ce sont des têtes de buffles sacrifiés qui ont remplacées les crânes humains décorant  les murs a l'entrée des maisons.

dimanche 29 mars 2015

Ine Arunachal 2015 de Pasighat a Sivasagar Dimanche 29 mars :



Nous quittons Passigat vers 8h. La route est bonne. Le soleil est revenu et la pluie ayant fait tomber la poussière tout est lumineux et bien vert. Nous sommes dans la plaine en direction du Brahmapoutre. La région est riche car la terre est limoneuse et les champs bien plats faciles à cultiver. Nous arrivons au ferry vers onze heures. Il se trouve près des piles du pont en construction, un énorme ouvrage prévu pour passer au dessus du Brahmapoutre avec une voie ferrée et au dessus une route. Cela fait neuf ans que le pont est commencé alors l'inauguration n'est pas pour demain. Le chargement du petit bateau appelé pompeusement ferry est tout un spectacle ainsi que la vie autour de l'embarcadère. J'observe un tenancier de gargote en train de laver sa vaisselle dans les eaux glauques du fleuve. Sur le bateau un homme propose du thé et des biscuits. La aussi c'est avec l'eau du fleuve qu'il prépare la boisson. D'accord, il la fait bouillir, mais quand même, je me demande comment il n'y a pas plus de maladies.....La traversée dure une heure et nous conduit à l'autre extrémité du pont. L'eau du fleuve n'est pas profonde et a l'avant du bateau se trouve un homme avec un bâton qui jauge la profondeur de l'eau. Sur les bords du fleuve on aperçoit des abris de fortune où vivent des pêcheurs. Leurs petites embarcations paraissent bien fragiles. Le pont est surveillé par des militaires. Il y a un important déploiement de camions et de soldats. Il faut dire que c'est un ouvrage d'importance. La suite du voyage nous permet de traverser de très nombreuses plantations de thé. Nous sommes un dimanche et il n'y a personne pour la cueillette. Sur le bord de la route de nombreux marchés et en particulier un marché aux bestiaux avec seulement des vaches.
Nous arrivons à destination en début d'après-midi et nous nous arrêtons au temple dédié à Shiva. Rien d'extraordinaire. Il n'est pas vieux, XVIIIeme siècle, et les bas reliefs du pourtour sont dégradés. Les pigeons pourrissent tout et heureusement que nous pouvons garder nos chaussettes pour entrer.
Nous nos logeons au Shiva Palace....la chambre est propre et grande. Mais prière de ne pas gamberger cela correspond à peine à un deux étoiles chez nous. Mais ici, et surtout depuis que nous sommes partis, c'est la première fois que nous sommes dans un tel hôtel.
Comme il n'y a rien à faire car c'est dimanche et la plupart des magasins sont fermés, JC va se faire tailler la barbe. En prime il a droit à un massage musclé du visage et du dos...et tout ça bien-sûr pour une somme dérisoire.