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dimanche 11 février 2018

CHII Dimanche 11 fevrier: Paseo de la desolacion



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Départ de notre hostal à Las Cabanas en direction de Osorno par la belle route qui longe le lac. A environ 7 km il faut prendre la route à droite qui conduit à la cafétéria  de la picada à 18km. Nous sommes un peu incrédules car nous n'imaginons pas qu'il puisse y avoir une cafétéria au bout de ce chemin empierré (rippio) à voie unique. Au début il est un peu plus large et passe entre de grandes et belles propriété d'élevage bovin. Puis il se rétrécit pour n'être qu'une voie simple qui passe au milieu des bois. Et au bout, un parking avec pas mal de voitures et un petit bistro. Le tenancier, très sympa nous explique que le montant du parking est de 1000$ch pour la journée déductible de toute consommation. Le café est un peu cher mais servi avec petit spéculos...de l'incroyable. On démarre la rando vers 11h. Le chemin monte en lacets à travers des arbres et des buissons. Puis plus rien que quelques graminées et plantes rases. Nous sommes au pied de l'imposant cône du volcan Osorno, à 1084 m d'altitude. C'est le début du Paseo de la desolation. À partir de là nous allons descendre  lentement vers le mirador situé à environ 800m d'altitude. C'est grandiose. Il fait un temps magnifique. Le volcan Osorno domine avec son cône couvert de neige. Le sentier crisse sous nos pas. Nous marchons dans les cendres volcaniques. Autour de nous des herbes assez rase, quelques fleurs, des papillons et même des oiseaux. Nous traversons plusieurs coulées volcaniques. On voit très distinctement le chemin que les coulées ont pris en sortant du cône. Devant nous apparaît dans le lointain une montagne couverte par un glacier. Il s'agit du volcan "Tronador" qui est à la frontière entre le Chili et l'argentine. Nous continuons d'avancer. C'est de la marche facile. Et tout à coup c'est le lac qui apparaît. Il s'agit du lac de Todos los Santos. Nous ne sommes pas loin du mirador. Une vue à couper le souffle. Devant nous le lac bleu intense sur fond de volcan Tronador. A droite les cimes enneigées du Calbuco, sur la gauche le cerro Picada et derrière nous l'imposant Osorno.
Ce sera notre point pique nique. Difficile de faire mieux pour la vue. Quelques marcheurs font le chemin en sens inverse, en venant de Petrohué. Ce sont des jeunes qui ont campé au bord du lac. Les autres, un couple et leur fille et deux Vttistes font comme  nous. Le retour se passe bien et nous sommes toujours aussi éblouis. Quelle rando...plein les mirettes. Rando facile 15kms dénivelé 600m .
De retour à Las Cascadas nous faisons une halte à la plage du bord du lac. Il y a un monde fou. Il fait un temps magnifique, c'est un dimanche de vacances d'été. JC pique une tête. L'eau est fraîche.

CHILI Samedi 10 Fevrier :de Puerto Varas à Las Cascadas



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Le temps est gris et il pleuviote. Nous prenons la direction d'Ensenada en suivant le lac. C'est triste.....Arrivés à Ensenada nous prenons la direction d'Osorno et très rapidement nous bifurquons sur la droite pour suivre la route qui grimpe vers la station de ski. Le balisage n'est pas évident. La route est bien asphaltée et heureusement car elle grimpe beaucoup et en particulier sur les derniers km où la végétation devient rare à mesure que l'on se rapproche du haut du cône du volcan. Au niveau de la station de ski il y a un grand parking. Malgré le temps gris et bouché la vue est époustouflante sur le lac et les montagnes environnantes. Le sommet du volcan Osorno au pied duquel nous sommes est caché par les nuages. On pourrait prendre les télésièges pour monter encore plus haut mais il fait vraiment trop mauvais. Nous redescendons et prenons la direction de Petrohué. Sur la route impossible de manquer le site du saltos de Petrohué. Il y a une grande quantité de voitures dans les parkings et sur le bord de la route. Il faut dire que l'on est samedi , que le mois de février correspond au mois d'aout chez nous et que comme il ne fait pas beau les gens ne sont pas au bord de l'eau. Résultat il y a une belle file d'attente pour prendre les billets d'entrée. Eaux bouillonnantes turquoises dur fond de volcan...c'est super. Il faut prendre son tour pour les photos, mais c'est sympa et bon-enfant. Tout est parfaitement aménagé et sécurisé. Il y a aussi un petit sentier balisé que l'on peut faire pour terminer avec point de vue sur le Rio Petrohué. Progressivement le temps s'arrange et l'on voit de mieux en mieux le volcan Osono et le Chabuco. Le village de Peruhué se trouve au bord du lac du même nom dont les eaux sont d'un très beau vert. Il semble que des bateaux proposent des promenades mais nous n'avons pas cherché. Petit à petit le temps s'est levé et il y a maintenant un beau soleil et un beau ciel bleu. Lac sur fond  de volcan...un vrai paysage de carte postale.
Nous aurion voulu loger à Petrohué mais il n'y a que le lodge. Le prix des chambres est beaucoup trop élevé pour nous. Nous repartons et à Ensenada nous prenons la directiond'Osorno. Nous longeons le lac. Maintenant il fait vraiment beau et les deux volcans Osorno et Chabuco dardent leurs connes vers le ciel. Nous nous arrêtons à Las Cascadas. Il y a bien une cascade à 4km du village. Voilà une chouette balade de fin de journée et une mise en appétit. C'est la fête au village et au retour de rando avec nos 8km dans les jambes nous nous arrêtons à un stand pour manger. Viande grillée et frites. De la fenêtre de notre chambre nous voyons le sommet enneigé du volcan Osorno prendre une couleur rouge sous l'effet des rayons du soleil couchant. Plein les mirettes!!!!

jeudi 8 février 2018

CHILI 8 février De Cucoa à Puerto Vargas



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Il a plu toute la nuit et le ciel reste très chargé. Nous hésitons à partir en rando. Finalement un coin de ciel bleu nous décide. Nous allons jusqu'au parking que nous avons repéré la veille et nous nous engageons sur la piste tracée par les 4x4 entre la plage et le rio. Pendant les cinq cent premiers mètres les voitures roulent sur la plage. Il vaut mieux avoir un 4x4 même si les autochtones qui ont une voiture normale empruntent cette voie. C'est le seul chemin d'accès pour aller aux fermes qui longent la plage et au village de Huentemo. Ensuite il y a un chemin plus ou moins sableux selon les endroits. Les habitants des fermes laissent leur voiture sur le bord de ce chemin. Pour aller chez eux ils ont construit des petits bacs qui leur permettent de traverser le rio à pied sec. D'autres utilisent les chevaux qu'ils laissent pâturer près du Rio en attendant leur retour. Un peu avant le village une passerelle piétonne permet de traverser pour aller au village et continuer la rando jusqu'à la plage de Cole Cole. La pluie nous surprend alors que nous sommes à la hauteur du village. Nous sommes bien équipés, veste coupe vent et capes et pourtant nous renonçons à continuer car le temps est très changeant et plutôt mauvais. Demi tour donc. La balade était agréable et s'apparentait plus à de la marche nordique qu'à de la rando.
Nous passons l'après midi à remonter vers le nord de l'île. Nous voulons revenir à Puerto Varas pour passer la nuit car le logement que nous avions trouvé à l'aller, dans une propriété d'un quartier résidentiel, calme et propre nous convenait très bien.
La remontée est plus longue que prévue car nous ne pouvons pas prendre la ruta 5 qui est interdite. Nous remontons donc par Quemchi et ensuite nous tirons droit jusqu'à l'embarcadère de Chocoa.( au moins quarante km de piste et de travaux)
Mais nous sommes quand même arrivés à Puerto Vargas où il restait un appartement à louer. Ouf!

CHILI 7 février 2018 de Dalcahue â Cucao, la route des églises



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Notre première étape est l'île de Quinchao. Les ferry circulent sans arrêt et l'attente est proche de zéro. Nous nous arrêtons au village Curaco de Velez. L'église est sur la place principale. Les pentes du toit sont tellement inclinées qu'elles touchent pratiquement le sol. L'intérieur tout en bois fait penser à une coque de bateau renversé et pour cause , elle a été faite par des charpentiers de marine. Le village est calme. Un petit musée est installé au premier étage du centre culturel. On y trouve des objets anciens dont une presse à pommes. La culture des pommes était importante et le jus servait sans doute à faire la chicha. Aujourd'hui on voit surtout des exploitations dédiées à l'élevage bovin et ovin. Quelques km plus loin se trouve le village d'Achao qui possède la plus vieille église de Chiloé. Très sobre, en bois brut, les murs et le toit sont recouverts de planchettes qui se superposent comme les écailles de poissons. Ce qui est remarquable ce sont les décorations en bois du plafond du portique d'entrée et de la voûte de l'église. Les planches qui constituent le plancher ont été taillées à bras d'hommes en témoignent les marques des coups de haches. Revenus à Dalcahué nous prenons la route de Castro. A l'entrée de Castro, au bord du Rio, on peut faire une pause pour photographier les " palafitos" ( maisons sur pilotis) multicolores des pêcheurs. Le jaune pétard de l'extérieur de la cathédrale de Casto ne laisse en rien présager de la beauté de l'intérieur tout en bois verni. La Maison paroissiale et sont demi-cloître sont superbes. Dans les églises les statues sont souvent habillées de vêtements en tissu. Comme partout, sur le port on trouve des marchés artisanaux et des boutiques pour manger. Aujourd'hui ce sera ceviche de coquillages et ceviche de poisson préparés devant nous. Nouvelle halte pour voir l'église de Cochin avec sa façade bleue et blanche. Comme les voitures peuvent stationner devant il n'est pas facile de faire une photo. Cette fois nous reprenons la route pour notre destination finale du jour : Cucao.
Une sorte de bout du monde à l'ouest de l'île et à l'entrée du parc de Chilloé. Le temps se dégrade et les eaux des deux lacs gros lacs ( Huillinco et Cucao) que nous longeons sont grises et agitées. Lorsque nous arrivons à Cucao le temps est menaçant et cela donne une atmosphère particulière. Nous allons jusqu'à l'entrée du parc pour repérer les randonnées. Ce sont surtout des petites balades ( 1 ou 2 km) sur des chemins aménagés.finalement un guide du parc nous explique comment faire la balade qui conduit à la plage de Cole Cole au nord de Cucao. Il faut passer devant l’entrée du parc, suivre la route asphaltée puis la piste jusqu'à l'endroit où elle s'arrête pour poursuivre dans le sable. A ce niveau, possibilité de camper et d'acheter du ravitaillement sous forme de pain, sandwich, empanadas. Depuis que nous sommes sur l'île nous avons remarqué qu'il y avait beaucoup de jeunes sac à dos. Ce soir ils ne vont pas être à la fête sous leur tente car il pleut à verse. De quoi apprécier d'autant plus notre chambre lambrissée.

mercredi 7 février 2018

CHILI 6 février De Ancud à Dalcahue 1 : les églises de Chiloé




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Comme tous les matins au réveil depuis quelques jours  le temps est gris. En général le vent se lève et vers 10 ou11h le soleil brille. Mais aujourd'hui on a un temps breton; quelques gouttes de pluie et un peu de soleil alternent régulièrement. Notre première étape nous conduit au petit village de pêcheurs de Quemchi. C'est le village natal de Francisco Coloane. La magnifique bibliothèque tout en bois lui fait honneur. A l'étage le centre culturel propose une exposition de couvertures traditionnelles en laine, une des spécialités des femmes de l'île qui proposent de nombreux ouvrages en laine: pulls, bonnets, gants, objets de décoration. On le comprend car il ne fait pas très chaud et nous sommes pourtant en été. La pièce principale d'une maison d'autrefois est reconstituée. Au milieu de la pièce un grand espace cheminée ouverte. A coté de la maison de la culture une petite maison d'habitation abrite le musée Coloane. Cette maison a été offerte par un habitant du village pour abriter le musée. Comme elle était située loin du centre elle a été transportée lors d'une fête appelée "minga" une vidéo, en français,  retrace la minga, le déplacement de cette maison. Autrefois c'était chose courante. Lorsque les gens ne se plaisait plus à un endroit ils allaient habiter ailleurs et déplaçaient leur maison. Toute la communauté, pêcheurs et agriculteurs se mobilisaient gratuitement pour une minga.,Avant de déplacer une maison il faut la préparer, enlever portes et fenêtres et placer des flotteurs en polystyrène. Ensuite de gros troncs sont placés sous la maison et d'énormes bœufs sont attachés à la maison qu'ils vont déplacer en la faisant rouler sur les troncs jusqu'à l'eau. Il faut une technique éprouvée et des bœufs d'une grande force. Ensuite la maison est tirée par un bateau jusqu'à l'emplacement choisi. L'opération va donc recommencer en sens inverse. En général la minga était l'occasion d'une fête où l'on dégustait le plat traditionnel, le curanto. Quelques objets et quelques photos concernant l'auteur sont disposées dans les pièces d'habitation .reconstituées.
Près du village de Quemchi sur la route de Dalcahue se trouve un grand pont en bois de 520m de long qui conduit à une petite île, Aucar, où se trouve un petit sentier botanique, une église et un cimetière. Joli coup d'oeil.
Nous reprenons la route vers Dalcahue avec une nouvelle étape à Tenaūn où se trouve une belle église à trois clochers bleue et blanche à l'extérieur comme à l'intérieur. Quelques kilomètres plus loin nous bifurquons vers San Juan. Sur la place du village une belle église en bous naturel. Non loin de là, sur la plage une fabrique "artisanale"  de bateaux de pêche en bois.
Enfin nous arrivons à notre étape, Dalcahue où nous décidons de loger. Repas dans le local au bord de l'eau qui rassemble des petits restos locaux. Bon, copieux et prix très raisonnables. Toujours autant de stands de vente d'objets artisanaux dans les deux férias du bord de l'eau.

lundi 5 février 2018

CHILI 5 février de Puerto Varas à l'ile de Chiloé



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Nous empruntons la route 5 jusqu'à l'embarcadère. Un ferry vient d'accoster et nous partons dans la demi heure qui suit notre arrivée. Le trajet est rapide. Sur l’île les paysages ressemblent à ceux que nous venons de quitter. Des terres agricoles avec des élevages de vaches et de moutons. Nous traversons Ancud, la "grande" ville du nord pour aller jusqu'à la pingūineras de Puñihuil. En voiture c'est assez rapide. Il faut prendre la direction du nord-ouest vers la péninsule de Lacuy. Ensuite prendre à gauche au croisement où un panneau en bois indique pinguineras 10km. On arrive sur une grande plage où l'on peut se garer facilement. Là plusieurs agences proposent des tours d'une demi heure à 7000$ch par personne pour s'approcher des pingouins qui nichent sur deux petits îlots à proximité de la plage. En plus des pingouins il y a de nombreux oiseaux, des cormorans à pattes rouges par exemple et même deux lions de mer que l'on trouve particulièrement adroits pour se déplacer sur les rochers. C'est super!
Nous continuons notre balade en allant en direction de la péninsule de Lacuy. Sur une plage du village de Quetalmahue il y a un couple en train d'étaler et de remuer des algues sur le sable de la plage. Lorsque nous leur demandons à quoi vont servir ces algues séchées il nous répondent  : agar agar y plastico. Nous revenons sur Ancud où nous trouvons une cabaña en plein centre. Tout est à proximité, les vestiges des remparts du fort construit par les espagnols en 1770, la place principale très animée avec ses kiosques à friandises, ses marchands de bimbeloteries et de bijoux. Autour de la place, cafés, marchands de glaces...j'en profite même si jusqu'à maintenant je n'ai jamais trouvé quelque chose d'excellent. Il y a aussi la Casa della cultura et là, oh! Surprise! une exposition d'aquarelles réalisées par le peintre Salvador Dali pour illustrer la Divine Comédie de Dante. A l'origine une commande du gouvernement italien au peintre. C'est quand même exceptionnel sur une île chilienne dans une ville de 40 000habitants. De très belles aquarelles qui confirment si besoin était les talents multiples du peintre.

CHILI 4 février de Bahia à Mansa à Puerto Vargas.



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Nous prenons le chemin des écoliers à travers les petites routes de campagne vallonnées et où comme souvent alternent exploitations agricoles et forêts .il semble que la gestion du bois soit maîtrisée. Là où un bois est coupé de nouveaux arbres sont plantés. Il vaut mieux quand on voit tout le bois qui est utilisé tant pour les constructions que pour le chauffage . Nous nous arrêtons à une fête locale "la feria costumbrista" au milieu de nulle part, dans un grand champ. Mais tout est bien organisé pour passer une longue journée. Un grand parking, de nombreux stands de nourriture, la cantina pour les boissons., stand de glaces, de jouets, chateau gonflable et balade à cheval. Au centre de l'espace, une estrade et une grande tente avec des chaises. Lorsque nous arrivons un  curé est en train de dire la messe accompagné par des musiciens et des chanteuses d'un groupe folklorique. Le curé laissent la place aux danseurs. Les animations se succèdent, danses et chants populaires, jeu de tirage de corde. .....Il y a aussi un jeu qui semble se rapprocher du jeu de boules, la rayuela. Une équipe de deux  joueurs. Chaque joueur possède deux pavés. Les joueurs lancent leurs pavés dur un plan incliné rempli de boue mouillé. Au milieu du plan une ficelle. Cela nous semble être l'équivalent du cochonnet de la pétanque. La partie se joue en douze points. Les pavés sont assez lourds et il faut une belle adresse. Constat: il n'y a que des hommes "mûrs" qui y jouent. L'ambiance de la fête est très familiale. Autre constat: les gens mangent de tout sans arrêt et au milieu de l'après midi les barbecues et les friteuses à empanadas tournent à plein régime. L'empanadas c'est sans doute ce qui est le plus consommé. Elles se vendent par douzaine, c'est dire! Nous finissons par arriver à Puerto Vargas, l'étape du jour où nous trouvons à nous loger dans une cabaña pas très loin du centre et du lac. La ville ne fait pas du tout "chilienne". Les Constructions font qu'on se croirait plutôt au bord d'un lac suisse ou allemand. Le lac a pour toile de fond plusieurs volcans dont le volcan Osorno qui dresse son cône blanc au dessus des eaux bleues du lac. Un beau cliché carte postale