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mercredi 31 janvier 2018

CHILI 29 janvier 2018 el sendero el cani



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Après une journée de repos nous sommes en forme pour la rando annoncée comme très physique dans les guides. Nous sommes à l'entrée du parc à 8h10 mais il n'y a personne. Alors nous laissons un papier avec nos coordonnées comme cela est demandé à l'entrée de chaque parc. Nous préférons commencer tôt pour être sûrs d'avoir effectué les parties les plus difficiles avant la pause du repas. Le premier km est un chemin gravillonné et quasiment plat qui conduit au poste de contrôle. Ensuite commence la montée sur un chemin de terre large, souple, très poussiéreux et ombragé. Et pour monter, ça monte! Au bout de deux heures nous avons fait 800m de dénivelé. C'est au niveau du refuge que le chemin laisse la place à un sentier agréable. C'est la même végétation que dans les parcs précédents avec bambous et grands arbres. Nous atteignons une zone moins pentue, voire plate. C'est la zone fleurie comme l'appelle JC. En effet une plante rampante à fleurs rouges recouvre les troncs d'arbres. L'ascension continue et nous arrivons enfin au niveau des lagunes. C'est aussi la zone de l'araucaria. Le cadre est magnifique. Il y a quelques campeurs installés au bord de l'eau. A ce niveau il y a deux possibilités, monter jusqu'au mirador ou faire le sentier du canard qui fait le tour de toutes les lagunes. Nous choisissons la première option. Et hop, en avant pour 200m de dénivelé. Quatre français nous coiffent au poteau et nous doublent à deux pas du mirador. On n'a plus vingt ans!! Quel choc...360° d'une vue spectaculaire sur plusieurs volcans, le Villarica, le Llaima, le Lanin, le Choshuenco, plein les mirettes. On fait la causette avec nos quatre jeunes compagnons de circonstance. Nous décidons de redescendre manger sur la pelouse au bord d'une lagune tout en regardant s'ébattre une famille de canards. Le sentier du canard, justement, nous permet de découvrir plusieurs magnifiques lagunes entourée de la végétation luxuriante du coin. Sentier très facile , sans dénivelé. Arrive l'heure de descendre.
JC aime bien les descentes. Moi j'appréhende toujours un peu de glisser surtout lorsque le dénivelé est important. Je me crispe. Bon ça ne manque pas, je me tords deux fois le pied, mais sans conséquence. Heureusement car lors d'une rando précédente je me suis accrochée à un fil de fer barbelé ( ils sont obsédés par les clôtures)  et malgré un lavage sérieux et une désinfection la blessure n'est pas belle. Direction la ville la plus proche, Pucon où la pharmacienne que je consulte m'envoie aux urgences médicales du coin. Super accueil, lieux impeccables, médecin qui parle anglais....je ressors une heure après vaccinée pour le tétanos et avec mes antibio et tout ça pour une trentaine d'euros.
Nous retrouvons une de nos connaissances, V,  pour boire un verre et picorer une assiette de viande.
Super journée et super belle rando ( 19km et 1300m de dénivelé).  Pas facile, physique mais tout à fait faisable

CHILI 28 janvier 2018 Pucon



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On profite de la tranquillité et de l'espace de la cabaña pour faire le point sur nos prochains jours de voyage. Du fait du changement de véhicule on est un peu plus dans l'improvisation.
Nous démarrons la journée un peu tard en nous arrêtant aux ojos de Caburgua. Deux petites cascades qui ont creusé leurs marmites. C'est bien aménagé, jolie, l'eau est limpide...mais cela ne vaut pas le déplacement ni les 1500$ch par personne quand on a l'habitude de randonner et de voir toutes les merveilles que nous offre la nature. C'est sûr que pour les marcheurs en tongs c'est super et l'occasion de faire des selfie. Pour les propriétaires de l'endroit c'est une manne.
Nous prenons la direction des thermes los pozonnes où nous pensons passer l'après- midi. Au passage nous nous arrêtons au centre d'accueil du sendero el cani pour prendre des renseignements. Un Jeune homme, très pro, à l'aide d'une carte-dépliant très bien faite nous explique les difficultés de cette randonnée, longue et à fort dénivelé. Nous sommes déterminés  à la tenter. Nous devrons partir tôt le lendemain avec dans le sac seulement l'indispensable.
La route qui mène aux thermes est très agréable. Elle sillonne entre les prés et les bosquets. C'est l'élevage des vaches qui semble dominer. Le paysage est très pyrénéen. Les thermes où nous nous rendons sont les derniers sur la route. Nous les avons choisi à partir de la description des guides. Le tarif est de 8000$ch par personne pour trois heures. On laisse la voiture au parking et l'on descend une série de marches jusqu'à la rivière. C'est à coté du torrent qu'on été aménagé des "piscines" en gros blocs de pierre pour recueillir les eaux chaudes. L'ensemble est constitué de cinq ou six piscines qui se succèdent. Entre, quelques espaces gazonnés. Deux où trois cabanes pour se changer et à hauteur des vasques des casiers ouverts pour déposer les affaires. Ici on va à l'essentiel et ça se voit dans la fréquentation qui est majoritairement locale.
Les gens sont très sympas, c'est familial et bon-enfant. Les gens essaient de discuter avec nous et de nous associer à leurs conversations. C'est pas gagné mais on progresse. La première piscine est froide. La deuxième extrêmement chaude et les autres beaucoup plus tempérées. On passe de l'une à l'autre. Entre deux les plus courageux prennent un bain dans le torrent ou une douche froide. Les trois heures passent vite.
Nous reprenons la route en direction de Pucon, la station balnéaire locale. C'est le coin chic au bord du lac avec tout ce qui va avec; aérodrome avec jet privé, boutiques et resto à la mode. C'est plutôt joli. Les maisons-chalets sont inspirées des chalets allemands. Beaucoup d'allemands sont arrivés dans la région au XIXeme. Les noms des rues et les spécialités de tartes datent aussi de cette époque. C'est là que viennent en vacances les chiliens qui ont de l'argent. Il y a un monde fou. Trois p'tits tours et puis s'en vont....et nous voici repartis loin du ST Tropez local.

CHILI 27 janvier 2018 parc Huerquehue



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Réveil assez tôt pour nous installer dans notre nouvelle habitation une cabaña située à proximité de l'embranchement pour le parc national de Huerquehue. Il a plu dans la nuit et le ciel est toujours très gris. Mais rapidement les nuages disparaissent et nous décidons de nous rendre dans le parc pour faire la randonnée del sendero Los lagos La route du parc est asphaltée sur un km. Ensuite ce sont 14 km de piste poussiéreuse pour arriver à l'entrée du parc et s'acquitter des 5000$ch ( tarif pour les étrangers. L'entrée du parc est située au bord du lac?????? Le chemin part à droite du parking. 50 m plus loin il faut prendre le sentier......qui part sur la gauche et permet d' éviter de marcher sur le chemin qui est emprunté par les voitures des gens qui vont s'installer dans les campings du parc.  On peut trouver de quoi boire et grignoter. Il faut parcourir un peu plus de 1km pour arriver au bureau de réception où sont contrôlés les billets. Il ne reste plus qu'à grimper. Le sentier est comme celui du parc Conguillo; En terre souple avec juste une petite pellicule de feuilles sèches qui bloque une partie de la poussière. Il est ombragé par les bambous et de très grands arbres. C'est très agréable. Il faut juste faire attention aux racines qui affleurent ou sortent à certains endroits. Mais on ne peut pas tout avoir. Qui dit ombre dit arbres et qui dit arbres dit racines. On arrive rapidement au premier lac.......puis le sentier continue jusqu'à un embranchement. Nous prenons sur la droite en direction du lac Toro. Une autre bifurcation sur la droite conduit à une extrémité du lac( trois cent mètres environ). Peu de gens font le détour si bien que c'est un endroit tranquille et beau pour pique niquer. Rencontre pas très sympa sur le chemin une grosse araignée de type mygale. Nous retournons sur le sentier principal et nous atteignons bientôt le lago Verde
 Il y a du monde et des gens se baignent. Au retour les deux miradors nous permettent d'admirer le volcan Villarica qui est enfin sorti des nuages: magnifique cône blanc d'où s'échappent des fumerolles. Deux belles cascades nous font dévier de notre descente. Nous arrivons en bas fatigués mais enchantés par cette balade. Une fois de plus nous en avons eu plein les mirettes avec ces beaux lacs aux eaux claires entourées de forêts
Finalement nous avons fait une quinzaine de km et un dénivelé cumulé de 700m. Pas étonnant que nous en ayons plein les bottes.
Après une bonne douche nous allons à une des feria( il y en a partout en cette saison) et nous nous offrons une empanadas au queso et une assiette de viande d'agneau grillée ( du gigot) accompagné de pommes de terre et de salade. De quoi mettre un super point final à une magnifique journée.

CHILI 26 janvier 2018 Villarica



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Il y a des jours avec et des jours sans. Et bien aujourd'hui c'était plutôt un jour sans...soleil pour commencer, bruineux et froid , .....sans salle de bain privative dans le logement que nous avons réservé. A lire les blogs et les guides il nous avait semblé judicieux de réserver à Villarica plutôt qu'à Pucon. Et bien c'est sans compter sur les embouteillages monstrueux aux abords de Villarica et Pucon. En plus, les endroits que nous voulons parcourir se trouvent au delà de Pucon, vers l'est. Nous avons donc décidé de changer de plan et de chercher un logement entre Pucon et Caburgua. Sur le bord de la route il y a de nombreuses propositions pour des cabaña...souvent elles sont prévues pour au moins 4 où 6 personnes. Et il faut négocier. Nous en retenons une pour le lendemain.
Il y a aussi ce qu'ils appellent des férias. Lieux où sont rassemblés des vendeurs de produits locaux. Dans cette région ce sont les productions locales des mapuches. Beaucoup de stands de nourriture ( cazuelas, empanadas, mouton au barbecue), mais aussi des confitures, du miel, du chocolat( pas top) des objets en bois et en laine très kitch.
Nous arrivons à Caburga. Les plages sont sympas mais comme il ne fait pas beau ce n'est pas engageant. Alors on décide de rentrer à Villarica et de découvrir le bord du lac. C'est tout à fait le style station balnéaire populaire. La promenade le long du lac, les vendeurs de babioles., de glaces, de jus de fruits. Il y a un salon du fromage: une grande tente sous laquelle sont installés une vingtaine de producteurs de fromage ( vache ) et deux producteurs de vin. Les fromages ne sont pas très différents les uns des autres. Ce sont des tomes plus ou moins affinées et parfois parfumées aux piments, à la tomates, aux herbes ( les plus réussis).
Finalement la journée est passée et nous espérons un meilleur temps pour le lendemain

jeudi 25 janvier 2018

CHILI 25 janvier :Melipeuco et le parc Conguillo



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En logeant à Melipeuco nous sommes très près de l'entrée sud du parc par une route goudronnée qui part à gauche à la sortie du village en allant vers Icama, la frontière avec l'Argentine. Les deux attractions du parc sont le volcan actif Llaima couvert de neige et les araucarias. Il fait un temps magnifique, un beau ciel bleu et nous sommes matinaux. Deux habitants surprises vont croiser notre route juste avant l'entrée du parc; un petit lapin et un renard. A l'entrée du parc il faut donner son identité et s'acquitter du droit d'entrée. 6000$ch pour les étrangers vieux ou jeunes. La route passe au milieu des coulées de laves. On distingue quelques zones boisées sur le flanc qui ont été épargnées et où les arbres ont survécu. C'est impressionnant. La lumière du matin est optimum lorsque l'on vient de Melipuco et le contraste est saisissant entre la blancheur du cône et le noir des pierres de lave. La route passe à coté de la laguna verte. Mais notre objectif c'est d'aller jusqu'au départ du sendero Sierra Nevada. C'est celui qui est à faire, nous semble-t-il pour tout voir. Les araucarias, ils sont là, grands avec leur feuillage si caractéristique et leur tronc pouvant écaillé.. Il y a trois points de vue le long des 6 km de la randonnée. Le mirador du lac à environ 700m du départ qui permet une belle vue sur le lac Conguillo, les araucarias et le volcan en toile de fond. Au fur et à mesure de l'ascension la vue devient encore plus belle. C'est le cas au niveau du mirador del condor à 2km et demi du départ. Mais lorsque l'on arrive au dernier mirador ( sierra nevada) après les six km de montée la vue est à couper le souffle. Le sentier est facile et agréable. Le sol est souple  et sans embûche. En plus, les quatre premiers km sont ombragés car le chemin serpente dans une bambouseraie abritée par de grands arbres. Les deux derniers km sont plus exposés car sur une crête qui permet de voir sur la droite une vallée encore partiellement enneigée d'où partent de nombreuses cascades. Il y a de nombreuses fleurs et toujours les lézards verts que nous avons déjà vus dans le parc alto de Lircay. Pour manger nous choisissons de grimper au dessus du mirador.
Une vue comme çà pour pique-niquer....wouah! Plein les mirettes!!!!
A la montée il n'y avait pas trop de monde et nous nous sommes retrouvés au dernier mirador avec trois françaises vivant et travaillant à Santiago. Il est facile de travailler au Chili, de monter sa boite. C'est un système très libéral et peu de gens s'en sortent avec un seul boulot car l'éducation et la santé sont entièrement a leur charge. Elles apprécient le Chili pour son climat et ses paysages. Il nous fait moins de deux heures pour redescendre et nous croisons beaucoup de monde. Bilan une magnifique rando de13km et 800m dedénivelé et surtout des paysages grandioses.
L'étape suivante nous conduit quelques km plus loin à coté du chalet d'accueil du parc d'où part le sendero carpinderos qui passe au niveau de l'araucaria madre situé à deux km du départ. Cinquante mètres de haut et 2,20m de diamètre. Il est âgé d'environ 1800 ans..respect. Là aussi le sentier est facile, soupleet ombragé. A peine plus d'une heure aller-retour. Il est temps de rentrer à Melipeuco avec un arrêt à la laguna verde. L'eau n'est pas froide mais nous sommes trop fatigués pour tenter la baignade.
Quelle belle journée. Nous l'arrosons en ouvrant une bouteille de vin blanc chilien.

CHILI 24 janvier route entre Talca et Melipeuco


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C'est la ruta 5, la transamericaine qui va vers le sud. Il y a un peu de circulation autour des villes, mais dans l'ensemble c'est très fluide. Heureusement car il y a 500 kms.
Route bien entretenue et agréable. Beaucoup de forets....ils utilisent beaucoup de bois pour la construction des maisons.
C'est à Temuco que l'on quitte la route 5 en direction de Melipuco. La aussi route agréable, bien entretenue, qui serpente entre les forêts et les exploitations agricoles essentiellement consacrées à l'élevage.  On a une vue magnifique sur le volcan Llama , couvert de neige qui se trouve dans le parc Gonguillo.
La route passe par Cunco, une petite bourgade sympa où nous nous arrêtons pour faire le plein, retirer de l'argent et  déjeuner.
Comme nous sommes arrivés tôt à Melipeuco  et que les journées sont longues nous avons le temps d'aller jusqu'à la cascade Trufu trufu qui se trouve à quatre km du village. Prendre la route d'Icama et un peu après la route qui mène au parc prendre une piste sur la gauche. C'est une chouette cascade sur le rio Alipen.
Nous avions réservé une chambre à l'hôtel Allipen mais nous la trouvons trop chère compte tenu des services : pas d'internet. Pas d'internet non plus dans la cabana que nous louons mais le tarif est moins élevé.  L'autre hospedaje de la rue principale n'a pas d'internet non plus. Pour avoir de l'internet nous nous installons sur la place / parc du village. Heureusement qu'il fait beau et chaud.

mercredi 24 janvier 2018

CHILI 23 janvier 2018 le parc national Alto de Lircay



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Depuis Talca il faut prendre la direction de San Clemente puis celle de Vicles. La route est bonne jusqu'à 15km de Vicles où elle se transforme en piste. La poussière est si fine que l'on dirait du talc. Au bout de la route on arrive à une premiere barrière du parc. Seuls les 4x4 sont autorisés à franchir les 2 km restant pour arriver au centre administratif du parc où l'on doit s'inscrire. Pour les autres il faut laisser la voiture et monter à pied sur un chemin pierreux et sableux Nous avons de la chance un couple et leur fille nous proposent de monter dans leur voiture. Super! Cela nous fait gagner un temps précieux et surtout de la poussière en moins. Au bureau des gardes il faut payer l'entrée mais aussi remplir un papier que l'on doit rapporter en sortant du parc. Le garde nous donne des renseignements sur les différentes randonnées. Nous choisissons de monter à la laguna El Alto par le chemin le plus court. Pour cela nous suivons le sentier commun jusqu'à la borne2. Ensuite nous grimpons. Cela monte beaucoup. Mais le sentier est ombragé et souple:Très peu de pierres et beaucoup de sable. Au bout de deux heures de marche nous arrivons sur une zone dénudée et couverte de pierres volcaniques.Entre les pierres, à l'abri du vent, des tapis de fleurs.  Il reste une heure de marche pour atteindre le sommet du cratère au fond duquel se trouve la lagune. Magnifique et plein les mirettes!. Cette dernière partie est facile et pratiquement plate. Très dénudée elle permet d'apprécier tout autour les différents sommets dont certains sont enneigés ainsi qu'une coulée basaltique. Autour du cratère de la lagune il reste quelques plaques de neige. Il y a du vent et il fait frais. Il est conseillé d'avoir un coupe-vent. Au retour nous reprenons le même chemin pendant une heure puis au lieu de descendre par le chemin très pentu que nous avons emprunté à l'aller nous partons vers la droite en suivant le sentier qui mène à la borne 5 du sentier principal El Chile. Le sentier est ombrage et souple dans une très belle foret . En une heure et demi nous sommes sur le sentier principal. Presque plat, il ne présente aucune difficulté en dehors du fait qu'en marchant on soulève énormément de poussière
Il y a très peu d'oiseaux et très peu de bruits. Quelques lézards profitent du soleil. Mais ce sont surtout les arbres qui sont remarquables. Certains ont des tailles spectaculaires. Les derniers kilomètres sont pénibles et nous sommes fatigués : 22km et 1000m de dénivelé. Pour une première rando c'est pas mal!