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mardi 17 janvier 2017

Villa de Leyva mardi 17 janvier : plongée dans le passé.


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Ce matin j'ai plein de courbatures dans les cuisses, souvenir de la laguna d'Iguaque. C'est à pieds que nous partons pour notre périple dans le passé. Il fait chaud et nous devons longer la route asphaltée, puis une route poussiéreuse pour atteindre le site de l'observatorio solar Muisca. Le site est compose de trois parties. Un lieu sacre, l'observatoire astronomique avec ses deux rangées de colonnes alignées (est ouest) et dont beaucoup ont été sectionnées Entre ces deux rangées parallèles de monolithes  on a mesure une distance de neuf mètres. En fonction de l'ombre projetait par le soleil les indiens pouvaient déterminer leur calendrier de plantations, leurs saisons et bien sur les équinoxes et les solstices. Les indiens Muisca adoraient la lune et le soleil. Leur activité essentielle étant l'agriculture on comprend l'importance d'un tel observatoire solaire. La météo de l'époque en quelque sorte...
Tout autour des monolithes en forme de phallus symboles de fertilité humaine et en relation avec la fertilité des terres. La troisième partie est une tombe collective dont les archéologues pensent qu'elle abritait les corps des spécialistes en cosmogonie du site. La civilisation Muisca s'est développée entre 1000 et 1500. Ce sont les envahisseurs espagnols qui ont été a l'origine de sa disparition au XVI.
Bien avant les Muisca, il y a 120 millions d’Années, au crétacé, la région était sous les eaux. C'est ainsi qu'a été découvert un fossile de bébé Kronosaurus  Il mesure sept mètres de long . Mais sa longueur réelle est estimée a un peu plus de 9 mètres. Le fossile est resté a l'emplacement ou il a été découvert. Un musée a été construit autour de lui pour le protéger. Le kronsaurus était un reptile marin qui ressemblait à un gros crocodile. On pense qu'il se nourrissait d'animaux de la même espèce plus petits, de poissons et de mollusques.
 Jamais deux sans trois dit l'adage. Alors nous voici en train  de visiter le "centro de investigaciones paleontologicas, situé de l'autre coté de la route par rapport a "El fosil".
Un musée moderne ou à travers une vitre on voit travailler les paléontologues.  Au centre du musée, un spécimen complet de plésiosaures avec sa petite tête ( aux grandes dents), son long cou. C'était un reptile marin d'environ 6 m de long qui se nourrissait de bélemnites et de poissons. A cote, un autre reptile marin, mais aussi le fossile d'une énorme tortue marine, des fossiles de poissons et des ammonites. Une très belle collection avec une présentation agréable.
Retour a pieds vers villa de Leyva. Une bonne trotte sous le soleil. Nous arrivons en ville a l'heure du repas avec 13km dans les jambes. Le repas est le bienvenu.
Nous passons l'après-midi a déambuler dans la ville. C'est beaucoup plus agréable en semaine. Nous en profitons pour entrer dans le patio central de l'hôtel de ville. Il est même possible d'accéder au balcon qui donne sur la plaza mayor. Nous poussons jusqu'au cloitre San Augustin. Dans l'ancienne église on peut voir une expo sur les biotopes aquatiques.
Une belle journée, plein les jambes et plein les mirettes

La lagune d'Iguaque lundi 16 janvier

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Encore une journée qui commence tôt. Nous prenons le bus d'Arcabuco à 7h et nous nous faisons déposer au lieu dit " la casa de piedra" d’où  part le chemin qui conduit à l'entrée du parc appelé sanctuaire de "flora y fauna de Iguaque". Après trois kilomètres de marche sur le chemin on arrive au poste des forestiers. C'est la que l'on s'acquitte du droit d'entrée et que l'on donne des informations sur son identité. Les trois kilomètres sont agréables et faciles. De part et d'autre du chemin des champs cultivés et des prés ou paissent des vaches. Sur les arbres des plantes epyphites de la famille des orchidées. Nous sommes au poste des gardes forestiers vers 9h en même temps que trois jeunes filles. La garde forestier nous montre une carte du sentier, nous conseille d'en faire une photo et nous fait un tas de de recommandations  C'est normal compte tenu de la difficulté de la randonnée et des conditions météo qui peuvent changer constamment, ceci étant nous n en avons compris qu'un tout petit peu! 700m d'un sentier empierré permettent d'atteindre la centre d'accueil des visiteurs où l'on peut séjourner. Nous prenons un café avant de démarrer. Il reste 4 km a faire et 800 m de dénivelé. Immédiatement nous sommes dans l'ambiance. Le sentier est raide, humide , boueux. Une vigilance et une tension de chaque instant sont nécessaires pour éviter de glisser ou de s'enfoncer dans la boue. A chaque instant nous apprécions d'avoir des bâtons de marche C'est très éprouvant. Nous doublons les trois jeunes filles qui sont parties avant nous. Une d'elles semble assez fatiguée. De plus elles ne sont pas très bien équipées. Le chemin est balisé. Il y a des "stations" au niveau desquelles un panneau indique le chemin restant à parcourir. A la station 7 nous sortons du bois. Devant nous le chemin entre de gros blocs de pierres monte droit. Un jeune couple parti avant nous nous laisse passer. La pente est vraiment dure. Finalement nous prenons un sentier sur la droite. Il semble monter plus raisonnablement et il correspond à la trace que JC a sur son Gps. Il est midi et nous nous fixons  d’arrêter l'ascension a12h30.
La vue sur la vallée est extraordinaire. La végétation autour de nous a beaucoup changée. Nous voyons enfin la plante typique du coin, un arbuste appelé frailejon. Mais Toujours pas de lagune.  Il reste 10 minutes. Et tout a coup de la brume là devant nous. Nous pensons que c'est un signe, qu'elle est enfin là, certainement pas très loin. Et puis un peu au dessus de nous nous apercevons la silhouette d'un marcheur. C'est là nous crie-t-il. Nous redoublons d'effort et nous atteignons le point de vue à 3600m à12h 30. Il était temps! Nous la voyons au loin cette fameuse lagune. Un rapide pique nique d'un quart d'heure et nous sommes prêts à repartir. Les trois jeunes filles et le couple arrivent. Ils continuent en direction de la lagune. Pas très prudent...le temps change sans arrêt et il faut tenir compte de la difficulté du chemin pour la descente. Alors que nous venons de descendre toute la partie sèche nous voyons arriver un groupe de trois personnes. Nous essayons de leur conseiller de redescendre. La femme semble avoir des difficultés. Peine perdue. Il nous faudra deux bonnes heures pour redescendre jusqu'au centre d'accueil des visiteurs. Nous sommes très contractés. La descente a été éprouvante. Là, le personnel du centre nous questionne sur les autres touristes. Ils sont inquiets lorsque nous leur apprenons que les cinq jeunes ont continué vers la lagune et encore plus lorsque nous leur disons que nous avons vu le groupe de trois attaquer la dernière partie très pentue. Et ils ont de quoi être inquiets. La femme nous disent- ils est enceinte. Il y a vraiment des fous. Alors que nous abordons la dernière partie de la descente nous croisons les garde forestiers qui grimpent. L'un d'eux porte une corde. Ils doivent s'attendre au pire. Finalement nous sommes à la casa de piedra a 16h, juste à temps pour prendre le bus qui revient d'Arcabuco. Nous sommes bien fatigués: 16 km de marche, 1100 m de dénivelé pour atteindre les3600m d'altitude du point de vue sur la lagune.
Plein les mirettes mais nécessite un bon entrainement et le matériel adapté. 

dimanche 15 janvier 2017

Raquira dimanche15 janvier


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Pas de problème pour nous lever tôt ce matin. Nous avons encore du mal à récupérer du décalage horaire. Objectif du jour prendre le bus pour Raquira où se tient un marche du dimanche réputé. Ce qui surprend en arrivant de la "blanche" Villa de Leyra , ce sont les façades très colorées de Raquira, capitale de la poterie. Ici tout est fait pour le rappeler, à commencer par les grosses statues en argile cuite de la place principale. Nous arrivons tôt dans le village et les paysans qui vendent surtout des fruits et des légumes sont encore en train de s'installer. Il en est de même pour les commerçants qui vendent des poteries bien sûr mais aussi des objets en bois, des hamacs, des ponchos.....Une débauche de couleurs et d'objets en tous genres. Au milieu du village se trouve la place traditionnelle et son église encore plus traditionnelle. On se croirait dans les films des débuts de l'occupation espagnole.
Je suis un peu déçue car j'espérais trouver des gens en costume traditionnel. Il y en a bien quelques uns qui ont le chapeau, mais très peu. En même temps c'est normal avec l'évolution. Nous baladons un peu avant de nous installer à une terrasse pour prendre un café. Il faut en profiter car il est vraiment très bon et pas cher.
 Notre nouvel objectif est d'aller visiter le monastère de la Candelaria à 7 km du village. Nous prenons un taxi pour nous y conduire. Notre but est de rentrer a pieds. Il faut dire qu'il est 10h du matin et il fait chaud. Superbe monastère blanc avec son église, sa grande place, son cloitre. Il a été fondé vers 1600. Le cadre est magnifique au fond d'une vallée où coule une rivière. Pas fous ces moines....Il y a même un hôtel de luxe...tranquillité garantie. Nous rentrons à pieds en empruntant un sentier qui nous fait passer près des antennes de téléphonie. Cette balade est l'occasion d'admirer la campagne autour. Tout est bien vert et tout semble pousser. Il y a aussi de nombreuses serres. On passe à cote de fabriques de poteries et elles sont nombreuses.Nous revenons à Raquira pour manger. Nous avons repéré un petit resto ou l'on sert les saucisses traditionnelles: rellena, une sorte de boudin contenant des grains de mais, longaniza saucisse "au mètre" grillés et servis avec des petites patates rondes sautées. Apres notre bonne marche nous faisons honneur au repas. La longaniza  est la spécialité du village de Sutamarchan que l'on traverse en allant de Villa de Leyva à Raquira.  Un arrêt du mini bus nous permet d'en gouter et de constater qu'elle est vraiment très bonne et bien meilleure que celle que nous avons mange à midi. Les gens sont vraiment sympas, serviables et souriants. On se sent bien. Il y a vraiment  tout ce que nous aimons. L'ambiance chaleureuse latino, les couleurs, les villes coloniales et les paysages.

samedi 14 janvier 2017

Villa de Leyva samedi 14janvier

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Une grosse matinée de transport. Taxi, puis bus jusqu’à Tunja et enfin minibus jusqu’à Villa de Leyva. Il fait chaud en arrivant vers 13h30. Heureusement que notre Hôtel n'est pas très loin de la gare de bus. Un sac devant, un sac derrière, ce n'est pas évident de marcher sur les grosses pierres qui constituent le pavage des rues. Il y a un monde fou. Mais on le savait car c'est une ville très touristique où beaucoup de colombiens ont leur résidence secondaire à 4h de route de Bogota. Il y a beaucoup de voitures et cela gâche un peu le plaisir de se promener. On pause nos sacs a l’hôtel et on se met en quête d'un resto. La première adresse du LP. N'existe plus. A la place il y a un marchand de chocolat et un musée du chocolat. Dans la même rue nous nous arrêtons a "casa blanca" . C'est bête, nous aurions pu poursuivre notre chemin de quelques mètres et aller déguster des specialités locales au march. éC'est la que nous allons ensuite pour boire un jus de mandarine...un régal. Nous Parcourons les différentes calle et carrere pour trouver la pâtisserie française . C'est une déception. Rien de bien extraordinaire, tout juste du niveau d'une boulangerie française ordinaire. Nos déambulations passent par la plaza Mayor. Il semble que ce soit l'une des plus grande place coloniale d'Amérique. Elle est belle, entourée de ses bâtiments coloniaux blancs aux boiseries vertes dominée par son église dont l'intérieur est d'une grande sobriété.  C'est le centre touristique de la ville. On la traverse, on tourne autour, on l'admire depuis les marches d'escalier du porche de l'église. Le long des rues pavées, des boutiques d'artisanat, des restaurants, des bars.....cette ville est belle, comme sortie  d'un film Elle a été construite  au tout début de la conquête espagnole à la fin du XVI éme siècle.

vendredi 13 janvier 2017

Colombie 2017 Bogota le vendredi 13 janvier


Nous sommes arrivés hier soir après un bon voyage. Le taxi nous attendait à l'aéroport et nous avons été accueillis à l'hôtel par la propriétaire qui parle parfaitement français. C'est quand même très agréable. La nuit n'a pas été complète à cause du décalage horaire et du coup nous étions debout assez tôt ce matin. Nous avons pris notre petit déjeuner avec un jeune japonais qui est en vacances pour quelques jours mais travaille à Medellin. Du coup il nous a donne quelques conseils. 
Notre hôtel est situe dans le quartier touristique de la Candellaria, le barrio colonial de Bogota avec ses rues étroites qui montent et qui descendent et qui sont bordées de maisons coloniales colorées. 
Notre premier objectif du matin est  de faire du change. Le deuxième de suivre le circuit de "graffiti tour" qui démarre depuis le parc de los Periodistas.
Première surprise en sortant ce matin il ne fait pas froid. Je suis en tee-shirt avec une petite veste. Et pourtant je suis particulièrement frileuse. Ce n'est pas évident quand on sait que la ville est à 2625 M d'altitude. Mais l'équateur n'est pas loin. Le soleil tape fort et il est recommandé de se barbouiller de crème solaire et de mettre un couvre-chef. Le " graffiti tour " est gratuit. Il est juste recommandé de donner un pourboire au guide. Très vite nous suivons le groupe a distance car le guide colombien a vécu à NY et il parle américain et très vite.  Devant chaque graffiti il raconte un tas de choses avec un débit impressionnant. Trop pour nous. Alors nous nous contentons d'en prendre plein les mirettes. A Bogota les graffitis sont reconnus comme un art et la municipalité affecte des espaces aux artistes. C'est une balade surprenante et très colorée dans les petites rues de la Candelaria. Nous passons par la piazoleta chorro de quevedo toujours très fréquentée. Nous trouvons ce parcours graffitis super. De quoi remplir une carte SD. 
Les deux objectifs suivants sont purement pratiques. Trouver une batterie de rechange pour le téléphone de JC et une carte téléphone. Au passage nous en profitons pour manger. Nous sommes sur la carrera 7, une grande avenue. Nous repérons un restaurant fréquenté par des autochtones et qui de surcroit est plein. C'est en général un très bon signe. Ensuite arrêt dans une pâtisserie salon de the pour prendre un cafe " colombien" bien-sûr et il est très bon.   Le programme de l'après- midi est plutôt cool. Bogota est une ville moderne avec de grandes rues commerçantes. Nous déambulons jusqu'a la place Bolivar. De la nous empruntons la calle 10, particulièrement belle avec ses maisons colorées bien restaurées. Beaucoup ont été occupées par des gens célèbres. On passe devant plusieurs musées. Mais pas de visite pour cette fois. On garde tout pour la fin du voyage. Juste un petit arrêt  au musée  de Bogota .Rien de particulier. Juste l'occasion de voir une maison coloniale typique avec ses patios.
Fin d'après-midi a buller a l'hôtel. Et repas du soir a deux pas dans un restaurant végétarien. On sent la fatigue

mardi 1 novembre 2016

IRAN octobre 2016 TEHERAN


                                                                Notre parcours 
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 De Kashan à Téhéran:
A peine arrivés à la gare de bus de Kashan nous grimpons dans un bus VIP qui part immédiatement. Il est 9h15. Le bus va faire quelques arrêts dans la ville avant de prendre la route de Téhéran puis un arrêt à l'entrée de Qom. Nous traversons à nouveau un plateau désertique et entre Qom et Tehran nous pouvons même apercevoir une étendue salée.
TEHERAN:
 Nous arrivons à la gare de bus de Tehran vers 13h. Il y a du vent et le ciel au dessus de la ville est dégagé ce qui nous permet de voir les montagnes au nord. Notre hôtel est bien placé, en plein centre, près du bazar. Pause déjeuner dans un petit restau local où nous rencontrons un iranien qui parle parfaitement français. Il a vécu à Nice. Il est spécialisé en traduction turc/ français et farsi/français dans le juridique. Il a même travaillé pour la cour d'appel d'Aix nous dit-il. A ma demande il nous explique rapidement le pourquoi de tous ces drapeaux noirs et banderoles que nous voyons un peu partout. Nous sommes en fin de mois de deuil au cours duquel on célèbre l'anniversaire de la mort de Hossein. Il nous parle de  l'origine de la séparation entre chiites et sunnites. Il nous dit que les iraniens sont chiites, certes, mais pas très pratiquants ou qu'ils pratiquent sans ostentation. Il n'en demeure pas moins, et c'est mon commentaire personnel que je trouve les femmes encore bien enfermées dans leur voiles noirs et dans leurs places "réservées " dans les bus et le métro. Pour le reste et ce qui se passe ailleurs je n'ai pas une connaissance suffisante. Nous comprenons et il ne s'en cache pas qu'il a été heureux du départ du Shah qu'il considérait comme un fou manipulé par les américains.  Il nous accompagne jusqu'au complexe du palais du Golestan. Nous faisons une visite rapide en nous baladant dans le jardin. C'est toujours un peu la même configuration avec un bâtiment décoré de faïences devant lequel se trouve un bassin. Dans ce complexe, plusieurs musées. Pour une visite globale il faut débourser 940  kRL par personne.
 En sortant du Golestan notre attention est attirée par des cris d'oiseaux. Une dizaine de perroquets se sont installés sur un arbre du jardin, plein de couleurs!
Nous nous dirigeons vers le bazar qui n'a rien d'exceptionnel. On y trouve les magasins par secteur d'activité. Mais pas de zone touristique. L'iranien que nous avons rencontré nous a parlé des quartiers nord de la ville, situés sur les hauteurs et où vivent les gens aisés dont font partie les commerçants du bazar. 
Ce soir nous retrouvons des amis qui finissent eux aussi leur voyage en Iran.