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jeudi 19 septembre 2019

Pouilles de Bari à Conversano 19 09



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Une petite route qui serpente à travers les champs d'oliviers nous amène au dolmen de Chianca. Les historiens pensent que vue sa taille il s'agit d'une sépulture de famille riche. Rien d'extraordinaire mais c'est sur notre chemin. Nous voulons visiter la vieille ville de Bari. Très rapidement nous nous retrouvons sous des trombes d'eau. C'était prévu par la météo. Il n'empêche que  la pluie en  vacances ce n'est vraiment pas drôle.  En plus nous sommes toujours à la recherche d'un moyen pour recharger notre bouteille de gaz. Nous passons de réparateur en réparateur jusqu'à ce qu'un vieux mécano ait un éclair de génie et nous trouve une solution. Une fois de plus nous bénéficions de la gentillesse et de la disponibilité des gens. Ouf! Nous pouvons reprendre sereinement le cours de nos vacances. Nous voici au centre de Bari. Nous nous garons facilement sur le parking à côté du château. Très gros bâtiment qui comme beaucoup de châteaux dans la région des Pouilles a été construit par Federico II ( le roi bâtisseur de châteaux) et remanié au XVI par Isabelle d'Aragon qui en a fait sa demeure. Nous partons à la découverte du centre historique en parcourant les ruelles étroites sur lesquelles débouchent des "coreta". Ce sont de petites cours, souvent agrémentées de plantes, autour desquelles se distribuent les portes et les escaliers d'accès aux habitations. C'est certainement plus agréable que d'avoir sa porte qui donne directement sur la rue. A propos de porte nous remarquons qu'elles sont particulièrement épaisses, voire blindées. Question de sécurité? Dans l'entrée d'une de ses "coreta" une dame s'est installée pour fabriquer les pâtes traditionnelles, les " orechiette", petites oreilles. Elle fait ça avec une grande dextérité.  Un peu plus loin nous en verrons une autre qui fait la même chose devant sa fenêtre grande ouverte. Les gens vivent beaucoup à l'extérieur et papotent installés sur des chaises devant les maisons. Une autre particularité dans cette ville c'est la quantité d'oratoires installés partout sur les murs des maisons, à l'angle des rues, au dessus des portes...Tout naturellement nous arrivons devant l'imposante Basilique Saint Nicolas qui abrite les reliques du saint. A l'intérieur la sobriété des murs en pierres( XIème siècle)  tranche avec l'opulence du plafond qui date du XVII ème. Dans la crypte où se trouve les reliques se déroule une messe célébrée par un prêtre orthodoxe. ???? La cathédrale, Duoma di san Sabino date de la même époque. Son plafond en bois s'harmonise parfaitement avec la beauté des murs en pierres beige. Nous passons par la piazza mercantile, emplacement du centre commercial au moyen âge, et aujourd'hui simple place bordée de bâtiments anciens et de restaurants, nous continuons sur le luongomare imperatore Augusto, promenade du mur d'enceinte jusqu'au corso Emmanuelle II, le grand boulevard qui sépare la vieille ville de la ville moderne.
Direction Conversano, la dernière étape de la journée. Encore une petite ville au passé moyenâgeux.  Nous y arrivons de nuit . Et nous découvrons le château et la cathédrale à la lumière des projecteurs

mercredi 18 septembre 2019

Pouilles 18 09 de Castel del Monte à Ruva



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Matinée courses et recherche d'une bouteille de gaz. Trouver de quoi se nourrir ne pause aucun problème, mais trouver une bouteille de gaz "compatible" avec notre installation s'avère être mission impossible pour des raisons techniques qui me dépassent. Nous aimons bien faire les courses car c'est l'occasion de rencontrer des gens et de discuter. Ce matin par exemple nous avons discuté pollution et ordures avec un jeune boulanger qui déplorait l'attitude des italiens qui jettent papiers et plastiques dans la rue, sur le bord des routes.. Il déplorait que les dirigeants ne donnent pas l'exemple et les moyens pour limiter la pollution et responsabiliser la population. Il nous disait avoir pris conscience de son rôle, tout petit soit-il, et il propose des emballages papier. Depuis le début de notre séjour dans les Pouilles nous sommes très agréablement surpris de la gentillesse et de la serviabilité des gens. C'est vraiment très agréable.
Castel del Monte est connu pour son château perché sur une colline. L'édifice en pierres beiges s'illumine avec le soleil couchant. Ce sont les mêmes pierres que l'on retrouve dans la construction des bâtiments anciens des villes ayant un passé historique. C'est Federico II qui a fait bâtir ce château. La particularité, dont on ne connait pas la raison, c'est que tout repose sur le chiffre 8. Le plan octogonal du château, des tours et des pièces. D'après les gens qui en sortent la visite du château ne vaut pas les 10€ du billet. Alors on reste à l'extérieur et on profite du paysage à 360° sur les environs.
Non loin de là se trouve le bourg de Ruvo di Puglia situé au milieu de terres agricoles. De grands champs d'oliviers, quelques vignes et arbres fruitiers. Dans les plantations, des cabanes de forme  arrondie en pierres sèches grises qui nous rappellent les bories de Provence. Ici on les appelle les trulli.
Le site de la ville semble avoir été occupé dès le néolithique. Plus tard , entre le IV et le IIIeme a.C, c'était un centre commercial prospère. Son emplacement stratégique en a fait un lieu très convoité. La vieille ville de Ruvo est très agréable avec de beaux bâtiments.  Le centre touristique avec ses petites rues étroites et sinueuses est principalement d'origine médiévale. Nous arrivons trop tard pour visiter des bâtiments mais nous sommes séduits par la cathédrale ( sa façade en particulier)et son campanile. Comme partout dans les villes depuis que nous sommes arrivés il y a du monde dans les rues. Ici le point de rassemblement est le grand square de la piazza Dante. Pas un banc de libre!
Après avoir dégusté une bonne pizza nous rejoignons notre CC garé à seulement cinq minutes à pieds.

mardi 17 septembre 2019

Pouilles 17 9 de Vieste à Barletta


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La route le long de la mer serpente et nous laisse apercevoir de belles petites criques difficilement accessibles. La côte très découpée est creusée de grottes. Des promenades en bateau sont proposées mais nous n'avons pas essayé car c'est pas notre truc. La route, le paysage et la végétation nous rappellent la côte méditerranéenne et surtout la Corse. Sur les promontoires des "tours de guet"  carrées plus ou moins bien conservées. Depuis celle de la "testa del Gargano" nous avons un point de vue sur une arche creusée dans la falaise. Nous faisons un arrêt au niveau de la crique de "porto greco" indiquée dans un guide comme plage de galets accessible. Quelques places de parking gardées sur le bord de la route. Après dix minutes de descente par un sentier qui serpente dans la végétation on arrive sur une jolie plage de graviers. Les abords du sentier n'échappent pas aux incivilités....papiers, plastiques.  Baignade agréable.
Jusqu'à Mattinata la route est agréable avec beaucoup de champs d'oliviers certainement très vieux vu leur taille. Ils n'ont pas l'air malades et tant mieux! 
Manfredonia c'est un peu notre Fos avec ses usines. Au delà vers le sud en direction de Barletta c'est la "camargue" plate avec ses étangs, ses roseaux, ses oiseaux. En approchant de Margherita de Savoia on a des salines. Ce sont les plus importantes d'Europe. La ville est aussi connue pour ses termes où l'on soigne les maladies respiratoires.
Barletta, c'est notre étape du jour. On stationne sur le port à quelques centaines de mètres du centre historique où l'on entre par la "porta marina". La vieille ville est agréable avec de nombreux édifices du XV et XVI eme siècle. Le très beau et original château fort construit et agrandi entre le XII et le XVI siècle avec ses quatre tours et sa grande cour. Ses pierres de couleur blanc-beige s'illuminent au soleil couchant. Tous les vieux édifices sont construits avec ces pierres et en particulier l'élégante cathédrale située non loin du château. La ville est en effervescence pour préparer la Disfida. Il s'agit de reconstituer un duel qui a eu lieu entre treize cavaliers italiens et treize cavaliers français. Un soir, au cours d'une discussion entre des soldats français et espagnols, les français ont mis en doute le courage des italiens. Ces derniers l'on appris et ont lancé un défis aux français en proposant un combat qui opposerait treize cavaliers italiens à treize français. Ce sont les soldats italiens qui ont été vainqueurs. C'est cet épisode de l'histoire qui fait l'objet d'une reconstitution. La fête se déroule en plusieurs parties.  C'est le dernier jour que se déroule le combat dans l'enceinte du château. Il est suivi par un grand défilé des combattants et de la population en costumes d'époque. Comme dans toutes les villes que nous avons visité il y a beaucoup d'animation le soir. Les habitants sortent et déambulent. Beaucoup de jeunes à la mise soignée se baladent avec leur téléphone portable à l'extrémité d'un bras tel une "prothèse" . C'est vraiment international!!
Pour la nuit on gare le CC dans un parking sur le bord de mer au niveau de la plage publique.

lundi 16 septembre 2019

de Pechici à Vieste 16 9 19



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Il y a peu de distance mais nous prenons notre temps et surtout le temps de trouver des endroits pour nous baigner. Et ceci n' est pas évident car la grosse majorité des baies et des criques sont privatisées par des campings et autres centres de vacances qui se barricadent. En suivant la direction de la plage Zainia nous arrivons à un centre de vacances pratiquement vide. Nous parvenons à nous garer et nous faufiler pour atteindre la plage. La plage Zainia est un peu plus loin mais nous hésitons à y aller avec le CC à cause de l'étroitesse de la route.
Entre Peschini et Vieste on remarque plusieurs constructions de bois particulières accrochées aux rochers. Ce sont des trabucchi qui avec un système de potences en bois et de cordes permettent de descendre et de remonter des filets de pêche. Il semblerait que beaucoup soient abandonnés. Nous en repérons un au bout d'une plage qui possède encore des filets. La serveuse du bar du camping où nous nous sommes incrustés  pour boire un café nous explique que le soir les  propriétaires proposent des grillades de poissons.
Nouvel arrêt baignade avant d'arriver à Vieste. La ville nous apparaît toute blanche sur son promontoire au fond de la baie. Pour arriver au centre ville nous longeons une belle plage de sable bordée de parkings ( dans certaines ville les parkings sont gratuits entre le 15 septembre et Le 30 mai). C'est là que nous nous installerons pour dormir. Nous trouvons assez facilement à nous garer dans la ville. Nous parcourons les ruelles très touristiques de la vieille ville jusqu’à l'extrémité du promontoire où se trouve une église. Si d'un coté la ville s'étage doucement au dessus de la mer de l'autre coté elle est dressée sur la falaise. La promenade y est agréable et les couleurs très belles en fin de journée. 
Une balade digestive nous conduit au port au moment où rentrent les bateaux de pêche avec poulpes et crevettes.

dimanche 15 septembre 2019

Foret de Umbra et Peschici 15 9 19


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Nuit tranquille. Pas un bruit ou presque. Ce matin nous avons la visite d'un chiot tout fou et d'un pigeon qui voudraient bien partager notre petit déjeuner. Nous partons en balade ...pas trop tôt, ce sont les vacances. Pendant la première partie du circuit nous longeons une route forestière. Mais ensuite nous empruntons de larges sentiers au sol souple Les arbres, majoritairement de grands hêtres font une ombre agréable. Nous rencontrons peu de monde. La forêt est très silencieuse. On n'entend même pas de chants d'oiseaux. Par contre le sol est couvert de petites fleurs roses qui ressemblent à des violettes. La forêt est connue pour abriter des orchidées mais ce n'est pas la saison. Sur la fin du parcours, en approchant de la route et de la zone de stationnement il y a plus de promeneurs. L'aire de pique- nique est entièrement occupée par des familles. Normal c'est dimanche et il fait beau.
Nous prenons la route en direction de Peschini. Au détour d'un virage le village apparaît tout blanc( comme les villages des îles grecques) sur un petit promontoire qui avance vers la mer. Très photogénique à la lumière de la fin d'après-midi.  Il nous faut trouver le parking indiqué sur le site et où nous pensons passer la nuit. C'est fait. Nous pouvons partir "à l'aventure" dans le lacis de ruelles blanches. Nous privilégions celles qui ne sont pas commerçantes pour aller jusqu'au bout du promontoire où se trouve le château perché sur la falaise et d'où l'on a une très belle vue. Par de petits escaliers nous descendons jusqu'au port. La ville se dresse sur la falaise au dessus de nous. Le soir la petite cité s'anime. Tous les magasins sont ouverts, les terrasses des restaurants et des cafés font le plein. Les gens promènent, discutent. Les enfants courent, jouent jusqu'à tard dans la soirée. Et pourtant le lendemain il y a école. Pour nous c'est très agréable et très vivant.

samedi 14 septembre 2019

de Levina à Vico de Gargano 14 09 2019


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Nous sommes arrivés hier en fin de journée après trois jours de voyage. Première étape la petite ville de Lesina au bord d'une lagune et au début de la route qui fait le tour du promontoire de Gargano.
Le soir la zone animée se situe sur la place centrale. Lorsque nous y arrivons tous les bancs sont occupés par des messieurs plutôt âgés. "Mais où sont donc les femmes"dis-je au patron du restaurant la Macelleria ( restaurateur, boucher et vendeur de légumes) que ça fait beaucoup rire et qui me garantit que les femmes sont libres, même plus libres que les hommes. Elles vont arriver plus tard. Et effectivement ce n'est que vers 21h qu'arrivent des enfants, des adolescents et des couples jeunes. D'ailleurs l'occupation des bancs de la place a changé...les vieux messieurs ont laissé place au jeunes filles branchées. 
Après une nuit tranquille sur un parking au bord de la promenade de la lagune nous prenons la route du lac de Verano. D'un côté la mer bordée  d'une forêt d'eucalyptus et de l'autre des hôtels, des camping et la lagune invisible de la route. L'accès à la mer n'est pas facile. Pas de parking sur le nord de la route. L'accès a la lagune est rare' il faut repérer les petits chemins avec les panneaux "lago". Sur le bord de la lagune les maisons des pêcheurs. Nous discutons avec deux couples d'anciens et une dame plus jeune. Ils nous expliquent qu'ils produisent des moules qu'ils exportent en France (Normandie) , des vongole et pêchent de gros poissons??? Les anguilles sont protégées et on n'en trouve plus à consommer dans les restaurants ce qui ne veut pas dire que personne n'en pêche.
Après le lac de Verano, nous longeons la côte jusqu'à la bifurcation de la route conduisant à la foresta umbra. La route grimpe à travers les champs d'oliviers. Nous faisons une halte à Vico di Gargano. Nous avons besoin de pain. Mais comme les magasins n'ouvrent qu’à 17h nous en profitons pour boire un café, manger un gâteau ( et oui!) et visiter le quartier historique: petites rues étroites autour du château dont la via del bacio (rue du baiser) si étroite que l'on ne peut y passer à deux que serrés l'un contre l'autre.
Le palais Della Bella, imitation d'un palais vénitien construit au XX ème siècle par une riche famille. A partir de 17h les magasins ouvrent à nouveau, les gens sortent et la ville s'anime. Ce qui nous a choqué dès le début c'est la saleté des bords de route et en particulier des parkings le long des routes. De vraies décharges!!!!par contre chapeau pour la propreté des toilettes publiques et privées. On pourrait s'en inspirer.
Fin de journée. Il est temps de monter jusqu'à la casa forestale de la foresta umbra. C'est là que nous allons dormir en prévision de la rando du lendemain.

dimanche 7 avril 2019

Jeudi 14 février 2019 d'Ayutthaya à Bangkok : le départ.


Le jour du départ nous sommes toujours un peu stressés. Et pourtant nous avons du temps car notre avion ne décolle  qu'en fin de journée et il n'y a que 90km de grande route entre Ayutthaya et l'aéroport. 
Nous prenons les vélos pour aller jusqu'au musée national Chao Sam Phraya qui n'est pas très loin de notre hôtel. Ce n'est pas un temple et pourtant il faut se déchausser. C'est un peu pénible car pour des questions de sécurité, lorsque nous faisons du vélo nous mettons des baskets. Alors se déchausser et se rechausser chaque fois c'est  un peu lourd. Le bâtiment principal du musée est composé de deux grandes parties. D'un coté tout ce qui est consacré au temple de Mahathat et de l'autre ce qui concerne le temple de  Ratchaburana. Des salles spéciales climatisées abritent les trésors trouvées lors des fouilles et de la restauration: des bijoux,  des statues de bouddha, des boites, un nécessaire à bétel, une débauche d'or et de pierres précieuses...Au centre, dans la pièce principale, des bouddhas, un fronton, des portes sculptées. Beaucoup de belles choses. C'est l'occasion de préciser nos connaissances sur les positions des bouddhas. Bon, enfin, ce n'est pas évident. Il y a celui qui répand la bonne parole, celui qui tente de calmer les protagonistes d'un conflit, celui qui repousse l'océan et celui qui triomphe du diable( marat). Il y a deux autres bâtiments dont une maison traditionnelle thaïlandaise.
Après le musée nous faisons un tour au marché local. Rien d'exceptionnel. Toujours un peu les mêmes produits. Les premiers jours on est curieux de tout puis ensuite on devient blasés. Dans le guide on avait lu des critiques pas très élogieuses sur le marché flottant. Mais on décide d'y aller quand même. On se contente de la partie non flottante composée de boutiques de nourriture et d'un parc à éléphants. Pour la partie flottante on voit arriver des cars complets se dirigeant vers un embarcadère. Là des barques semblent faire traverser les passagers sur une courte distance vers des stands  de nourriture. On fuit. Et on retourne au centre ville dans le restaurant découvert la veille, le Malakor. Il y a toujours autant de monde. Mais nous trouvons une table. C'est toujours aussi bon. Mais comme le fait remarquer JC il est préférable de ne pas s'habituer à ce type de restaurant au début du séjour car ensuite il doit être difficile de passer aux simples nouilles du marché. Mais pour nous c'est la fin et nous ne boudons pas notre plaisir de savourer un riz frit à l'ananas, du poulet aux cajous, des légumes en beignet, des rouleaux de printemps et pour finir un gâteau avec le café.
Direction l'aéroport et fin d'un séjour riche en découvertes. Plein les mirettes.....