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lundi 8 janvier 2024

Colombie 2024 Musée national Bogota lundi 8 janvier



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Les enfants sont rentrés à l’école et leurs parents sont au boulot. Alors nous décidons de nous rendre au musée national, le seul qui soit ouvert le lundi.

Je le connais déjà, mais pas JC. 

Quelques belles pièces anciennes trouvées sur des sites archéologiques et des explications claires. La présentation de ces objets est agréable et aérée. Une partie importante sur la conquête espagnole, l’évolution de l’agriculture et des productions dont celle de la bière.

Des parties moins intéressantes pour nous , car complexes et difficiles à appréhender compte tenu de notre niveau d’espagnol. Elles sont consacrées à la création du musée, ancienne prison et à l’histoire du pays.

Balade dans la calle 30, accolée au musée, rue très colorée et essentiellement bordée de restaurants.

Un peu plus haut le marché de la Perseverancia comportant de nombreux stands de nourriture. Nous avons déjà mangé, mais pourquoi pas une autre fois. Pour l’instant nous nous contenterons d’un jus de fruit. 

Au retour nous nous arrêtons au lycée pour récupérer les enfants. 

jeudi 4 janvier 2024

Colombie 2024 rando Val de Cocora 04/01


 

++++PHOTOS

Nous sommes prêts à 8h. Presque un exploit, mais tous très motivés pour aller dans la vallée de Cocora. Pour y aller nous allons prendre les jeeps Willys qui font le trajet depuis Salento. Il n’y a pas encore trop de queue et très rapidement nous montons dans la belle jeep rouge de Carlos. (10 000cop par personne). Il roule lentement jusqu’à l’entrée de la vallée. La route est bonne et on peut aussi s’y rendre en voiture particulière car à l’arrivée il y a de nombreux parking. D’ailleurs tout a bien changé depuis notre dernier passage en 2017. L’organisation des transports en jeep est au point , aussi bien au départ qu’à l’arrivée. Mais à présent il y a aussi de nombreux parking et restaurants. Les propriétaires des terrains de la vallée l’ont bien compris. Le tourisme est une manne. Un parcours payant (20 000/per) a été aménagé pour traverser les prairies où se dressent les premiers palmiers et conduit à différents points de vue et miradors où l’on peut immortaliser son passage sur une jeep, dans un faux nid de condor, sur une main….Il y a du monde. Nous sommes en pleine période de vacances scolaires et la semaine qui précède la fête des rois. Dès l’arrivée sur le site nous voyons se profiler les palmiers cire, immenses au milieu des prairies. Conséquence de la déforestation et de l’élevage les palmiers sont dispersés dans les prairies sauf un peu en hauteur où ils sont rassemblés en petits bosquets. 

Par une piste nous grimpons jusqu’au niveau de la finca Montaña avec des points de vue toujours différents. Il fait beau, nous avons de la chance. Mais de temps en temps se glisse un petit nuage qui donne un côté un peu magique à ce paysage unique. Ensuite c’est la descente vers la rivière. Les enfants ont bien marché et commencent à avoir faim. Nous laissons sur la gauche le chemin qui longe la rivière en direction de la ferme des colibris. Encore un peu de marche avant un arrêt pique-nique au bord de la rivière. Végétation luxuriante, passage de rivière sur des ponts suspendus un peu incertains ou sur de grosses pierres. Petits et grands apprécient l’arrêt café et chocolat chaud. 

Il n’y  pas trop d’attente pour prendre une jeep. Nous voici rapidement à Salento.

Retour à la maison et détente jusqu’à l’heure du repas que l’on prend au restaurant voisin Maria Ocampos. Bon et copieux.

Puis balade dans la ville après le repas. Il y a du monde. La place est envahie de stands de boissons et nourriture. Chacun y va de sa musique dans une grande cacophonie.

Nous passons au magasin de jouets en bois pour acheter un cadeau, un Parqués, sorte de jeu de petits chevaux, propre à la Colombie.

Plein les mirettes!

mercredi 27 décembre 2023

Colombie 2023 Trek Santa Marta J3 27/12

 




Petit déjeuner dans le village. Simon est notre guide Kogi et c’est sa femme qui nous sert le petit déjeuner. 

Ensuite leçon de fabrication de sacs, les mochilas. La fibre après avoir été blanchie au citron, colorée avec des teintures naturelles est torsadée. Maria roule deux fibres sur sa jambe avec une extrême dextérité. Elle nous montre aussi comment elle fait des fuseaux de coton en partant de la fleur de coton. Les femmes portent une tunique blanche et un collier de perles à plusieurs rangs. Quand elles utilisent les mochilas c’est pour le transport et elle mettent la lanière sur le front et la mochila dans le dos.


Village Kogi

Les habitations sont des cases. Au centre du village deux grandes cases communes, une pour les femmes et une plus grande pour les hommes

Au sommet du toit deux petits mâts représentant les deux montagnes principales : le pic Simon Bolivar et le pic Cristobal Colón.

C’est dans ces cases que se déroulent les événements principaux dont l’éducation des garçons d’un côté par le mamo et celle des filles de l’autre par l’épouse de mamo, la Sara

Quand un garçon a l’âge et la maturité ( variable et décidé par le mamo) de devenir un homme il va y avoir une cérémonie. On lui donne un poporo et il doit rester assis avec son poporo entre les mains pendant quatre jours sans dormir. Il est sous la surveillance de deux gardiens. S’il ne réussit pas, il devra recommencer. Lorsqu’il réussit on lui donne sa tenue blanche d’adulte, pantalon et tunique

Le poporo est une calebasse contenant de la chaux fabriquée à partir de certains types de coquillages. Ces derniers brûlées sur un bûcher de bambous vont donner une poudre blanche qui mélangée à de l’eau va donner la pâte blanche que l’on trouve dans le poporo. Le kogi chique la coca. De temps en temps il place le bâton du poporo enduit de pâte dans sa bouche. La salive colore la pâte. Le kogi frotte ce mélange jaune sur le haut le la calebasse où il le dépose en un mouvement tournant avec « ses pensées ». Progressivement cette partie grossit et s’arrondit. Cette grosse boule qui se forme est un peu comme le carnet personnel du kogi, son journal secret. Le kogi doit donc changer régulièrement de poporo. Le kogi possède aussi un sac aux couleurs de sa famille. C’est ainsi que les kogi reconnaissent les membres de leur famille et savent qu’il ne peut pas y à voir de mariage entre eux. Souvent au moment de la cérémonie du passage à l’âge adulte le kogi peut se marier s’il a une fiancée.

Pour le passage de la fille à l’âge adulte c’est la Sara qui s’en occupe avec les femmes, lorsque la jeune fille a ses règles. La cérémonie est plus simple. La jeune fille doit tresser des fils pendant la nuit qui serviront à faire des sacs le lendemain . Ensuite dans la journée elle devra faire sept sacs ( mochila)en suivant les conseils des femmes.

Les rôles des femmes et des hommes sont bien définis. Les femmes s’occupent de la maison et des enfants

Les hommes cultivent le yucca pour la nourriture, le cacao, la canne à sucre dont ils extraient le jus avec une machine actionnée par des ânes ou des mules, du café, du miel…

Les femmes fabriquent les sacs, elles filent et tissent le coton. Certains hommes sont spécialisés dans la fabrication des vêtements.


Simon notre guide nous fait visiter sa propriété. En hauteur, un petit morceau de terrain en terrasse contient trois sièges réservés aux visites des mamos en cas de besoin. Par exemple pour une naissance. C’est le mamo qui donne le prénom de l’enfant dans les deux langues. Sur la propriété, Simon cultive tout ce dont sa famille a besoin pour vivre, yucca, cacao, café, fruits, canne à sucre, sisal 

Plante pour les sacs fike 

Le fiqué est une fibre végétale extraite de la Furcraea andina, une plante de la famille des Agavacées (cactus), originaire des Andes (Colombie, ...

Il nous accompagne jusqu’à la piste après avoir attaché à chacun de nos poignets un bracelet porte bonheur en fibre avec une perle blanche à gauche pour le jour et une noire à droite pour la nuit.

Retour à pied jusqu’à Calabazo , puis jusqu’à l’agence Danam qui nous a organisé le trek. 

Retour à l’hôtel mama Tayrona et fin après-midi détente. 

Un super trek, une magnifique expérience. Plein les mirettes

mardi 26 décembre 2023

Colombie 2023 trek Santa Marta J2 26/12



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Petit déjeuner avec chocolat chaud, café, arepa.  

C’est le départ pour un long périple. La mule nous précède pendant un petit moment. Puis nos chemins se séparent. Nous grimpons. Belle vue sur la nature, jusqu’à Santa Marta. Autour des Fincas, caféiers et élevages de vaches. Petit arrêt café et gâteau chez des habitants. Nous repartons dans une succession de descentes et montées. Au passage nous nous arrêtons au bord d’une plantation de canne à sucre. Les guides nous débitent des morceaux à sucer. Délicieux. Nous arrivons au bord d’une Riviere où nous allons manger. Mais avant, petit bain frais et réparateur. Le cuisinier nous a fait griller des escalopes de poulet servies avec des pommes de terre bouillies. Jus de panela et citron. C’est bon. Nous repartons. 

Nous voici maintenant au Site archéologique, une mini Ciudad Perdida. 

Le site de Bunkany est constitué d'une série de grandes terrasses qui servaient de fondations aux maisons en terre et en palme qui constituaient (et constituent toujours) l'habitat original des peuples qui habitaient les montagnes de la Sierra Nevada.

Dans les faits, il existe donc des dizaines d'équivalents Bunkuany, mais peu ou pas sont accessibles actuellement. Bunkuany fait donc figure d'exception et c'est pour cela que ce site a rapidement été présenté comme la “deuxième Cité Perdue”.

Ce que j’ai retenu des explications du guide: 

En haut de la Sierra se trouve une lagune qui alimente les rivières descendant vers les sites. On estime à environ 100 personnes le nombre d’habitants du site, des descendants des Tayrona. 

Le Mamo parle avec la nature. Il a des pouvoirs spirituels , mais il est aussi médecin, enseignant. 

Pour communiquer avec la nature il fait un trou dans un rocher du lit de la rivière avec une pierre pointue. De l’eau va s’y accumuler. Par ailleurs Il possède un morceaux de quartz à plusieurs faces et pointes. Il concentre sa pensée dans le quartz et communique la question qu’il veut poser au cristal avant de le laisser tomber dans le trou( yathujua). En fonction de la façon dont réagissent les bulles d’eau il connaît la réponse à la question. 

Le guide ramasse une bogue de Rocou ( Bica Orellana), un arbre originaire d'Amérique centrale dont les fruits vont donner des graines rouges utilisées pour faire l’achiote pour la cuisine. Il va écraser les graines sur une pierre et obtenir une pâte avec laquelle il va maquiller les enfants et les plus grands.

Fernando coupe des feuilles d’iraca et montre aux enfants comment les tresser. 

Nous sommes fatigués, surtout les enfants. Nous devons porter les bagages pendant un petit moment, jusqu’à un abri où deux mules nous attendent pour transporter bagages et enfants. Nouvel arrêt dans une ferme où l’on peut déguster bananes et clémentines. Les bananes petites sont un délice. Nouveau départ en direction de la prochaine baignade. Nous sommes un peu inquiets pour la suite du trajet mais les guides nous promettent une surprise. 

Fin de journée baignade dans le Rio Piedras au niveau de l’hôtel « parque tayrona Madre Sierra. »Magnifiques rochers couleur argent.

Une voiture nous attend près de l’hôtel et nous conduit au delà de Calabazo où attendent des motos. 

C’est la nuit, la route est défoncée et nous, les anciens, refusons de monter sur les motos( une par personne) et nous obtenons un 4x4 avec l’autorisation de la coopérative des motos taxis qui préservent leur boulot en interdisant l’accès aux voitures sur cette route 

Nous arrivons dans le village Kogi  fatigués .

Nous sommes accueillis par le chef. Ensuite nous allons sur une esplanade où se trouvent deux cabanes avec douche, wc et lavabo. Un abri avec une table. Une hutte avec des hamacs. C’est là que vont dormir les enfants et leurs parents 

Pour nous dix mètres plus haut une hutte abritant trois “chambres” minuscules contenant un lit et à côté un abri avec hamacs pour les guides. Le matelas de notre »chambre » est une horreur…un grand trou au milieu. Comme la chambre voisine n’est pas occupée nous nous séparons JC et moi chacun sa chambre.

Le repas est toujours un peu identique

Nous nous couchons tôt. 

lundi 25 décembre 2023

Colombie 2023 Trek Santa Marta J1 25/12



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Départ pour le trek avec un peu de retard à cause du petit déjeuner un peu long à arriver. 

Nous faisons connaissance avec les guides Fernando et Caleth.

C’est en 4x4 que nous prenons la direction de La Lisa Santa Marta Magdalena.

Au passage nous nous arrêtons au lieu dit La Casina, la piedra de Donama, un site Kogi, descendants des Tayrona (les Kogis, les Arhuacos, les Kankuamos et les Wiwas.)

Il y a un gros rocher gravé qui ressemble à un cerveau et qui serait un hommage à un Mamo très intelligent. Un mamo est un peu comme un chamane 

Ce serait une construction Tayrona vieille de 1000 ans

Les Tayrona ont été les premiers habitants mais ils ont disparu et il reste leurs descendants. Chaque village compte trois mamos. Les apprentis chefs suivent le mamo le plus ancien pour apprendre 

Pour devenir mamo il faut relever des défis et ne pas être pleurnichard. 

La nature est très importante pour les Kogi 

Les Kogi ne se coupent pas les cheveux car la force vient des cheveux

Les indigènes ont une gestion indépendante du gouvernement 

Au niveau santé et éducation par exemple ils peuvent choisir entre des structures gouvernementales ou leurs propres structures. Cela peut être aussi un peu des deux. 

Un peu plus loin nous nous arrêtons sur un autre site comportant des pierres gravées, petroglyphes,  et la représentation d’animaux ou d’humains. Les pierres gravées sont en granite.

Les Kogi vivent de la culture du yucca ( manioc), du cacao et de l’élevage des poules pour leur consommation et des vaches

Nous laissons la voiture et nous partons en direction de notre première étape, un abri avec table où nous attendent les personnes qui ont préparé notre repas. 

Repas riz, lentilles, salade, viande. Très copieux. Dessert chocolat, boisson eau et panela ( Panela est un ingrédient très commun en Colombie, mais aussi dans toute l'Amérique du Sud et Centrale. Son unique composant est le jus de la canne à sucre. (ou vesou), qui est cuit à haute température ). Là il s’agit d’eau sucrée avec de la panela à laquelle ont été ajouté citron et gingembre.

Foot pour les enfants, relax dans des hamacs pour les adultes.

Nos cuisiniers sont venus avec une mule sur laquelle nous chargeons quelques bagages. Nous reprenons notre trek jusqu’à un lieu de baignade pas très loin. 

Je reste au bord de l’eau pendant que le groupe remonte la rivière jusqu’à une cascade au milieu des rochers rouges. Les enfants s’éclatent à sauter dans l’eau. 

Nous reprenons notre marche jusqu’au lieu de notre premier campement, “Cabaña la Momposina “. Il y a trois dortoirs de six personnes. Dans chaque chambre 3 fois deux lits superposés avec moustiquaire, drap, coussin et couverture 

A l’extérieur, mais sous abri, deux espaces douche et WC, un lavabo, un coin cuisine, un auvent avec une table et des bancs. A côté s’étend une grande terrasse avec table, bancs et vue magnifique sur la nature environnante. Au dessus du campement se trouve une Finca tenue par un homme qui cultive du café. Il doit être le gardien du campement ou peut être le propriétaire. Super accueil par l’équipe. Le “muletier”, le cuisinier que l’on retrouve à chaque repas avec la nourriture déjà prête et qu’il dispose sur nos assiettes et le propriétaire de la finca.

A notre arrivée nous avons des petits beignets et du riz au lait

Et puis les guides nous proposent de jouer au tejo, un jeu national. Le principe est simple. Il faut lancer un disque de métal sur une cible en argile en espérant les fortes explosions des sachets de poudre disposés dessus. 

Les enfants adorent et les grands se prennent aussi au jeu. Cela nous permet d’attendre l’heure du repas dans la joie et les cris de victoire à chaque explosion.

Le repas du soir est riche avec poisson, riz, platanos. Toujours un jus de fruit.

Nuit tranquille sous une magnifique 🌝 

dimanche 24 décembre 2023

Colombie 2023 Calabazo 24 décembre



++++PHOTOS 

Hébergement hôtel Mama Tayrona.

Bien situé dans la verdure non loin de calabazo. Bâtiment principal en hauteur pas facile d’accès avec des sacs lourds, monte dur et beaucoup d’escaliers.
Chambre agréable, belle vue, mais insonorisation pas terrible. Le bruit du ventilateur fait un doux ronron qui cache un peu les autres bruits.
Belle piscine et lieu d’accueil agréable. La cuisine est bonne mais il ne faut pas être pressé.
Calabazo: Courses pour le pique-nique nique
Le bus en direction de Palomino avec arrêt au niveau de la Quebrada Valencia, notre objectif du jour, se prend devant l’entrée de l’hôtel. 30 minutes après nous sommes à l’entrée du chemin de la cascade. Il faut payer une petite somme. On chemine à pied sur un chemin agréable qui nous oblige à traverser plusieurs fois la rivière, avec quelques centimètres d’eau seulement. Marche facile que l’on peut faire avec des crocs voire des tongs pour éviter d’avoir à quitter et remettre les chaussures. Trente minutes après nous avons atteint notre but.
Plusieurs piscines naturelles l’une sur l’autre alternant avec des cascades.
Nous allons à la plus haute et les enfants se régalent à sauter. Il y a du monde mais ce n’est pas gênant.
Retour à l’hôtel, piscine et préparatif des bagages pour le trek de trois jours.
Repas de Noël. Ambiance festive et sympathique.