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mercredi 29 janvier 2014

Indes De Tiruvannamalai a Pondichery le mardi 28 janvier


++++PHOTOS
Sur la route, les champs de canne à sucre alternent avec ceux de riz. C'est l'époque de la récolte de la canne à sucre et nous croisons de nombreux tracteurs et camions très charges.. Le riz est a différents niveaux de maturité. Ici on le plante ailleurs on le coupe  et on récolte  les grains. Les habitations, dans les villes comme dans les campagnes sont très colorées, avez des couleurs flaschy et souvent plusieurs couleurs pour la même habitation. Il e va de même dan les cimetières catholiques pour les tombes. Sur le bord des routes, les femmes, que ce soit dans les champs en train de travailler ou de de conduire les animaux aux pâturages, sont droites, sveltes et superbes dans leurs sari colores parées de bijoux et la chevelure relevée ornée de fleurs. Et pourtant leurs conditions de vie ne sont pas faciles. Les habitations sont souvent modestes et le confort rudimentaire. Pas toujours de l'eau ni même de l'électricité. Sur cette partie de route il y a de nombreuses maisons basses en pisé ou en briques dont le toit de chaume paraît fait avec les feuilles de canne à sucre. Un bon moyen d'utiliser l'existant et certainement à moindre frais. Des femmes sont embauchées pour nettoyer le bord des routes et défricher. Elles sont payées 130 rps par jour.(soit environ 2€) Nous faisons une pause pour prendre un café. Les indiens prennent du the au lait avec un rituel bien précis. Le the est versé d'un verre dans une coupe et ainsi de suite. La coupe et le verre sont suffisamment éloignés pour qu'en tombant dans l'un des récipients le liquide mousse. Je ne pourrais pas dire si c'est bon ou pas car je ne supporte pas le the au lait. A un moment, sur le bord de la route nous voyons des  femmes qui vendent des poudres colorées. Nous nous arrêtons. Il s'agit de la poudre qui sert a dessiner les motifs de kolams dont les femmes décorent  l'entrée de la maison. D'un côté de la route il y a ceux qui préparent le matériau de base, blanc, du plâtre détendu me dit JC. Il nous manque donc une étape, celle de la coloration....un mystère! Peut être pourrons nous l'éclaircir avant la fin du séjour. Plus loin il y a cueillette de melons. Dans les champs les femmes qui disposent les melons dans de grandes bassines qu'elles portent sur la tête jusqu'à des camions ou des hommes debout les attendent. Encore des femmes libérées.....il y en a encore beaucoup de part le monde. Nous arrivons a Pondichery et nous passons un certain temps à l'entrée du territoire de Pondichery pour remplir des papiers. La paperasserie a encore de beaux jours devant elle. La guesthouse <le rêve bleu>est un monde à part. Un havre de paix aux couleurs acidulées. La propriétaire Christelle est une charmante jeune femme très accueillante. Nous décidons de rester un jour de plus pour que je laisse reposer mon genou et mon estomac secoue par les anti-inflammatoires. Pondichery, c'est un peu de France au bout du monde. Attention! Avertissement aux potentiels voyageurs intéresses par une chambre. C'est le propriétaire de la guesthouse qui la prend en main (pas fou le bougre, maintenant qu'elle marche bien!) les prestations risquent de ne plus être les mêmes. Christelle va ouvrir une autre guesthouse .........a suivre. A Pondichery il y a les vieilles bâtisses coloniales, la promenade du bord de mer, le lycée français, une alliance française très active. Beaucoup de français, de boutiques et de restaurants aux noms français. Il semble y faire bon vivre pour une somme modique car le logement et la nourriture ne sont pas chers. Chez Christelle nous rencontrons une dame française qui passe tous ses hivers ici....ça donne des idées!

1 commentaire:

  1. je n'avais pas eu le temps de vous suivre depuis votre arrivée en Inde, mais me voila raccroché au wagon. Je vous suit cela avec beaucoup d'intérêt, puisque je vais emprunter un peu le même chemin en mars. Le mariage aura lieu a coté de Pondichéry.

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